Comparaison Descartes Darwin

siècle, à l'aube d'une renaissance intellectuelle dans laquelle la religion est encore très prégnante. A partir du 17è, la philosophie devient un système dominant prenant le pas sur la religion ; on retrouve alors le terme sous la plume notamment de Descartes, qui définit la psychologie comme l’étude de l’esprit ; et Logie signifie théorie, étude… Psychologie → Etude scientifique du comportement des individus et de leurs processus mentaux Scientifique = les conclusions se basent sur des preuves rassemblées

identifier QUOI ?, c’est un codage allocentré (ne contient pas compte de l’individu). h. La voie dorsale : COMMENT ? qui guide l’action, codage égocentré (localisation de l’objet par rapport à soi). Diapo 10. 4. Comparaison des patients DF and RF, dans les comparaisons des galettes qu’avaient ou pas la même forme (tâche perceptive). La patiente ataxique à une bonne performance dans cette tâche. La patiente RF agnostique, se trompe 1 fois sur 2. 5. Diapo 30 : graphique de gauche : toujours

correspond pas à une attitude de l’esprit qui se dispose à connaître, elle reconstruit le réel à partir de ce lui permettra d’y fonder une action. C’est pourquoi l’on peut dire que l’opinion est utile du point de vue de l’action, comme le remarque Descartes dans le Discours de la méthode. En effet, si selon lui il est nécessaire de rejeter toutes ses opinions lorsqu’on entreprend de connaître, il faut cependant les conserver intactes dès lors qu’il s’agit d’agir, car la recherche de la certitude propre

différentes branches de la psychologie moderne depuis la fin du XIXe siècle à nos jours est présentée ainsi que les oeuvres des principaux auteurs qui ont contribué à ses progrè. L’Auteur : Maurice Reuchlin est professeur honoraire à l’Université René-Descartes (Paris V). Il est notamment l’auteur du « Que sais-je ? » sur Les méthodes en psychologie (n°1359). Lausanne, le 27 février 2012 Marine Lacroix UNIVERSITE Psychologie INTRODUCTION  ...................................................

PLUTARQUE vécut entre 46-125 Pcn Parmi d'autres vanter la sagesse des animaux du fait qu'ils ne sont pas corrompus comme l'être humain, qui à l'époque était appelée de brutes et considère que l'animal est égal ou sinon supérieur à l’homme. Descartes 1596-1659 Conçoit l'animal et l'humain comme une machine complexe qui fonctionne selon des principes mécaniques simples. Ex : comme une montre. Cette conception est encore en vigueur aujourd’hui, il propose une distinction fondamentale entre

quelle position adopter. Pour prendre une image : si la vie était une route, un dilemme serait une fourche à laquelle on arrive, sans être capable de choisir la branche à emprunter. Deux stratégies s’offrent à prime abord. Pour reprendre la comparaison, on peut montrer que les deux routes sont également dangereuses, ou qu’elles paraissent comporter autant de risques. On tentera alors d’expliquer au lecteur quelles valeurs pourraient être atteintes (ou bafouées), si on choisissait chacun des

admises, comme le Big Bang ou la théorie de l'évolution, beaucoup de croyants considèrent le(s) récit(s) de la Création selon Genèse comme des allégories. Toutefois, l'interprétation, sinon allégorique, du moins non littérale n'avait pas attendu Darwin. La tradition juive connaissait différentes façons d'interpréter les textes sacrés, puisqu'elle distinguait quatre sens de l'Écriture. Ultérieurement, la tradition chrétienne, avec Origène et Jean Cassien, reprit ces méthodes d'interprétation pour

l’environnement. Nous avons un devoir d’humanité envers les animaux, à la fois pour nous même et parce qu’ils sont des êtres sensibles. Le XVIIe siècle est cartésien : l’animal est assimilé à un automate insensible. Dans sa théorie des animaux-machines, René Descartes (1596-1650) assimile les animaux à des automates qui ne ressentent pas la douleur. Il reconnaît que leur comportement ressemble à celui des hommes, mais pour lui, les animaux sont différents en ceci qu’ils ne possèdent pas d’âme consciente et rationnelle

Thorndike) et éthologie. Si les deux disciplines étudient bien le comportement, elles se basent sur des concepts radicalement différents : le mesurable (l'apprentissage excluant les notions de conscience) pour les behavioristes et l'observation (et la comparaison des comportements entre espèces, l'inné et l'acquis s'intégrant dans le psychisme) pour les éthologues. Cependant, il serait réducteur de considérer que l'éthologie rejette le béhaviorisme, puisqu'elle reconnaît la modification des comportements

que les animaux sont de pures « machines », sans facultés mentales ni affectives. Cette erreur était courante chez les savants au e XX siècle, jusqu’aux travaux de Jane Goodall sur les chimpanzés dans les années 1960. Le célèbre naturaliste Charles Darwin, cent ans plus tôt, était déjà convaincu qu’une partie des animaux possédaient un psychisme et des émotions. 1 APPRIVOISER SES ÉMOTIONS n’est pas faite pour cela, et nos facultés de compréhension sont requises pour raccorder nos réactions