Comparaison Des Scenes D Exposition De Tartuffe Et Dom Juan

création littéraire, pas l´imitation. L´artiste est un créateur, un Dieu architecte, celui qui construit. L`artiste n´est pas un miroir qui reflète ou imite la réalité. On va pratiquer une « esthétique du choc » : scènes violentes reflétées dans la littérature ; ce sont des scènes de la Révolution française. Va naître, à l´époque, un nouveau rapport entre l´artiste et le public qui va se manifester grâce à une attitude d´agression. L´auteur va utiliser des images violentes, atroces. Naît là, le

normalement que ds la tragédie) et car veut être aimé pour lui-même et non pour sa fortune ou sa naissance ou ses titres. → cf principale revendication des Lumières : un aristocrate qui ne veut plus être distingué par sa naissance mais par son mérite. cf dom juan personnage plein de ressources pour beaum qui est justement en quête de renouvellement à l'intérieur du cadre traditionnel des conventions comiques. Bartholo = barbon (vieillard ridicule in comédies italiennes) ; cf Arnolphe de l'Ecole des Femmes

sont particulièrement connus. 1- a) Fais une recherche sur internet pour associer par des flèches les portraits de ces auteurs à leur nom et à leurs œuvres (les noms des artistes peintres sont inscrits sous les tableaux). Jean Racine Le Tartuffe Dom Juan Les Fourberies de Scapin Charles Le Brun (1619-1690) © RMN / Droits réservés 142 — © Cned, Français 4e séance 1 — Séquence 12 Phèdre Molière Athalie Bérénice Pierre Mignard (1612-1695) © RMN / Agence Bulloz Horace Pierre

et douloureux qui s’exprime sous une forme ingénieuse et parfois artificielle. Séduit par cette littérature, Du Bellay chante les beautés de sa dame qu’il aime d’une ardente passion. Mais son style devient aussi un peu artificielle et abuse des comparaisons et des figures rhétoriques : allégories, périphrases, hyperboles, antithèses, jeux de mots et métaphores souvent incohérentes. Du Bellay se corrigera lui-même dans son poème Contre les Pétrarquistes. Cette œuvre artificielle repose sur une

flèches les portraits de ces auteurs à leur nom et à leurs œuvres (les noms des artistes peintres sont inscrits sous les tableaux). Jean Racine Charles Le Brun (1619-1690) © RMN / Droits réservés 142 — © Cned, Français 4e Le Tartuffe Dom Juan Les Fourberies de Scapin séance 1 — Séquence 12 Phèdre Molière Athalie Bérénice Pierre Mignard (1612-1695) © RMN / Agence Bulloz Horace Pierre Corneille Le Cid Tite et Bérénice Gérard Edelinck (vers 1643-1680) ©

d’élèves sur le personnage de Thésée dans la mythologie. • Étude des vers 634-662 de la scène 5 de l’acte II. • « Vers le • Lecture en classe de l’aveu de Phèdre à commentaire », p. 141. sa nourrice (I, 3, v. 269-316). • Corpus d’écrit 2 (p. 164- Comparaison avec le texte d’oral 3. 167). Synthèse sur les caractéristiques de l’amour de Phèdre. • Réponse en classe aux questions du sujet « Vers le commentaire » de la page 141. Devoir à la maison : rédaction partielle du commentaire de la scène 5 de l’acte

œuvres d’art significatives étudiées en classe et associées à des mouvements culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal

séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe de Molière. 5. Jacob endosse avec une grande facilité le rôle de Baptiste qui est mort (l. 31-42). Cette substitution des identités (qui a été étudiée par René Démoris dans Le Roman à la première personne, Droz) montre l’avidité du personnage

séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe de Molière. 5. Jacob endosse avec une grande facilité le rôle de Baptiste qui est mort (l. 31-42). Cette substitution des identités (qui a été étudiée par René Démoris dans Le Roman à la première personne, Droz) montre l’avidité du personnage

d’énonciation (qui parle ? à qui ? dans quel contexte ?) et eu égard à ce qui est avoué : pensez que le verbe à une double transitivité : avouer quelque chose à quelqu’un : les deux compléments sont essentiels, ainsi que le sujet. Exemples de scènes d’aveu : _ Phèdre _ La Princesse de Clèves _ Les Confessions (le ruban, le peigne, la fessée) : spécificités par rapport à la confession. _ La Chute : pose la question de savoir où commence l’aveu et où commence l’accusation