Commerce Inter Firme Et Intra Firmes

le pays. L’échange international prend appui sur la complémentarité des économies et la spécialisation de certaines d’entre elles (exploitation d’un avantage). I. Les théories classiques et la spécialisation des économies Les théories du commerce international (CI) tentent d’expliquer : * Les différents flux d’échanges entre les pays, * La spécialisation dans certains types de produits qui en résulte, * Ainsi que les avantages de cette spécialisation. Ces théories se centrent

1. L’intégration au marché mondial devrait se traduire par une convergence des économies nationales 1.1 En se spécialisant à partir des différences nationales, les pays qui participent au commerce international connaissent une dynamique … 1) Les hypothèses des modèles • Immobilité des facteurs de production : Dans la théorie ricardienne, comme dans celle inspirée par Heckscher et Ohlin (HOS), les facteurs de production sont supposés immobiles au niveau international. En revanche, ils sont

........................................................................................ 8 2. La théorie éclectique « O.L.I » :.................................................................................... 10 3. Les stratégies des IDE et la firme multinationale : ....................................................... 12 3.1 3.1.1 3.1.2 3.1.3 3.2 Les stratégies des IDE............................................................................................ 12 La stratégie d’accès aux ressources

cycle de vie du produit II) Le commerce international et sa régulation 1) L’organisation de l’échange international : DIT p.5 a) La division internationale du travail (DIT) traditionnelle b) Une nouvelle DIT c) Pourquoi une nouvelle DIT ? 2) L’organisation du libre échange : GATT et OMC p.6 a) Le GATT b) L’OMC Les nouvelles théories du commerce international p.7 1) Théorie stratégique du commerce 2) Concurrence monopolistique

Picard* Vue de France, l’internationalisation des entreprises sous forme de firme multinationale présente deux dimensions : la présence sur le territoire d’entreprises contrôlées par des groupes étrangers et l’implantation à l’étranger de filiales sous contrôle français. Près d’un salarié sur deux des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (hors intérimaires) travaille en France dans une firme multinationale, soit 6,8 millions de salariés en 2010. Parmi eux, 1,8 million

technologie fixe. A partir de 1940, nouveau courant qui émerge, la théorie des coûts de transaction qui s'inspire des travaux de Ronald Coase « The nature of the firm » 1937 , Oliver Williamson « Market and hierarchy » (1975) Ce nouveau courant se concentre sur la question des frontières de la firme c'est à dire la question du partage entre la firme et le marché recours au marché ou intégration verticale. A partir de 1990 sous l'influence des différents courants c'est la question des stratégies des agents

mondialisation : Une donne pour les nations Définition : La mondialisation consiste à l’interdépendance incessante des économies et contribue à l’expansion des échanges et des interactions humaines. C’est le processus par lequel la production, le commerce, les investissements, les rapports humains et les finances s’internationalisent. Même si la mondialisation n’est pas une fin en soi, il faut néanmoins reconnaître que le phénomène a commencé à se généraliser vers les années 90 avec l’avènement

UNIVERSITE DE PARIS I PANTHEON - SORBONNE SCIENCES ECONOMIQUES SCIENCES HUMAINES SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUES , , Commerce international et marché du travail THESE POUR LE DOCTORAT EN SCIENCES ECONOMIQUES présentée et soutenue publiquement par Sébastien JEAN Directeur de recherche : Professeur Lionel FONTAGNE Jury : Professeur Antoine d'AUTUME(président), Université de Paris I Professeur Daniel COHEN (rapporteur), Ecole Normale Supérieure Professeur Didier LAUSSEL(rapporteur)

avec d’autres sociétés. Face à cette complexité, l’une des tentations consiste à réduire le niveau de variété de l’organisation et à contrôler le degré d’incertitude de l’environnement, dans une stratégie de fusion-acquisition au cours de laquelle la firme cherche à occuper le plus d’espace concurrentiel au détriment des autres, en dressant des barrières à l’entrée toujours plus élevées. Cette stratégie de concentration fondée sur la recherche d’une position dominante - voire monopolistique - présente

................................................................................................................................................................................. Wladimir Andreff La déterritorialisation des multinationales : firmes globales et firmesréseaux ...........................................................................................................................................................................................................................