Commentaire Une Pension Bourgeoise

mise en œuvre s’appuie sur des supports documentaires aussi variés que possible. Thèmes généraux I. La construction de la République (8 – 10h) Questions (A) et sujets d’étude (B) A. Moments et actes fondateurs (1880-1946) Notions Commentaire A. On montre comment la République est fondée sur trois piliers en s’arrêtant sur quelques moments décisifs Nation État-Nation Nationalisme Colonisation Colonialisme Les années 1880-1914 font triompher une conscience nationale unitaire qui

jury du festival de Cannes - 1953 : écrit les dialogues de Monsieur Ripois, de René Clément - 1954 : commentaire d'un court-métrage sur les Champs-Elysées - 1955 : écrit une chanson pour Gervaise de René Clément - 1956 : collabore au scénario de la Mort en ce jardin de Luis Buňuel - 1957 : collabore au scénario d'Amère victoire, de Nicolas Ray - 1958 : écrit le commentaire en alexandrins du Chant du Styrène d'Alain Resnais - 1959 : supervise la version française (doublée) de

heureusement sans cons�quence, et il venait en instruire Bouvard qui, par l�, fut plac� dans son estime � une prodigieuse hauteur.� Il �tait le fils d'un petit marchand, et n'avait pas connu sa m�re, morte tr�s jeune. On l'avait, � quinze ans, retir� de pension pour le mettre chez un huissier. Les gendarmes y survinrent ; et le patron fut envoy� aux gal�res, histoire farouche qui lui causait encore de l'�pouvante. Ensuite, il avait essay� de plusieurs �tats, ma�tre d'�tudes, �l�ve en pharmacie, comptable

obscénités et ses malices.» On pense que le roi lui donna le conseil de ne pas insister devant les attaques qui provenaient de ses ennemis, dévots scandalisés ou faux dévots, et il garda sa faveur au comédien royal : il lui accorda peu après une pension de six mille livres et fit, de sa troupe, la «Troupe du Roi». “Dom Juan” ne fut édité qu'en 1682, et cette édition, sauf pour les premiers exemplaires (trois nous sont parvenus), a été mutilée : on a supprimé la scène du pauvre, plusieurs phrases

obscénités et ses malices.» On pense que le roi lui donna le conseil de ne pas insister devant les attaques qui provenaient de ses ennemis, dévots scandalisés ou faux dévots, et il garda sa faveur au comédien royal : il lui accorda peu après une pension de six mille livres et fit, de sa troupe, la «Troupe du Roi». “Dom Juan” ne fut édité qu'en 1682, et cette édition, sauf pour les premiers exemplaires (trois nous sont parvenus), a été mutilée : on a supprimé la scène du pauvre, plusieurs phrases

traverser tout seul, et tout d’un coup, les combinaisons les plus actives de la séduction et de l’adultère. Et cet enfant n’a que de l’orgueil et pas un moment d’amour ! […] Je n’ai jamais vu nulle part plus de rage anti-jésuistique et anti-bourgeoise, que dans le livre de M. de Stendhal. Sous sa plume, tout se flétrit sans retour, le plus beau jour, le plus beau sol, les plus heureux sentiments. Il promène avec un admirable sang-froid son héros, son monstre, à travers mille turpitudes,

en sachant qu'on gagnera 2 F ou moins et qu'on sera engueulé pour avoir coulé le bon – écœurement que la maladie doit décupler. Ce manque de sympathie s'explique du fait qu'un « mauvais » boulot, s'il est épargné à une, est fait par une autre... Commentaire d'une ouvrière (Mme Forestier ?) « Elle n'aurait pas dû répondre... quand on a sa vie à gagner, il faut ce qu'il faut... (répété plusieurs fois)... Elle aurait pu alors aller dire au sous-directeur : J'ai eu tort, oui, mais ce n'est pas tout à fait

docteur Livesey. M. le chevalier a parlé, pour finir. – Hé mais ! n’en a-t-il pas bien le droit ? grommela le garde-chasse. Ce serait un peu fort que M. le chevalier doive se taire à cause du docteur Livesey, il me semble. Sur quoi je renonçai à tout commentaire, et lus sans plus m’interrompre : C’est lui, Blandly, qui dénicha l’Hispaniola, et il manœuvra si admirablement qu’il réussit à l’avoir pour un morceau de pain. Il y a dans Bristol une catégorie de gens excessivement prévenus contre Blandly. Ils

dans toute sa pureté et sa dignité, et n’était point encore souillée par la vanité, par le luxe, et par la sotte ambition. Un homme n’était honoré sur la terre qu’à cause de sa force ou de sa vertu ; il n’était point riche par des charges ou des pensions, mais par son champ, par ses troupeaux, par ses enfants et ses serviteurs ; sa nourriture était saine et naturelle, les fruits de la terre, le lait de ses animaux et de ses brebis ; ses vêtements simples et uniformes, leurs laines, leurs toisons

eux dans toute sa pureté et sa dignité, et n'était point encore souillée par la vanité, par le luxe, et par la sotte ambition. Un homme n'était honoré sur la terre qu'à cause de sa force ou de sa vertu; il n'était point riche par des charges ou des pensions, mais par son champ, par ses troupeaux, par ses enfants et ses serviteurs; sa nourriture était saine et naturelle, les fruits de la terre, le lait de ses animaux et de ses brebis; ses vêtements simples et uniformes, leurs laines, leurs toisons; ses