Commentaire Tyrannie De Voltaire

philosophe éclairé. Dans l’esprit des Lumières, le philosophe est un homme qui s’engage et propose des solutions pour réformer le système politique, car la réflexion critique permet de libérer l’homme de croyances reposant sur l’autorité ou la coutume. La tyrannie est ainsi pensée comme indissociable de l’ignorance. Les Lumières n’ont pas de modèle. C’est ainsi qu’ Emmanuel Kant les définit : Qu’est-ce que les Lumières ? La sortie de l’homme de sa Minorité, dont il est lui-même responsable. Minorité, c’est-à-dire

Souveraineté et absolutisme Commentaire Les attributs du pouvoir souverain Guy Coquille Institutions au Droit des François 1607 Selon Stendhal, « Le pouvoir absolu a cela de commode qu’il sanctifie tout aux yeux des peuples », en effet, le détenteur du pouvoir, et encore plus du pouvoir absolu est craint, parfois même vénéré par l’ensemble de la population, car à la manière du Prince de Machiavel, il sait se parer du masque du Lion et du Renard, agir avec force et ruse, afin d’affirmer son

dans  la littérature. Nous voyons  que  plusieurs  courants  littéraires  se  sont  succédées.  La  littérature  demeure  du romantisme  jusqu’au  symbolisme,  passant  par  le Parnasse, le  réalisme et  le  naturalisme. Ci­dessous un petit commentaire sur ces courants: VICTOR HUGO ­ 4 ➔ Le romantisme. Ce  mouvement  commence  en  Allemagne  avec  Goethe  vers  1750.  Un  demi­siècle  plus tard  le  mouvement  arrive  en  France  ou  la  sensibilité  et  l’individualisme  dominent.  Le

Bien, du Mal, du Bon, du Juste… : tout va être mis à plat pour être vérifié. C'est le doute total, le scepticisme, et l'effervescence intellectuelle • Ils refusent tout principe aliénant non rationnel : les dogmes, l'obscurantisme religieux, la tyrannie (despotisme), principes moraux, sociaux, politiques. • Ils refusent toute entrave à la Paix sentie comme un élément fondateur du Bonheur terrestre et reflet de l'intolérance : inadmissible dans un contexte de recherche, de relativité (racisme

d’uniformisation ? La deuxième sous-partie explore le rêve collectif en s’intéressant à la manière dont il peut être un moyen de survie en groupe. Rêver ensemble, n’est-ce pas une manière de se fixer un idéal collectif pour lutter de concert contre la tyrannie ? Le rêve n’est-il pas à l’origine de toute résistance ? C’est que suggèrent les textes de Victor Hugo, Jean Cayrol et Ignacio Ramonet. La troisième et dernière sous-partie achève ce parcours en évoquant le rêve politique. Rêver à plusieurs, c’est

les absurdités et les défauts d’un système qui, par habitude, n’est pas remis en cause. Cette œuvre est ouverte dans le sens où la raison n’est jamais incarnée par un seul personnage, mais réside un peu en chacun. Par exemple, Usbek critique la tyrannie alors qu’il est lui- même un tyran domestique. Aussi la réflexion excède t-elle parfois le cadre de l’Europe: c'est ainsi que les lettres abordent le problème de la situation féminine, en Orient et en Occident. De cette réflexion sociologique découle

d’uniformisation ? La deuxième sous-partie explore le rêve collectif en s’intéressant à la manière dont il peut être un moyen de survie en groupe. Rêver ensemble, n’est-ce pas une manière de se fixer un idéal collectif pour lutter de concert contre la tyrannie ? Le rêve n’est-il pas à l’origine de toute résistance ? C’est que suggèrent les textes de Victor Hugo, Jean Cayrol et Ignacio Ramonet. La troisième et dernière sous-partie achève ce parcours en évoquant le rêve politique. Rêver à plusieurs, c’est

être permis : seul le tuteur pourrait demander la dissolution du contrat. Cependant, des exemples montrent que la pratique existe bien. Ainsi, Hipparétè, femme d'Alcibiade, demande le divorce en se présentant en personne auprès de l'archonte. Les commentaires de Plutarque suggèrent qu'il s'agit là d'une procédure normale. Dans le Contre Onétor de Démosthène, c'est le frère de l'épouse, son tuteur, qui introduit la demande de divorce. Sparte, se distingue des autres cités grecques car elle place les

linéaire en paraphrase inutile, pourrait y parvenir. Inversement, une démarche prenant du recul par rapport au texte au point de le perdre de vue paraît tout aussi condamnable. Proposons un exemple concret, le début du second chapitre de L’Ingénu. Voltaire y souligne les talents de l’Ingénu, bien né et bien disposé naturellement, et dénonce a contrario le laxisme des sociétés réputées civilisées, préférant à l’instar de la France du XVIIIe siècle se prélasser plutôt qu’agir avec efficacité. Un tâtonnement

résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 8) l’intérêt psychologique (page 9) l’intérêt philosophique (page 15) la destinée de l’œuvre (page 15) des commentaires de passages (pages 16-19). Bonne lecture ! RÉSUMÉ Acte I «La scène est à Nymphée», port de la mer Noire. On est en 63 avant Jésus-Christ. La nouvelle de la mort de Mithridate, le vieux roi «de Pont et de quantité d'autres