Commentaire Tirade Des Nez

Une méthode et des techniques pour l’écrit et l’oral LE COMMENTAIRE Adaptable à la lecture analytique  « Le commentaire porte sur un texte littéraire. Il peut être également proposé de comparer deux textes. En séries générales, le candidat compose un devoir qui présente de manière organisée ce qu'il a retenu de sa lecture, et justifie son interprétation et ses jugements personnels. »   NB : idem dans l’initiation en seconde. NB : pas de jugements personnels dans le développement

discours à la fenêtre, Fonda est tout ouïe. Lorsque Fonda cite une preuve en question, il dirige ses commentaires à ses alliés tels que Klugman, Fiedler, et Voskovec. Lorsque ces trois donnent leurs accords à son idée avancée, Fonda plus tard, dira : « Nous avons tous convenu que ... » Fonda est moins aimable avec ses adversaires. La seule réponse qu'il donne à Warden sur ces commentaires et questions tout au long du film est de l'accuser de préférer vouloir se rendre à un match de baseball

elles est l'emploi de didascalies. Sur ces quelques vers, une est particulièrement intéressante. Elle se situe au vers 26. Edmond Rostand écrit : « A part dégrisé » pour décrire Cyrano qui précise : » c'est vrai, je suis beau, j'oubliais ! ». Cette tirade de Cyrano ne s'adresse pas aux autres personnages mais bien aux spectateurs de la pièce. En effet, Cyrano jusqu'à présent s'adressait à Roxanne en se faisant passer pour Christian. Son élan lyrique, vient s'interrompre par une remarque de Roxanne

de pouvoir enfin dire je (voir Ruy Blas qui, marchant « dans [son] rêve étoilé », peut oublier la « laideur » de sa condition de valet et avouer son amour à la reine d'Espagne). Le retour à la réalité en est d'autant plus rude et pathétique. Le commentaire élogieux de Roxane : « Et tu es beau comme lui... » le dégrise. Le duo lyrique avec Roxane est bien fini : Cyrano est renvoyé à sa solitude, pendant que Christian enlace Roxane. 2. Un certain humour Cependant, en contrepoint, Rostand apporte quelques

de pouvoir enfin dire je (voir Ruy Blas qui, marchant « dans [son] rêve étoilé », peut oublier la « laideur » de sa condition de valet et avouer son amour à la reine d'Espagne). Le retour à la réalité en est d'autant plus rude et pathétique. Le commentaire élogieux de Roxane : « Et tu es beau comme lui... » le dégrise. Le duo lyrique avec Roxane est bien fini : Cyrano est renvoyé à sa solitude, pendant que Christian enlace Roxane. 2. Un certain humour Cependant, en contrepoint, Rostand apporte quelques

texte donc vraiment :) deplus je ne suis qu’en seconde scientifique !! Bonne chance pour le bac !! Georges dit : à Bien complet. Nicolas dit : à Vous avez fini de vous plaindre ça mâche bien le travail ce commentaire ! (un élève de 1ere S qui est content de pas avoir a travailler son français grâce à ces fiches =D) jean-no dit : à cette introduction est incorecte. Elle ne présente aucune problématique est-ce normal ? megane dit :

Commentaire de texte, acte 3 scène 1 Un an après " Tartuffe " et sa censure Molière va à nouveau évoqué la question de la religion dans son œuvre nommé Dom Juan ou le Festin de Pierre , à une époque où celle-ci prend une grande place dans la société et où les libertins, se détachant de toute morale ou croyances religieuses sont très perçus. Dom Juan est une comédie en cinq actes paru en 1665 mettant en scène un libertin s'écartant de

dialoguent. Le sujet de leur discussion porte sur le départ précipité de Don Juan et on en vient à un portrait du maître . lecture Problématique : nous étudierons « citez mot pour mot la question de l’examinateur ». Question 1 : porte sur la première tirade de Sganarelle. . Art de la rhétorique : Sganarelle montre qu’il sait parler. Sganarelle veut impressionner Gusman : il va faire « l ‘éloge du tabac : d’une part , le tabac est très en vogue chez les nobles au XVIIème et cela permet à Sganarelle

annoncé par Balzac : « une  terrible action » (p.213). 1er mouvement : la tirade du père amical, voulant « voir » l’or de sa fille, 2ème mouvement : l’affrontement père / fille, 3ème mouvement : la tirade du père tyrannique, décidant de châtier Eugénie. La composition dramatique de cette scène capitale est mise en valeur par les péripéties autant que par le dialogue. Etude linéaire : 1er mouvement : la tirade du père bienveillant, voulant « voir » l’or de sa fille (lignes 1 à 35)

l’abondance des illustrations dans les journaux conduisent à une multiplication des titres, ininterrompue jusqu’à la fin du siècle. Nombreux sont les écrivains à collaborer à cette évolution : les numéros proposent, outre les informations et les commentaires de l’actualité politique, des romans sous frome de feuilletons. George Sand, Alexandre Dumas, Balzac, puis Guy de Maupassant et Emile Zola en seront les auteurs les plus fameux. Les critiques d’art, comme Charles Baudelaire, participent au débats