Commentaire Monologue Pathetique

travers elles, ce dernier parle de lui. Jean-Pierre Richard qualifie l’ouvrage d’« autobiographie oblique ». 1. Une biographie recomposée (questions 1 et 2) Le narrateur est omniprésent dans ce double portrait, ponctuant celui-ci de remarques et de commentaires. On relèvera les nombreux modalisateurs qui jalonnent les deux premières phrases (« bien », « sans doute », « bien davantage », « profondément »). La formule « qui m’importe peu » (l. 2) révèle que l’écrivain ne cherche pas l’exactitude biographique

Expliquez votre choix, sans oublier d’analyser le style et la composition des extraits. a)  ierre Bayle (1647-1706), « De la tolérance » P (Commentaire philosophique) Précurseur avec Fontenelle de l’esprit des Lumières, Bayle s’attache à dénoncer la superstition et à réclamer la liberté de conscience. En conjuguant une grande érudition et des commentaires souvent ironiques, il a établi une méthode et un style dont les Encyclopédistes du XVIIIe siècle se souviendront. « Si chacun avait la tolérance

miracle par personnages), poèmes polémiques (par exemple pour défendre les maîtres séculiers contre les frères prêcheurs, vers 1250), appel à la croisade (Nouvelle complainte d'outremer), œuvres satiriques (Renart le Bestourné ou Dit de l'Herberie, un monologue imitant celui du charlatan qui vend ses herbes). Ses vers les plus connus sont les Poèmes de l'infortune, qui peignent la pauvreté, le froid, le jeu, la débauche, la vie et la mort pitoyable de ses compagnons de misère, par exemple dans le toujours

……………………………….page 30 Expression écrite Questions Résumé Production écrite ………………………………………………………….page 43 La dissertation littéraire ………………………………....page 56 Le Commentaire composé ………………………………..page 65 Exercices cours de renforcement ………………………page 72 LECTURE MÉTHODIQUE DONNÉES MÉTHODOLOGIQUES I° La démarche de la lecture méthodique

...................................................................................159 Vertus féminines, vertus conjugales.....................................................................162 Une identité tragique confirmée : de la passion pathétique à la majesté funèbre .............................................................................................................................164 CHAPITRE 8 – FAMA PUBLIQUE ET GLORIA LITTÉRAIRE : UNE TRAGÉDIE DE LA RENOMMÉE. .168 « Fame aislee

……………………………….page 37 Œuvre 2 : Le mariage de Figaro ………………………………..page 48 Expression écrite Questions Résumé Production écrite ………………………………………………………….page 53 Le Commentaire composé ………………………………..page 63 PERFECTIONNEMENT ET SAVOIR-FAIRE SAVOIR-FAIRE : UTILISATION D'UN DOCUMENT ÉCRIT (Journal, œuvre, manuel, revue, dictionnaire) Cours : Qu'est-ce qu'un

péripéties), refusés plus tard par le genre, soient remplacés par une concentration du discours sur le péril de mort. L’auteur doit alors amplifier la crise par divers moyens. D’abord en jouant sur le lyrisme élégiaque et l’introduction du pathétique, ensuite en distillant les informations et en fractionnant les reconnaissances (le principe de l’anagnorisis) qui permettront le dénouement. L’auteur peut ainsi avoir recours à des quiproquos tragiques, sur un mot, sur une personne, fortuits ou

écriture, en lecture, de s’approprier des notions d’histoire littéraire, de progresser vers l’autonomie, d’acquérir une approche de plus en plus réflexive de la littérature. Or la lecture analytique de textes sélectionnés par mes soins, la pratique du commentaire composé et de la dissertation, m’apparaissent comme des moyens de gloser, de décomposer, mais non de pratiquer l’écriture. Ajoutons qu’ en me limitant à ces exercices, je risque de laisser peu de place à l’autonomie. Peut-on parler d’autonomie

texte ; • une rubrique « Vérifier sa lecture », sous forme de QCM, de vrai ou faux, ou de remise dans l’ordre des actions ; • une rubrique « Analyser le texte » (l’élève est conduit à s’approprier les spécificités du genre théâtral : dialogue, monologue, répliques, apartés, coup de théâtre, relations entre les personnages et à analyser la dimension comique de la pièce) ; • une rubrique « Retenir l’essentiel », souvent présentée sous forme de schéma ou de carte mentale, qui permet de faire

spectacle? », ainsi que les regards soutenus des personnages adressés au public, puis finalement la venu des acteurs dans celui-ci. De plus, un rire excessif émane fréquemment d'une personne du public, sans raison apparente, donnant lieu aux commentaire des autres spectateurs qui s'interrogent sur la raison de ce rire déplacé. Cette même personne s'avère être, à la fin de la pièce, un narrateur à distance muni d'un microphone. La salle se vide au fur et à mesure que le temps passe, comportement