Commentaire La Muse Malade

L’histoire de l’art est terminée (1981) 8 L’histoire de l’art est terminée (1981) Introduction Retour à la table des matières Quand Platon voulait chasser les artistes et les poètes de la république, même s'il « touchait juste », selon le commentaire moderne de Proudhon 1, il ne prédisait pas la mort de l'art - qui n'avait pas encore d'histoire. Il dénonçait seulement les artistes comme menteurs néfastes. Curieusement, l'idée de la mort de l'art est née aussitôt qu'est apparue la conscience

matire de son violent pamphlet publi Ianne prcdente Napolon-le-Petit, quil appelait aussi Nabot-Lon. Mais il nallait avoir, sous le Second Empire, quune influence de chansonnier. Sous des formes trs varies, les pomes obissent une mme inspiration, la muse Indignation. Hugo, Juvnal rincarn, condamne avec violence le crime commis, et dnonce la bassesse du nouveau rgime, ses vices et ses dportements prsents comme une dcadence de Bas-Empire. Pour mieux fltrir la rpression mene par Napolon-le Petit, il adopte

..............................8 IV. CORRESPONDANCES............................8 V......................................................................8 VI. LES PHARES...........................................9 VII. LA MUSE MALADE...............................9 VIII. LA MUSE VÉNALE............................10 IX. LE MAUVAIS MOINE............................10 X. L’ENNEMI...............................................10 XI. LE GUIGNON.........................................10 XII. LA VIE ANTÉRIEURE

qu'à peine ont aperçue / Les glaces d'un café lasses de tant de mouches / Jeunesse et je n'ai pas baisé toutes Ies bouches / Le premier arrivé au fond du corridor / 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Mort / Une ombre au milieu du soleil dort c'est l'oeil.» Commentaire Aragon joignait et brisait les influences (Rimbaud, Reverdy, Apollinaire, mais aussi les libertins du XVIIe siècle) pour alléger d'une ellipse les aveux biographiques. Réécriture, masque et mélodie : malgré les métamorphoses, les données essentielles

qu'à peine ont aperçue / Les glaces d'un café lasses de tant de mouches / Jeunesse et je n'ai pas baisé toutes Ies bouches / Le premier arrivé au fond du corridor / 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Mort / Une ombre au milieu du soleil dort c'est l'oeil.» Commentaire Aragon joignait et brisait les influences (Rimbaud, Reverdy, Apollinaire, mais aussi les libertins du XVIIe siècle) pour alléger d'une ellipse les aveux biographiques. Réécriture, masque et mélodie : malgré les métamorphoses, les données essentielles

brise dans sa cellule de Sainte Pélagie[133] prouverait à Gérard l’existence d’un Dieu (v. 21 – 24). Le vent intervient dans la description des hivers futurs de La muse vénale[134]. C ‘est Borée, le rude vent du Nord, lâché par « Janvier[135]. » Les majuscules accentuent le style allégorique du vers. « Dans les régions où les vents soufflent avec régularité dans la même direction (bora, sirocco), le processus de personnification

félin, cet « amoureux fervent (s) » (8), se fait très proche de son maître. Les deux êtres se ____________________________________________________________ __________________(1)Gérard Conio, Baudelaire, Etude de Les Fleurs du Mal : Analyses et commentaires, série : OEuvres Majeures, Marabout, Alleur (Belgique), 1992, p. 301.(2) Siganos souligne dans Mythe et écriture : la nostalgie de l'archaïque que l'animalité est ce qui est « en dehors de l'animal lui-même, ce qui ne parle pas le langage des hommes

auteur, GS pour illustrer les articles. Ce portrait est caractéristique car c’est le moment où elle s’est coupé les cheveux de manière grossière et a un air tragique (fin de l’épisode avec Musset, qu’elle avait rencontré en 1833, déjà célèbre, Musset malade à Venise). Sociologie du portrait : D et S conversaient sur le plan de la relation amoureuse et D lui donnait des conseils lors de la pose du modèle. Ce portrait de 1838 ici était exécuté en même temps qu’un autre portrait : celui de Chopin

générale est entourée d'un programme culturel très chargé sur dix jours avec des visites de villes et de musées. Seulement une seule fois, la section est-allemande répond aux demandes du secrétaire général de l'AICA, avec la programmation d'une visite d'ateliers d'artistes37 à Dresde dans la soirée du mercredi 04 septembre 1974. Sinon, il y avait au programme des nombreuses visites de musées et lieux historiques et aussi de quelques expositions. Concernant les expositions et ateliers d'artistes,

définies par les grands genres académiques. » Goffette propose ainsi un récit très poétique qui intègre de nombreuses répétitions stylistiques et mélange la poésie à la prose en absorbant par collage plusieurs poèmes en plus d'intervenir, par des commentaires personnels, sur le déroulement des événements de l'histoire. L'auteur imagine la vie du poète en s'intéressant à des fragments de vie, à des épisodes divers qu'il a minutieusement choisis sans respecter à la lettre la chronologie propre à la biographie