Commentaire De Texte Constitution De 1791

révision de la Constitution : approche comparée Rappel aux étudiants : Cette correction ne se veut pas exhaustive. N’hésitez pas à consulter des ouvrages à la bibliothèque ou en ligne en plus de celle-ci et du cours de M. Euzet pour parfaire vos connaissances. La notion de « révision de la Constitution » Mots clés : - Constitution - Révision de la Constitution - « Constitution souple » et « Constitution rigide » - État de droit I. Constitution « souple » et Constitution « rigide » : approche

COMMENTAIRE DE LA DECLARATION DE ST OUEN DU 2/05/1814« Tel est le malheur de la royauté, que le souverain est souvent le seul de son royaume par qui le cri universel de la nation ne soit pas entendu. » Malesherbes. Cette citation est à l’opposé du malheur de Louis XVIII, mais représente son projet constitutionnel. Le texte étudié est la Déclaration de Saint-Ouen du 2 mai 1814, et est prononcée par Louis XVIII, Louis-Stanislas Xavier de France. Elle porte sur le refus de la Constitution du Sénat

Commentaire de texte de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen I. Introduction L’auteur de ce texte, est l’Assemblée constituante française, qui fut fondée par des députés des Etats généraux. Elle deviendra très vite, l’Assemblée nationale constituante (qui est représentée principalement par le tiers état). Dans le texte : « Les représentants du peuple français ». Ils sont bien sûr acteurs à la révolution. Cette déclaration, s’adresse à une collectivité. Tout d’abord aux français

très court. Il est souvent dit que « La France est un pays consommateur de constitutions » à l’inverse des pays anglo-saxons. Il y a eu tellement de constitutions qui se sont succédées qu’on n’est pas certain du nombre exact. Il est dit qu’il y en a eu quatorze qui ont été mises en place : trois sous la Révolution, trois sous le Consulat et l’Empire, deux chartes, la constitution de 1815 (durée de 100 jours), la constitution de 1848, celle de 1852 (Second Empire), de 1875 (IIIème République), de 1946

mais aussi et surtout la liberté. Le développement de ces concepts sont le fruit d'une opinion éclairée, par nature minoritaire car lettrée. Toutefois, cette opinion va élargir son audience au sein du Royaume de France, et même au delà, grâce à la constitution de salons, de sociétés secrètes, d'organes de presse ou encore du théâtre. ⁃ Le parti philosophique: pour Diderot, le philosophe est un Homme honnête qui cherche à se rendre utile. Cette utilité se traduit par la compréhension, l'explication

Les mentalités sont forgées de croyances anciennes, sur les femmes notamment. Il y a des mythes qui continuent d'exister depuis le moyen age, plus particulièrement un : la femme doit tout à l'homme, elle lui est soumise... Femme faible de par sa constitution, femme tentatrice, femme fatale, les femmes, depuis des temps très anciens, sont cause de nombreux malheurs. La considération des femmes Au 18eme siècle, Les femmes ne sont pas considérées comme de vrais individus pour les hommes de 1789 mais

la poursuite et d’assurer la répression des comportements prohibés. D’ailleurs, et la donnée est particulièrement intéressante, le premier Code pénal français (1791) avait été conçu comme le verso du « catéchisme révolutionnaire », le recto étant formé par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et la Constitution de 1791. Toutefois, pour révéler moult éléments de droit public, le droit pénal entretient des liens très étroits avec le droit privé. Le procès pénal, dans lequel la

intéressent sont les acteurs influents de la vie politique (syndicats, lobbys, associations, partis politiques) qui ne sont pas mentionnes dans la constitution. Juristes : s'intéressent aux institutions des textes constitutionnels. Institution : une entité unique ou collégiale qui exerce des pouvoirs définis dans les textes des constitutions des Etats. Synonymes : Organes : Utilise au XVIIIe siècle, époque de l'émergence des sciences naturelles, on calque les sciences constitutionnelles

l'Etat : territoire , population, organisation politique> pouvoir de contrainte · pouvoir de contrainte : l'état peut fixer des règles de comportement et d'en imposer le respect - pouvoir normatif, pluralité des normes, hiérarchie des normes (constitution, loi, décret, arrêté). Il n'est pas un monopole il est partagé (ex: les contrats entre particuliers, les groupements ont un pouvoir normatif) - monopole de la violence légitime (sanction): Seul l'Etat détient le pouvoir d'exiger par la force

populations européennes du Moyen Age au xixe s.).  Comment évolua la population du xvie au xviiie s., à partir – de l’exemple français ? (Dossier : Croissance de la population et révolution démographique en France, xvie-xviiie s.). B) Commentaire de la carte (pp. 16-17) Doc.  a population du monde à la fin L de la Préhistoire et au début de l’Antiquité La carte de cette double page ne présente que deux éléments – mais ils sont essentiels – relatifs à l’Europe au début de l’Antiquité