Commentaire Classicisme

majeures du xviie siècle qui se complètent et s'opposent. Créée en 1635, elle se trouve dans une époque charnière où l’inspiration baroque reste majeure mais où déjà le mouvement classique tente de s'imposer. C'est pour cela que l'on ne parle de classicisme absolu. 7. La catharsis est l'épuration des passions par le moyen de la représentation dramaturgique. Ainsi, par exemple, le spectateur serait horrifié en voyant une mère massacrer ses enfants, mais il peut assister, sans bouger de son siège, à

il faut lui parler sous forme de fable (art qui tire partie de l’enfance et qui essaie de les guider hors de la permanence de l’enfance chez les adultes) Il y a une forme de sagesse dans le fait d’écrire des fictions chez La Fontaine. C’est du classicisme avec le bon goût et l’intervention non ennuyeuse L’art du plaisir conforme à l’esthétique. Le plaisir de conter et d’amuser colle à la perspective des conversations des salons mondains de l’époque qui est si importante au XVIIe. Pour être

conspiration en 1537. Il n’en verra jamais la représentation de son vivant. A l’époque de Musset, le romantisme prend son essor au XIXème siècle et influence différents genres comme la poésie, le roman ou le théâtre. C’est un mouvement qui s’oppose au classicisme et qui a l’ambition de révolutionner les règles qui gouvernaient l’écriture. Au théâtre il prend la forme du drame romantique : Lorenzaccio en est une pièce représentative. Cette pièce a d’ailleurs souvent été considérée comme le modèle le plus

"grands" se regroupaient dans des salons où ils faisaient des jeux littéraires (écriture de poèmes, épigrammes, critiques littéraires, etc.). Tout le monde peut devient écrivain, aristocrates, religieux, le but est de montrer son esprit.    2. Le classicisme : Apogée du mouvement classique : on s'inspire des écrivains de l'Antiquité (La Bruyère s'inspire de Théophraste), on cherchait à appliquer des règles précises dans un but de perfection formelle et du langage, des idées... recherche de la clarté

mettrons en exergue la satire sociale émanant de cette comédie du pouvoir et qui se présente comme une révolte en action. I – Une scène d’exposition entre tradition et modernité L’Île des esclaves semble obéir doublement à un héritage théâtral (classicisme) et à une perception moderne. 1 – Une scène d’exposition traditionnelle Une scène d’exposition classique/traditionnelle se charge d’informer le lecteur et le spectateur, et ce, in medias res, de toutes les données lui permettant de comprendre

qui se promène dans les bibliothèques, les foires, mange des cornets de frites et va au cinéma. Comme nous, il est banal. C/ Le souci de la vraisemblance et de la réalité. Le souci de vraisemblance imposé par les règles du Classicisme au XVIIe siècle justifiait les actions des personnages. Ainsi, la Princesse de Clèves restera fidèle à son mari et ce même après sa mort. Par ailleurs, un personnage ayant des qualités extraordinaires ne "colle" pas avec la réalité du lecteur.

que jamais amoureuse de Rodrigue devenu un héros national, Chimène reste sur sa position et obtient du roi un duel entre don Sanche et Rodrigue. Elle promet d’épouser le vainqueur. Cette pièce est une tragi-comédie qui appartient au courant du classicisme mais elle est profondément influencée par l'esthétique baroque. Nous avons choisi l’édition Jean Serroy. II. Les principaux thèmes de l’ouvrage : Les grands thèmes du Cid : - Le conflit de l'amour et de l'honneur : c'est le thème principal

de Vigny. Artistes : Le peintre Delacroix. c) Idées communes aux artistes romantiques : Les romantiques réagissent contre le mouvement littéraire et culturel dominant au 17e et 18e siècles : le Classicisme. Les romantiques privilégient l’expression de l’émotion personnelle, en opposition au classicisme qui considérait que les sentiments personnels étaient inintéressants, honteux et sans noblesse. Exemple : Dans « Milly ou la terre natale », Lamartine parle de son amour pour son village ce qui

ntroduction Romancier, poète et dramaturge parmi les plus célèbres du patrimoine littéraire français, Victor Hugo fut également un fervent partisan du renouvellement de l'esthétique théâtrale. Refusant de plier sous le dictat des règles du théâtre classique, il publia en 1830 « Hernani », pièce en cinq actes sonnant l'avènement du drame romantique. Présentée pour la première fois à la comédie française, « Hernani » provoqua une vive querelle entre les partisans du classique et la nouvelle génération

vivante de l’écriture explique la violence des insultes portées à l’encontre des partisans du classicisme (Grimauds hideux qui n’ont, tant leur tête est vidée/ Jamais eu de maîtresse et jamais eu d’idées ) ainsi que le ton moqueur que le poète adopte dès qu’il s’agit de railler le désarroi de tel ou tel vieillard classique devant les audaces de la jeunesse romantique. *Ce rejet énergique d’un classicisme sclérosé coexiste avec l’éloge de pratiques d’écriture qu’ Hugo juge plus fécondes et auxquelles