Commentaire Butor La Modification

manière traditionnelle, il faut que le lecteur se les représente de lui-même et pour cela l’auteur va jouer avec la notion du temps pour décrire intensément ces mouvements anodins et quotidiens. Cette citation peut être mise en relation avec La Modification de Butor qui relate un simple voyage en train sur tout le roman. « Non seulement ils se méfient du personnage du roman, mais, à travers lui, ils se méfient l’un de l’autre. Il était le terrain d’entente, la base solide d’où ils pouvaient d’un commun

réalité, car il connait le monde dans lequel il vit 3. Le narrateur personnage, peut aussi faire des dialogues dans son histoire 3. Le rôle du roman ne serait-il pas de proposer une autre vision du monde et des hommes ? Résumé du commentaire de texte Bien qu’assez simple en apparence, Le roman est un genre complexe de la littérature. François Mauriac affirmait par exemple dans Le romancier et ses personnages, en 1972, qu’« On ne pense pas assez que le roman qui serre à la réalité du

âme.", Paul et Virginie, 1788. | |ACTIVITES |Lecture analytique de type linéaire | | |Commentaire littéraire | | |Prise de parole à l’oral | |

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

Commentaire littéraire : L’Etranger d’Albert Camus, la scène du meurtre Albert Camus est un auteur du XIXème siècle appartenant au mouvement littéraire de l’absurde, qui décrit le non-sens de l’existence humaine et l’étrangeté de l’homme, comme Jean-Paul Sartre par exemple, où encore Ionesco. Il écrivit entre autre La Chute, La Peste et bien sûr L’Etranger, publié en 1942, qui raconte la vie d’un homme étranger à lui-même, aux autres et à la société et qui va être condamné pour meurtre. Nous

l’égard des dogmes trop rigides et constitua un courant qui, grâce à la Réforme, permit une nouvelle libération des hommes et l’apparition d’un esprit de tolérance(Réforme : processus élaboré dans l'Église catholique du XVe et XVIe siècle pour la modification et la réorganisation de ses structures, de ses pratiques et de ses dogmes et ayant abouti à la formation d'Églises séparées.)Ex : RabelaisLa Pléiade Il s’agit d’un groupe de sept jeunes poètes réuni par Ronsard (Du Bellay, Pontus de Tyard, Baïf

de penser », 1764. - Flora Tristan, Promenades dans Londres, 1840. - Victor Hugo, L’Homme qui rit, 1869. - André Malraux, La Condition humaine, 1933. - Robert Antelme, L’Espèce humaine, 1947. - Hannah Arendt, Eichmann à Jérusalem, 1961. Commentaire : (Voltaire, Candide, « Le nègre de Surinam), 1759. Axe 1 : Une mise en scène pathétique. Axe 2 : Un réquisitoire rationnel contre l’esclavage. Séquence 2 : Le théâtre en crise. Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation du

opposant les adverbes temporels (« toujours » /  « parfois ») et les adjectifs indéfinis (« tous » / « quelques »). A l’inverse des autres genres, qui visent l’un, l’absolu, l’universel, le roman est du côté du relatif, du divers, du multiple. Commentaires : La thèse proposée semble aller de soi. Le roman est en effet souvent défini comme un genre sans loi, à la différence des autres genres. Si le théâtre suppose un code spectaculaire (mise en scène de la parole), si la poésie sert le langage

conventions et à déstabiliser les habitudes du lecteur (ex : La modification de Butor en 1957 sollicite le lecteur par l’emploi constant de la 2èmepersonne). Avec Sarraute, Butor, Robbe-Grillet, le roman tend à refuser la psychologie des personnages qui sont souvent anonymes : On note une perte d’identité des personnages qui n’ont parfois plus de nom, une initiale (« k » chez Franz Kafka) ou un pronom personnel (« vous » chez Michel Butor). Le roman privilégie des êtres socialement indéterminés, marginaux

Commentaire composé « L’Albatros » Charles Baudelaire Introduction : Deuxième poème de la section Spleen1 et Idéal des Fleurs du Mal, publié en 1857, « L’Albatros » aurait été écrit lors d’un voyage auquel Baudelaire avait coutume de se livrer pour s’arracher des tentations parisiennes. De retour de l’Ile Maurice, le poète voit des albatros s’abattrent sur le sillage du bateau. Les marins amorcent l’animal en lui jetant de longues lignes armées d’un hameçon garni. Le palmipède se laisse