Commentaire Berenice Racine

déclaration d'amour à la reine. C'était, comme on le devine, l'instant où celui-ci se jette aux pieds d'Esther pour implorer le pardon de ses crimes. si tous les drames étaient entendus selon cette méthode, ils y gagneraient de grandes beautés, même ceux de Racine. «Les comédiens me semblaient excessivement petits et cernés d'un contour précis et soigné, comme les figures de Meissonier. Je voyais distinctement, non seulement les détails les plus minutieux de leurs ajustements, comme dessins d'étoffe, coutures

envahi pour le pire la scène royale. Les acteurs de la querelle des Anciens et des Modernes sont les contemporains de La Fontaine : Lully d’un côté, Jean-Nicolas de Francine18 de l’autre. De même lorsqu’il évoque Sophocle, c’est sous les traits de Racine. Comme l’origine dans les traités d’histoire, les Anciens ne sont pas convoqués dans une perspective historique, mais purement contemporaine. C’est à nouveaux frais que la question de la musique antique est reprise au XIXe siècle. Les connaissances

dépasse le cadre de faiseur de vers. Hugo s’impose comme un tenant du légitimisme, fervent opposant au régime qui vient de s’écrouler. Cet élément-là est le symptôme de l’état d’esprit dans lequel il se trouve. 1817, Athalie ou les Scandinaves (cf. Racine, Athalie : l’action se déroule dans le nord. Drame terrible, sanglant. Intérêt que Hugo manifeste pour l’antiquité scandinave dans un autre texte, un roman d’une autre facture : Han D’Islande. Ce qui est intéressant ici, c’est cette inspiration qui

mention suivante : "Cet ouvrage, imprimé à petit nombre aux frais et pour le compte des souscripteurs, n'a pas été mis en vente". Un feuillet blanc manquant. BOËCE. La Consolation philosophique… Berlin, Le Frère Roblau, 1744. 2 volumes in-12, veau raciné, triple filet, dos lisses ornés, roulette intérieure, tranches dorées (Derôme). 120 € Nouvelle traduction avec la vie de l'auteur, des remarques historiques et critiques, et une dédicace massonnique : par un frère-Masson. Cette édition est en fait

sortir et mendier le tumulte. Car ou l'on pense aux misères qu'on a ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts l'ennui de son autorité privée ne laisserait pas de sortir du fond du coeur où il a des racines naturelles, et de remplir l'esprit de son venin. B. B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état propre de sa complexion. Et il est si vain, qu'étant plein de mille causes essentielles d'ennui

sortir et mendier le tumulte. Car ou l'on pense aux misères qu'on a ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts l'ennui de son autorité privée ne laisserait pas de sortir du fond du coeur où il a des racines naturelles, et de remplir l'esprit de son venin. B. B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état propre de sa complexion. Et il est si vain, qu'étant plein de mille causes essentielles d'ennui, la

sortir et mendier le tumulte. Car ou l'on pense aux misères qu'on a ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts l'ennui de son autorité privée ne laisserait pas de sortir du fond du coeur où il a des racines naturelles, et de remplir l'esprit de son venin. B. B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état propre de sa complexion. Et il est si vain, qu'étant plein de mille causes essentielles d'ennui

(page 273) ; l’amour entre Camusot et Coralie et l’amour pur entre Lucien et Mme de Bargeton (page 278) ; l’amour sensuel et l’«amour pur» (page 279) ; la représentation et après chez les actrices (page 283) ; la pauvreté et le festin (page 294) ; Bérénice et Coralie (page 301) ; le décor et les moeurs de l’actrice (page 305) ; le « monde » et la chambre (page 309) ; actrice et sainte (page 314) ; Lucien arrivé et le nouvel arrivant (page 330) ; Angoulême et les puissances parisiennes (page 346) ;

sortir et mendier le tumulte. Car ou l'on pense aux misères qu'on a ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts l'ennui de son autorité privée ne laisserait pas de sortir du fond du coeur où il a des racines naturelles, et de remplir l'esprit de son venin. B. B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état propre de sa complexion. Et il est si vain, qu'étant plein de mille causes essentielles d'ennui, la

« dérider » ; le fou de Hamm (p. 49) ; le conte de Noël ou le « roman » de Hamm (histoire du mendiant qui vient lui confier son fils : p. 69-72, puis p. 78-80). Les passages relatifs au récit de cette dernière histoire mettent en parallèle les commentaires de Hamm créant le style du récit et le récit lui-même ; on reconnaît dans celui-ci des faits qui peuvent renvoyer à la manière dont Clov a été recueilli par Hamm (cf. p. 54). 5. Les objets : l’escabeau dont se sert Clov pour grimper aux fenêtres