Commentaire Belle Du Seigneur Monologue Intérieur

Sarraute dans ses textes met en scène des personnages vivant des situations de crise; celles-ci génèrent des mouvements intérieurs appartenant à l’ordre des sensations et appelés des « tropismes ». Dans Portrait d’un inconnu, les personnages sont des porteurs de tropismes que le lecteur découvre lors de leurs affrontements. Dans Le planétarium, un jeune couple s’oppose à la belle-mère et les tropismes, encore une fois, trouvent un terrain propice à leurs développements. Mohammed Dib et Rachid Boudjédra

chevalier n’est pas vilain Guillaume d’Aquitaine : cruel et tendre Jaufré Rudel, celui qui meurt d’aimer Un poète nommé « désir » : Bernart de Ventadour Le Roman de la Rose : l’amour, mode d’emploi Christine de Pisan, mère courage La passion des femmes Belle et célèbre Le coeur des hommes Charles d’Orléans, sauvé d’entre les morts François Villon en ballades Chapitre 4 - Savoir conter Satire en tous sens La chantefable d’Aucassin et Nicolette Guignols de l’info : les fabliaux L’humour en branches : le

n’est pas vilain Guillaume d’Aquitaine : cruel et tendre Jaufré Rudel, celui qui meurt d’aimer Un poète nommé « désir » : Bernart de Ventadour Le Roman de la Rose : l’amour, mode d’emploi Christine de Pisan, mère courage La passion des femmes Belle et célèbre Le cœur des hommes Charles d’Orléans, sauvé d’entre les morts François Villon en ballades Chapitre 4 - Savoir conter Satire en tous sens La chantefable d’Aucassin et Nicolette Guignols de l’info : les fabliaux L’humour en branches

mentales mais par telle ou telle foi religieuse, artistique, voire par le délire d’amour, d’où l’intérêt porté à ces sociétés. Un témoignage datant du XIème siècle évoque ce peuple des errants qui ne partageait ni la vie des paysans ni celle des seigneurs. Il s’agissait d’une culture parallèle avec des croyances, des mœurs et un code de conduite différent. « Sans doute en était-on alors à cette phase transitoire qui allait substituer aux anciens apôtres de la foi, de simples baladins, voire à d’anciennes

227 -Préciser l’espace-temps...................................................................................... 228 -Description détaillée ............................................................................................ 230 -Monologue intérieur ............................................................................................. 237 -Patois et dialecte régional................................................................................... 239 -Faits divers ............

fin du texte en remplaçant la première personne du singulier par la troisième. 1. Parcours d’adolescents 6239_001_224.indd 7 7 16/08/12 12:36 cette rencontre hors de toute temporalité et montre le besoin de transgression du réel. Lectures La belle inconnue p. 22-23 Ce texte est extrait du roman d’Alain-Fournier Le Grand Meaulnes qui raconte l’histoire d’Augustin Meaulnes rapportée par son ami, François Seurel. On pourra consulter le site internet http://www. legrandmeaulnes.com/ qui présente

complexes! y! figurent,! sans! note! explicative!:! «!transsubstantiation!»! et! «!ductilité!»,! l’un! se! référant! au! mystère! de! l’eucharistie! et! réclamant! une! épiphanie! esthétique,! l’autre! relevant! du! vocabulaire! moderniste! de! la! Belle! Epoque! —! les! deux! dénotant! la! recherche! lexicale! de! Segalen! proche! du! «!style! artiste!»!de!son!temps.!On!pourrait!poser!par!principe!que!ces!termes!devraient!de!droit! faire!partie!d’un!vocabulaire!que!tout!candidat!au!CAPES!de!lettres

sont vivement invités à lire avec une attention toute particulière le rapport consacré à cette épreuve ; cette lecture devrait leur permettre de mieux comprendre quelles sont les attentes du jury en la matière. Nous nous permettrons d’ajouter un commentaire personnel à cet ensemble de remarques éclairées et éclairantes. Il nous semble que cette nouvelle épreuve, telle qu’elle a été définie dans le rapport de 2010 et telle qu’elle a été mise en œuvre pendant les épreuves orales de 2011, remplit parfaitement

dans le dramatique est, de tous les acteurs de la tragédie celui dont le langage est quand il chante le plus éclatant, le plus poétique. Aux autres personnages la poésie dramatique de leur destin tragique, à lui la poésie lyrique qui en est le commentaire chanté. G. Hoffmann, Sophocle : Œdipe-Roi, Paris, PUF, 1990, p. 44. Cette tension est source de richesse et de complexité dans Œdipe- Roi où, malgré toutes les particularités formelles, les parties chorales sont parfaitement intégrées à la tragédie

: sa haute et loyale figure, dédaigneuse de tous les préjugés, de toutes les conventions, s’élève au-dessus des frontières d’aujourd’hui. » (R. Riegel). « Chamisso était l’homme des paradoxes, et ce fut sans doute en jouant avec son dédoublement intérieur qu’il échappa à l’angoisse d’être partout un étranger sur terre. Ce Français, –3– né en 1871 au château de Boncourt, fut d’abord un émigré habitué des salons berlinois, puis un des poètes allemands les plus adulés ; cet infatigable voyageur