Comment Le Rire Dénonce Les Dangers Du Pouvoir

spectaculaire (adjectif), pour exposer la situation et créer l’atmosphère, et brosser le portrait d’un des protagonistes (buts). ©HATIER Attention : la consigne mentionne les « vers 1 à 26 ». Il ne paraît cependant pas concevable de commenter ces vers sans commenter aussi tout ce qui les précède, c’est-à-dire les didascalies qui ouvrent l’acte et la scène et qui confèrent une de ses spécificités à la scène. • Première piste – « Spectaculaire » vous invite, tout comme l’intitulé de l’objet d’étude

ville immense. — Rien ne t’y oblige, Bella, me répéta ma mère pour la énième fois avant que je grimpe dans l’avion. Ma mère me ressemble, si ce n’est qu’elle a les cheveux courts et le visage ridé à force de rire. Je scrutai ses grands yeux enfantins, et une bouffée de panique me submergea. Comment ma mère aimante, imprévisible et écervelée allait-elle se -5- débrouiller sans moi ? Certes, elle avait Phil, désormais. Les factures seraient sans doute payées, le réfrigérateur et le réservoir de la

ville immense. — Rien ne t'y oblige, Bella, me répéta ma mère pour la énième fois avant que je grimpe dans l'avion. Ma mère me ressemble, si ce n'est qu'elle a les cheveux courts et le visage ridé à force de rire. Je scrutai ses grands yeux enfantins, et une bouffée de panique me submergea. Comment ma mère aimante, imprévisible et écervelée allait-elle se débrouiller sans moi ? Certes, elle avait Phil, désormais. Les factures seraient sans doute payées, le réfrigérateur et le réservoir de la voiture

qu’il est vraiment ». Norma utilise « connaître » au sens de « pouvoir identifier une personne, l’avoir rencontrée, savoir de qui il s’agit ». b. La question posée est : les hommes se connaissent-ils vraiment ? Ceux qui vivent ensemble ou font partie de la même famille, les amis, ceux qu’on désigne comme « les proches » ont-ils une appréciation plus juste de l’autre, de ses pensées et de ses motivations ? 17. L’auteur dénonce les comportements cupides qui entraînent souvent des actions immorales

22/03/11 10:28 « Le photocopillage, c’est l’usage abusif et collectif de la photocopie sans autorisation des auteurs et des éditeurs. Largement répandu dans les établissements d’enseigne­ment, le photocopillage menace l’avenir du livre, car il met en danger son équilibre économique. Il prive les auteurs d’une juste rémunération. En dehors de l’usage privé du copiste, toute reproduction totale ou partielle de cet ouvrage est interdite. » ISBN 978-2-216-11598-3 Toute reproduction ou représentation intégrale

compte du plaisir et de l’intérêt que l’on a pris à le lire. Il s’agit de dégager les différents niveaux de signification. Ce sujet porte sur la totalité ou sur une partie de l’un des textes du corpus et se rapporte ainsi à l’objet d’étude concerné. Commenter un texte, c’est approfondir les impressions ressenties à la lecture de celui-ci, en apprécier l’originalité. Le commentaire est un bilan de lecture ; il a pour but de mettre en évidence la singularité du texte : dans son sujet (situation, personnages

Une fois, il en parla à quelques camarades d’Offal Court : on se moqua de lui, on le bafoua si impitoyablement qu’il se promit de garder à l’avenir ses rêves pour lui. Il lisait souvent les bouquins du prêtre et se les 11 faisait expliquer et commenter. Ses rêveries et ses lectures opérèrent petit à petit une transformation dans tout son être. Les personnages dont il peuplait son cerveau étaient si beaux qu’il se prit à avoir honte de ses guenilles, de sa saleté, et à souhaiter d’être mieux lavé

objectifs de Sartre dans cette scène ? scène 5 : Quelle image du héros ce texte offre-t-il ? scène 5 (Folio P. 92-fin) En quoi cette fin résume-t-elle bien l'ensemble de la pièce ? Comment le titre de la pièce prend-il toute sa valeur dans cette scène ? Damilaville, Encyclopédie Article « Paix » Que dénonce cet article ? Montrez que cet article intitulé "Paix" constitue en fait un réquisitoire contre la guerre. Etudiez l'argumentation dans cet article. J'essaierai de compléter peu à

GENEVIÈVE. C’est que j’ai peur... GEORGES. De quoi as-tu peur ? GENEVIÈVE. J’ai peur que tu ne fasses des bêtises, tu en fais toujours quand nous sommes seuls. GEORGES. Moi, je ne fais pas de bêtises ; c’est toi qui en dis. GENEVIÈVE. Comment ! tu ne fais pas de bêtises ? Et ce fossé où tu m’as fait descendre ? Et je ne pouvais plus en sortir ; et tu as eu si peur que tu as pleuré. GEORGES. J’ai pleuré parce que tu pleurais et que cela m’a fait peur. Tu vois bien que je t’ai tirée

violence). La langue classique est à la recherche du naturel, de la simplicité , du mot juste . -Volonté de plaire et d’instruire L'art classique veut émouvoir, provoquer le rire ou les larmes . Il faut aussi instruire les lecteurs/spectateurs afin de «corriger les vices des hommes » (Molière). Les œuvres artistiques doivent susciter la réflexion et répondre aux questions morales