Comment Definir Un Regime Totalitaire

l’injustice I Le concept d’injustice et ses différentes formes Pour définir l’injustice, c’est à dire en déterminer l’essence, il convient en premier lieu de revenir à la justice. Le terme d’injustice, en effet, est d’abord un concept négatif, relatif à celui de justice. L’injustice, c’est la négation de la justice. Sur le plan sémantique, justice et injustice sont des notions opposées. L’injustice peut être définie comme la transgression des normes auxquelles se conforme la justice, l’infraction

nous retrouver. Ensuite, il faut voir de quelles façons ont été mises en œuvre ces valeurs pour assurer le bonheur des peuples et puisque nous parlons de bonheur, beaucoup de livres paraissent actuellement sur la notion de bonheur, expliquant comment vivre heureux, mais aucun ne fait référence à la démocratie. Il est également répondu qu’elle pourrait être une valeur, si le peuple avait réellement la parole, or force est de constater que dans beaucoup de pays, c’est loin d’être le cas. Elle

Argumentation indirecte. - Premier questionnement : sur l’architecture et les fonctions de l’utopie : • quels sont les éléments constitutifs du récit utopi que, ici ? • Quels sont les avantages de l’argumentation indirecte au v u de ce texte ? • Comment cette utopie s’insère-t-elle dans les Lettres persanes ? - Deuxième questionnement : les genres de l’argumentati on se caractérisent par la primauté donnée à la démonstration de thèses. Dans ce texte, description d’une société politique nouvelle

Distinctions entre régime présidentiel et régime parlementaire « C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu’à ce qu’il trouve des limites. Pour que l’on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. » [Montesquieu, De l’esprit des lois] Dans sa théorie de la séparation des pouvoirs, Montesquieu prétend donc que « le pouvoir arrête le pouvoir ». En effet, si une même personne ou un

compétences. Ce territoire peut être comparé à un cadre où toute une population sera soumise au même ordre juridique. La population est, en second lieu, également un critère essentiel pour caractériser l’existence d’un Etat. Cette population peut se définir comme un regroupement de personnes le plus souvent très différentes (d’un point de vue social, ethnique et religieux par exemple) mais qui, soumises à un même ordre juridique, ont le sentiment d’une cohésion, d’une unité. Le troisième et dernier critère

gouvernant» (p.16). D’autre part, le fait que la démocratie est vue comme un régime politique idéal est toujours en contradiction avec la vision de l’auteur. Il n’y a pas une seule solution à cet égard, un régime politique idéal unique, mais plusieurs, propre à chaque pays, peuple, voire époque. La race, le moment et le climat constituent les trois coordonnées essentielles qui détermineraient la construction d’un régime idéal pour chaque cas à part. Somme toute, la démocratie ne doit pas être condamnée

citoyenneté moderne est néanmoins l’aboutissement d’une succession de conceptions. Par ce que représente la citoyenneté, c’est la question du fondement de l’autorité politique qui est soulevée, et par là même de son obéissance. Le civis romanus était défini en terme de statut juridique. La citoyenneté athénienne était l’expérience du primat du citoyen grec athénien sur les autres identités (femmes, métèques, esclaves). La polis, selon Aristote, c’est la communauté des citoyens organisés politiquement

nous nous plongeons dans l’histoire nous pouvons penser à Hitler et nous apercevoir que ce fut un homme élu par son peuple, il a conquit le pouvoir de façon tout à fait démocratique pour pouvoir ensuite instaurer un régime totalitaire. Ainsi la démocratie ne semble pas être un régime politique pouvant à lui seul éviter la tyrannie. Ainsi la création d’un contrôle de constitutionnalité peut apparaître comme un moyen supplémentaire d’éviter la tyrannie de la

une petite dizaine d’années, a dit que l’augmentation de chercheurs politiques a conduit à une diversification de la matière, une dilution. C’est un élargissement des centres intérêts. On peut distinguer 3 manières différentes, 3 positions, pour définir l’objet de la science politique : Le relativisme disciplinaire : cette théorie est défendue par un ancien professeur : Pierre Farre. Pour lui le découpage en disciplines est un découpage contingent. Il varie d’un pays à l’autre ou d’une institution

l’ère des crises, notamment les attentats ( qui ont débutés le 11 septembre 2001 ). Pankaj Mishra a « foi dans les mouvements politiques surtout chez les jeunes. Je n’ai pas beaucoup foi dans les partis établis mais ce sont ces jeunes qui vont définir l’avenir de la démocratie dans l’occident et dans le monde entier. » Lui souhaiterait, comme Tony Judt, une politique de la cohésion sociale, fondée sur