Comité français d'organisation et de normalisation bancaires

leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire"[1]. Enoncé plus clairement et simplement, c'est "la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable"[2]. A noter qu'en 2010 le Ministère français de l'Ecologie, de l'Energie et du Développement Durable emploie le terme de responsabilité "sociétale", jugé plus large et plus pertinent que "responsabilité sociale". La RSE résulte de demandes de la société civile (associations écologiques et

interne Rétrospectif Focalisation Audit selon plan de rotation Priorités d’audit selon risques inhérents Assistance/ Suggestions Stratégiques / Métiers, Process Conseil Style Police / Conformité Rattachement DAF DAF / DG Comité d’Audit Fraude Pas / peu recherchée Réactif si fraude suspectée Proactif Risques Opérationnels Opérationnels / Financiers Risques de l’Entreprise Outils Programmes de travail standard Echantillonnage et Analyses ad

Publiés au bulletin officiel de l’éducation nationale du 25 septembre 2003 et du 16 février 2006. 1 SOMMAIRE ANNEXE I Référentiel des activités professionnelles Référentiel de certification Compétences (savoir-faire) Savoirs associés S1 - Français S2 - Langues vivantes étrangères S3 - Économie et droit S4 - Mercatique S5 - Gestion commerciale S6 - Management commercial S7 - Communication négociation S8 - Technologies commerciales Unités constitutives du référentiel de certification du domaine

accélérer le processus de reconstruction car le marché seul n’est pas suffisant : Planification. Etat-providence, thèses monétaristes, aspiration à plus de liberté, privatisation, décentralisation, suppression des contrôles des changes et des prix, lois bancaires (1984), période d’inflation (en France : politique de désinflation compétitive). * 1995 – 2000 : mondialisation et apparition d’un Etat stratège (coordonne et oriente). * 2008 : Crise financière crise économique et des dettes souveraines

d’épargne (taux d’épargne en chine : 60%). * Deuxième source de capitaux : les pays émergents ont accepté de travailler plus pour ne pas gagner beaucoup plus. Les salaires dans les pays émergents sont très faibles. A qualification constante, un français est payé 10 fois plus qu’un chinois. Faibles salaires, faibles coûts, faibles prix, fortes exportations. Ceci se traduit au niveau national par de fortes réserves de change (5000 milliards de dollars aujourd’hui pour les pays émergents). *

intelligence économique plutôt défensive L’offre d’information aux entreprises Les acteurs publics L’offre privée d’information aux entreprises 62 62 62 64 65 66 66 67 Chap. 4 Conclusion et pistes d’actions Un retard des PME pas spécifiquement français Favoriser la réalisation d’actions opérationnelles au sein des PME Trois outils pour servir une stratégie territoriale 69 69 70 71 72 Liste des Annexes Étude ADIT Michel C OLRAT page 3 Intelligence économique et PME - CRCIP Chap

AUDITS INTERNES A LA RÉFORME DE L’ÉTAT Table ronde animée par Pierre Raynaud, directeur financier et du contrôle interne, Caisse nationale d’assurance vieillesse, administrateur de l’IFACI André Barilari, inspecteur général des Finances, président du Comité interministériel d’audit Marie-Caroline Bonnet-Galzy, chef de l’inspection générale des Affaires sociales Raymond Fékik, inspection générale de l’Administration Gabriel Mignot, président de Chambre honoraire, Cour des comptes Pierre Séguin, contrôleur

Consolidation bancaire et pertinence de l’information financière au Maroc REMRCIMENTS En reconnaissance pour son soutien, ses conseils et sa participation à l'élaboration de ce travail, je tiens d'abord à remercier Mr Mohamed Rachid SBIHI pour tout ce qu'il a fait pour notre UFR. Je tiens également à remercier chaleureusement l'ensemble du corps professoral de l'École Doctorale de Gestion – Rabat, pour leur soutient, leur encadrement et leur aide précieuse durant tout mon cursus universitaire

13 Liste des tableaux Tableau 1: Exemple de tableau de bord……………………………………………………39 Glossaire des acronymes ABC: Activity Based Costing ABM: Activity Based Management BL: Bilan CES : Conseil économique et social CGNC: Code Général de Normalisation Comptable CPC : Compte de Produits et Charges CT : Court terme ETIC : Etat des informations complémentaires EO : Estimations Originales FPI : Front Populaire Ivoirien IS : Impôt sur les Sociétés IR: Impôt sur le Revenu LT : Long Terme

Ainsi, pour mener à bien leurs projets, l’autofinancement seul ne suffit pas et le recours au crédit bancaire à moyen ou à long terme est difficile à obtenir dans la mesure où leur situation financière est jugée précaire. Néanmoins, et malgré ces obstacles, l’entreprise, devant obligatoirement réaliser son développement peut opter pour une solution de substitution à celles des crédits bancaires classiques sans avoir à en décaisser la totalité du prix dès l’acquisition de ses investissements. Ce