Comité français d'éducation pour la santé

La Santé Chapitre1 : la santé I. La motivation de santé A. Définitions communes La notion de santé comporte plusieurs acceptations : * Bon état physiologique d’un être vivant avec un fonctionnement régulier et harmonieux de l’organisme : être en bonne ou mauvaise santé * Equilibre psychique (c'est-à-dire santé mentale ou intellectuelle) * Etat sanitaire d’une société (la santé publique) B. La définition de l’OMS RAPPEL : l’Organisation Mondiale de la Santé qui

l’environnement I. LA SANTE MENTALE AU NIVEAU EUROPEEN Les politiques européennes concourent à la mise en œuvre de dispositifs dans le but de protéger et de favoriser la santé mentale. L’objectif poursuivi par le Pacte européen[1] pour la santé mentale est la lutte contre la stigmatisation et l’exclusion sociale. Lors de la signature de ce « pacte européen pour la santé mentale », la France a souligné la nécessité d’une approche globale et d’une vision de santé publique. C’est pourquoi toute

                             Recherche qualitative sur les possibilités  d’améliorer la santé des personnes en  situation de perte d’autonomie ou de  handicap et de leur entourage        Travaux préliminaires en vue de l’élaboration du protocole  de recherche          Revues de littérature sur les besoins en matière de santé  Auditions auprès des structures professionnelles et associatives  Entretiens exploratoires      Convention INPES/CNSA    Février 2009  1 28/04/2011

Tous les deux mois • l’actualité • l’expertise • les pratiques • les méthodes d’intervention dans les domaines de la prévention et de l’éducation pour la santé Novembre-Décembre 2011 est éditée par : L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) 42, boulevard de la Libération 93203 Saint-Denis Cedex Tél. : 01 49 33 22 22 Fax : 01 49 33 23 90 http://www.inpes.sante.fr Directrice de la publication : Thanh Le Luong RÉDACTION Rédacteur en chef : Yves Géry Secrétaire de

initiatives éducatives . . . . . . . . . . . .55 4. Santé et prévention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .59 . . . . . . . . . . . . . . . . . .60 . . . . . . . . . .63 4.1. Droit à la santé, justice sociale et responsabilités citoyennes 4.2. Réduire la vulnérabilité des populations face aux maladies prioritaires 4.3. Des initiatives locales pour renforcer la santé communautaire . . . . . . . . . . . . . . . . .67 .

2005. Une situation contrastée Les filles réussissent mieux que les garçons Dès l'école primaire, les filles obtiennent de meilleurs résultats scolaires que les garçons et elles redoublent moins. Elles ont de meilleures évaluations en C.E.2 en français et sont à égalité avec les garçons en mathématiques. Le taux de réussite des filles au brevet des collèges et au baccalauréat est plus élevé. ...mais elles n'ont pas les mêmes parcours scolaires Quelle que soient leur appartenance sociale ou leur

il semble qu’aujourd’hui notre système d’éducation comporte plusieurs lacunes qui viennent directement freiner l’essor du Québec. Imaginez-vous que vous vous promeniez et que vous remarquiez qu’une école est en feu. Vous remarqueriez ensuite que parmi les piétons vous êtes le seul qui voit ce feu en question. Vous devez agir et c’est parce que personne n’agit qu’il est d’autant plus important que vous agissiez. Aujourd’hui, c’est tout le système d’éducation qui est en feu et chacun de nous a le devoir

on va mettre émettre l’interdiction du travail des femmes de nuit pour les protéger sauf quand on a besoin d’elles on émet des dérogations. La France est condamnée à deux reprises par la cour de justice Européenne car elle considère que le système français est discriminatoire d’où la loi du 9 mai 2001 qui fait du travail de nuit une exception tant pour les hommes que pour les femmes. Le travail de nuit ne peut être mis en œuvre qu’en cas de nécessité pour l’entreprise, la loi ajoute que le travail

en pr ison La santé Dossier coordonné par Geneviève Guérin Secrétaire général adjoint du Haut Comité de la santé publique L a loi du 18 janvier 1994 relative à la santé publique et à la protection sociale a profondément modifié le paysage de la prise en charge sanitaire des personnes détenues en les intégrant dans le système de santé de droit commun. Le service public hospitalier est devenu le principal acteur de cette réforme de santé publique, soudain en charge de missions dont il n’était

« Hôpital, patient, santé, territoire ». La question de la répartition de l’offre de la santé au niveau national est clairement posée depuis la Loi de réforme hospitalière de 1970. Et dans cette organisation de la Santé, « l’hôpital est un des piliers de notre système de soins. Par conséquent, il joue un rôle important vis-à-vis des autres structures du système de Santé (secteur libéral ou de ville, structures médico-sociales, centres de santé, etc) ». Nous allons donc voir dans un 1er temps