Cognition sociale

donner une fonction sociale, de participer à une sorte d’éthologie affective (= que l'on pourrait étudier chez toutes les espèces); sont les émotions de base. Celles-ci (peur, colère, dégoût, tristesse, surprise, contentement (= joie, satisfaction) ), donnent lieu à des expressions reconnues dans toutes les cultures, dans lesquelles des expériences ont été réalisées. Expressions-> expressions du visage. *L'extension de la notion de cognition Pour que la notion de cognition (=ensemble des processus

comprendre en quoi les humains diffèrent des autres primates. Sommaire 1 Caractéristiques 1.1 Morphologie 1.2 Reproduction 2 Organisation sociale 2.1 Signaux de communication 2.2 Relations sociales 2.3 Style de vie 3 Capacités cognitives des macaques 3.1 Cognition sociale 3.2 Acquisitions comportementales 4 Environnement 4.1 Habitat et alimentation 4.2 Cohabitation avec l'Homme 5 Liste des espèces

Préface L’intelligence humaine, dans tous ses états Franck Ramus est directeur de recherches au CNRS à l’Institut d’étude de la cognition, à l’École normale supérieure de Paris. S i l’on en juge par le nombre de sites Internet consacrés à l’intelligence et proposant des tests de QI (quotient intellectuel), on a l’impression que la notion d’intelligence générale fait l’objet d’une vénération (dans les sociétés occidentales), et que les scores de QI ont acquis un caractère quasi magique ou

le niveau de risque afin de constater leurs effets mutuels et sur le comportement des individus dans différents cas. Approche de la recherche et champ théorique : Pour justifier cette question de recherche en dehors de son intérêt managérial, social et scientifique, il faut décrire le champ théorique existant qui nous a conduit à cette question. Il est dans un premier temps indispensable de définir la notion d’émotion, afin notamment de ne pas la confondre avec d’autres genres de variables

s'inscrire dans la continuité des acteurs sociaux. SC: abaisse le statut d'Etre humain, car perspective non évolutionniste, position anti-objectiviste THOMAS : si les H définissent les situations comme réelles , alors elles sont réelles dans toute leur conséquence. ( Situation: action en fonction de la représentation) Deux éléments: les grandes industrialisations et l'appauvrissement de l'Etat L'urbanisation- organisation des agglomérations Rationalité sociale Paradigme des années 80 Le visme

différentielle La psychologie dépend sur le regard. Psycho : l’âme logie : le discours. Discours de l’âme. L’âme au sens de l’esprit de ce qui se passe dans l’activité mentale ; de la vie mentale. Il y a différentes approches possibles ; générale, sociale, différentielle… On retrouve deux grandes approches : -expérimentale, scientifique (l’observation ) -clinique (médicale qui s’occupe d’un patient pour comprendre les troubles) La psychologie normale n’est pas souffrant. La psychologie pathologique

proposé tout en essayant de confirmer l’existence des construits mis en jeu. La contribution de cette recherche, tant sur un plan théorique que managérial, aura à mettre l’accent sur l’exploration de nouvelles dimensions individuelles (le besoin de cognition (NFC), le besoin d’unicité) et situationnelles (situation d’achat et de consommation) qui, à notre connaissance, n’ont pas fait l’objet d’investigations approfondies sur le comportement d’adoption des nouveaux produits. Mots Clés : nouveau produit

d’utilisation du cheval pour traiter l’état déficient soit de l’ensemble de la personnalité du patient, soit de l’un ou l’autre de ses aspects (physique, mental, social, affectif) » Elle est indiquée pour aider les personnes atteintes de handicaps moteurs, sensoriels, ou mentaux, mais également celles qui souffrent d’inadaptations sociales, que celles-ci soient dues à l’alcoolisme, la délinquance, la toxicomanie ou autre. On la divise généralement en 3 domaines, définis en fonction de 3 catégories

Objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 2 De l’intelligence 2.1 Intelligence et cognition : introduction aux sciences cognitives . . . . . . . . . . . 2.1.1 2.1.2 2.1.3 2.2 2.2.1 2.2.2 2.2.3 2.2.4 2.2.5 L’intelligence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La cognition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les sciences cognitives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

interagissent entre elles. Certaines se trouvent même au carrefour de plusieurs disciplines comme la didactique qui se place entre la psychologie, l'épistémologie et les sciences sociales. Les sciences cognitives étudient depuis peu les interactions entre individus - susceptibles de produire de la connaissance - ainsi que les contextes sociaux de production et d'utilisation des connaissances. Un autre récent développement est l'étude du lien entre émotions, affectivité et connaissance. Les progrès en imagerie