Clov Clown

et autant que possible, il faut empêcher que le sang ne nous afflue trop violemment à la tête. – Juste, fit Nicholl. – Alors, répondit Michel Ardan, prêt à joindre l’exemple à la parole, mettons-nous la tête en bas et les pieds en haut, comme les clowns du Great-Circus ! – Non, dit Barbicane, mais étendons-nous sur le côté. Nous résisterons mieux ainsi au choc. Remarquez bien qu’au moment où le boulet partira que nous soyons dedans ou que nous soyons devant, c’est à peu près la même chose. – Si

imagination pour combler son besoin affectif. Il matérialise des clowns qu’il a vu dans un cirque en jouets afin qu’ils puissent venir le faire rire et le rassurer. Il fait venir le clown bleu et «ils se marrent un moment ensemble»[39] quand Madame Rosa n’a plus toutes ses capacités mentales. Puis, il le fait revenir quand il est couché aux côtés du cadavre de la vieille femme pour qu’il lui passe un bras autour des épaules et que le clown jaune vienne aussi. [40] Son parapluie Arthur est son meilleur

��CLOWN�� Henri Michaux INTRO�: Michaux veut �chapper au conformisme et cherche a mieux se conna�tre pour mieux user de sa libert�. Dans le po�me en prose ��Clown��, il �voque le th�me de la condition humaine � travers l'image du clown. Afin d'exister il projette de se liberer de tous les carcans qui le maintiennent dans la minorit�. Plan�: I. Projet de lib�ration -Rapprochement au ��bateau�ivre�� de Rimbaud. -Bateau = libert�, voyage, r�ve. -La liberation est pr�sent�e comme un projet

au second acte de manière globalement identique, dans un ressassement psychotique des mêmes velléités d’en finir, des mêmes échecs pitoyables, qui font penser à l’antidestin dérisoire de clowns sans public.” [http://membres.lycos.fr/cyberpotache/commentaires/beckett_godot_fin.htm] #2 Commentez la métaphore du clown; le clownesque que véhicule-t-il dans la pièce de Beckett? “Le nom "Godot" semble bâti sur le même modèle que "Charlot" -- le suffixe-diminutif "- ot" suggérant à la fois une idée d’affection

profondément le sens. Le premier document, qui est une image tirée des Temps modernes de Chaplin, donne le ton du corpus : qu'il s'agisse du dialogue du Schpountz de Marcel Pagnol, ou de l'extrait de la biographie que Jean¬Robert Probst a consacrée au clown Chicky, le rire interroge autant qu'il interpelle : aussi doit¬il être pris au sérieux, comme nous le rappelle le célèbre prologue de Gargantua, rédigé par Rabelais en 1534. Nous analyserons cette problématique selon une triple perspective : après

Macloma, la Clown Compagnie, les Matapeste, le Prato, la Compagnie Maripaule B. et Philippe Goudard les ont sauvés du ridicule au milieu des années 70. Gilles Defacques par exemple a fait de son Prato «Théâtre international de quartier » à Lille un havre pour tous les clowns du monde entier. Il y a environ 11 grandes compagnies actuellement. Les nouveaux clowns se distinguent par leur finesse, la polyvalence de leur talent, leur travail sur les apparences (à commencer par celles du clown), leur refus

rencontrer des clowns maléfiques Cette psychose a commencé en Italie Fin Octobre l’hystérie est passée en France où on compte des victimes. On raconte dans les médias surtout sociaux (Facebook) que des individus habillés en clown et grimés de manière terrifiante attaquent des citoyens innocents, en imitation d’une série américaine. La rumeur a enflé au point de faire interdire par la police le zombie parade de Lille à laquelle- selon la rumeur- devaient participer 200 clowns maléfiques. Au

DU SPECTATEUR Le théâtre met en scène l’erreur, la méprise, l’aggravation, le retournement, il met en parallèle l’immoralité et la morale. Pour comprendre ce que peut être l’école du spectateur ou, à quelques réserves près, au cirque avec les clowns, il faut se placer sous l’autorité d’Aristote qui a créé le concept de catharsis et de Bertolt Brecht qui a créé celui de théâtre didactique. Vingt trois siècles séparent ces deux penseurs du théâtre. Aristote a écrit un livre essentiel qui s’intitule

Des notes comiques : Des personnages clownesques : Les attributs du clown sont toujours présents ( les chaussures pour Estragon , le Chapeau pour V ) le pantalon qui tombe sur les chevilles l.51 est un gag qui n’aurait pas renié Charlie Chaplin. Ici le corps révéler ridiculiser vient polluer le tragique et détendre l’atmosphère. Le jeu autour de la corde a le même effet l.55_56. Le lecteur-spectateur se moque de ces 2 clowns même le suicide tourne à la farce. On peut parler de tragique dégradé

Paris m’a souvent parlé de vous en bien, et je voulais faire votre connaissance. Car en ce moment je ne sais pas ce qui m’arrive mais je m’ennuie et je me suis dit que vous voir pour me distraire un peu. Vladimir. – À vous nous avez pris pour des clowns ! Godot. – Non non c’est pas ce que je voulais dire. Godot tout gêné. Estragon. – Pourtant mon ami et moi c’est ce que nous avons compris . Estragon se fâchant. Un temps Godot. – Bon oublions ça. Je suppose que vous avez faim ? Vladimir regarde estragon