Clotilde Alcools

Bataille1G1 Le lyrisme d’Apollinaire dans Alcools Apollinaire dit vouloir s’inscrire dans une démarche de renouveau et de surprise. Pour cela il utilise des formes et un style moderne. Mais le poète s’inspire aussi de la tradition qu’il renouvelle, ce qui créer une poésie novatrice et précurseuresse. C’est dans cet objectif que nous pouvons voir la tradition lyrique dans Alcools. Nous étudierons tout d’abord comment le poète appréhende-t-il

et leurs a adressé de nombreux poèmes. On pense notamment à certain poèmes comme Marie, Annie, Clotilde… . Annie est une jeune femme anglaise qu’Apollinaire a rencontrée en Allemagne. La jeune femme n’est pas insensible à son charme mais le mariage n’a pas eu lieu. Marie fût présenté par Picasso a Guillaume Apollinaire en 1905. Tandis que Clotilde a bénéficier d’un poème dans le recueil de poème « Alcool » mais nous n’avions pas plus d’information sur cette dame.

Et quand je passe sur la route bordée de tilleuls Nous nous regardons Comme cette femme est mennonite Ses rosiers et ses vêtements n'ont pas de boutons Il en manque deux à mon veston La dame et moi suivons le même rite Clotilde L'anémone et l'ancolie Ont poussé dans le jardin Où dort la mélancolie Entre l'amour et le dédain Il y vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera Le soleil qui les rend sombres Avec elles disparaîtra Les déités des eaux vives Laissent

Montage poétique : A. Introduction Pour notre montage poétique, nous avons choisi le recueil de poésie ‘Alcools’ de Guillaume Apollinaire. Parmi tous les poèmes, nous en avons retiré quatre qui tournent autour du même thème : les quatre saisons. Nous avons opté pour ce recueil car ‘Alcools’ nous peint l’ivresse de la vie et nous montre l’envie de découvrir, de profiter de chaque instant. Notre vie n’est finalement qu’une succession de saisons et c’est pourquoi, il nous a semblé judicieux

la mystérieuse », « J’ai tant rêvé de toi » et « Non l’amour n’est pas mort » HDA : approche du surréalisme dans les arts : dossier p.276-279 Lecture cursive : Apollinaire, Alcools (1913) : lecture en classe d’extraits : « Zone », « Le pont Mirabeau », « La Chanson du Mal Aimé », « Les colchiques », « Clotilde »,, « L’Adieu », « Nuit Rhénane », « Mai », « La Loreley », « Automne malade » HDA : approche de la peinture cubiste : Robert Delaunay, Champ de Mars. La Tour Rouge (1911) – Pablo

SUJET : Entraînement à la dissertation : En caractérisant Alcools par la métaphore d’une "boutique de brocanteur", Georges DUHAMEL explique que "c'est bien là une des caractéristiques de la brocante : elle revend, elle ne fabrique pas." Etes-vous d'accord avec ce jugement critique ? INTROA sa publication, le recueil Alcools d’Apollinaire n’a pas fait l’unanimité. L’extrême diversité de ce recueil a, en effet, surpris bon nombre de citoyen français à l’époque. Cette façon de sortir des codes poétiques

Le  plus sombre est  le soir  aussi car il parle d'un suicide et que je trouve ce thème sombre. Le plus classique, pour moi est  clotilde   car il parle de l'amour et est écrit de forme classique (quatrain/octosyllables) Écrit pour moi, Cortège car il parle de ses ressenties que chaque odeur lui fait penser à un moment de sa vie ou à un endroit dans

Guillaume Apollinaire, Alcools Que je m’ennuie entre ces murs tout nus Et peint de couleurs pâles Une mouche sur le papier à pas menus Parcourt mes lignes inégales Que deviendrai-je ô Dieu qui connais ma douleur Toi qui me l’as donnée Prends en pitié mes yeux sans larmes ma pâleur Le bruit de ma chaise enchainée Et tour ces pauvres coeurs battant dans la prison L’Amour qui m’accompagne Prends en pitié surtout ma débile raison Et ce désespoir qui la gagne " Clotilde " Guillaume Apollinaire

/ LPB 1 Guillaume Apollinaire, Alcools (1913). Modernité poétique ? « Clair de lune » 1 Lune mellifluente aux lèvres des déments Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands Les astres assez bien figurent les abeilles De ce miel lumineux qui dégoutte des treilles Car voici que tout doux et leur tombant du ciel Chaque rayon de lune est un rayon de miel Or caché je conçois la très douce aventure J’ai peur du dard de feu de cette abeille Arcture Qui posa dans mes mains des rayons décevants

Questionnaire Alcools d'Apollinaire: 1/ Le poète s’abandonne à sa solitude mais ne désespère pas de raviver le feu de ses amours perdues dans les textes « Crépuscule », « Le voyageur » ou « Marie ». Dans « Clotilde » il avoue poursuivre « Cette belle ombre que tu veux » (v. 12) et, comme dans « La chanson du Mal-aimé », le discours amoureux ne dépérit pas. Dans « Marie », on lit également : « Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine / Et mon mal est délicieux » (v. 9-10). Ces extraits ne