Clocher tors

en ces lieux -un monde fait de vilains, de paltoquets, de singes et de brutes. Maupassant éprouve, pour le sauvage, une nostalgique tendresse, mais il méprise la brute, ce paysan, par exemple, cet « homme souche, noué, long comme une perche, presque tors courbé, plus affreux que les types barbares qu'on voit aux musées d'anthropologie » (G.B., 30 mars 86). Rurale ou non, la brute n'est pas l'envers de la civilisation. Elle en est le substrat, presque l'essence, dont l'élégance mondaine dissimule la

celui qui bénit et qui affirme : et j’ai longtemps lutté pour cela ; je fus un lutteur, afin d’avoir un jour les mains libres pour bénir. Ceci cependant est ma bénédiction : être au-dessus de chaque chose comme son propre ciel, son toit arrondi, sa cloche d’azur et son éternelle quiétude : et bienheureux celui qui bénit ainsi ! Car toutes les choses sont baptisées à la source de l’éternité, par delà le bien et le mal ; mais le bien et le mal ne sont eux-mêmes que des ombres fugitives, d’humides afflictions

car ilz ne povoient pas retourner en laditte ville d'Orléans si non par batteaulx, pour ce que les pontz estoient rompus. Comment le siege d'Orléans fut levé par les Franchois. Celle prinse ainsy faitte desdis bolvars et bastille, toutes les cloches de laditte ville se prindrent à sonner et les habitans d'icelle à loer et merchier Dieu. Laquelle prinse povoient bien veoir les Anglois estans de l'autre costé de la rivière devers la Beausse en une bastille nommée Saint Laurens : pourquoy le sire

bénit et qui affirme : et j’ai longtemps lutté pour cela ; je fus un lutteur, afin d’avoir un jour les mains libres pour bénir. Ceci cependant est ma bénédiction : être au-dessus de chaque chose comme son propre ciel, son toit arrondi, sa cloche d’azur et son éternelle quiétude : et bienheureux celui qui bénit ainsi ! Car toutes les choses sont baptisées à la source de l’éternité, par delà le bien et le mal ; mais le bien et le mal ne sont eux-mêmes que des ombres fugitives, d’humides

compte écrire cela chaque soir et t'envoyer le paquet deux fois par semaine, tout le temps de mon séjour. Donc, arrivé ce matin, lundi. Descendu, comme toujours, dans mon calme petit hôtel de la rue Servandoni, où je n'entends du grand Paris que les cloches de Saint−Sulpice et le bruit continuel d'une forge voisine, ce fer frappé en mesure que j'aime comme un rappel du village. Tout de suite couru chez l'éditeur: «Quand paraissons−nous? —Votre livre? mais il a paru il y a huit jours.» Paru et même disparu

ils franchissaient une dernière frontière. Alors le ciel s’éclairait et la cohorte découvrait une jolie plaine sous un soleil tiède, il y avait des chants d’oiseaux, des champs de blé, des arbres et un village tout clair, aux toits rouges avec un clocher, des vieilles à chignons sur des chaises, toutes gentilles. Sur la maison la plus grande, il y avait une inscription : « Liberté – Egalité – Fraternité ». Alors tous les fuyards posaient le balluchon ou lâchaient la charrette et la peur quittait leurs

cet homme, n'auraient pu le distinguer autrement que par je ne dirai pas l'impiété, mais la non piété de son attitude. D'ordinaire, il est vrai, les soirs de confession, il y avait auprès de la quenouille de la Vierge, ornée de ses rubans, un cierge tors de cire jaune allumé et qui éclairait la chapelle; mais, comme on avait communié en foule le matin et qu'il n'y avait plus personne au confessionnal, le prêtre de ce confessionnal, qui y faisait solitairement sa méditation, en était sorti, avait éteint

celui qui bénit et qui affirme : et j’ai longtemps lutté pour cela ; je fus un lutteur, afin d’avoir un jour les mains libres pour bénir. Ceci cependant est ma bénédiction : être au-dessus de chaque chose comme son propre ciel, son toit arrondi, sa cloche d’azur et son éternelle quiétude : et bienheureux celui qui bénit ainsi ! Car toutes les choses sont baptisées à la source de l’éternité, par delà le bien et le mal ; mais le bien et le mal ne sont euxmêmes que des ombres fugitives, d’humides afflictions

celui qui bénit et qui affirme : et j’ai longtemps lutté pour cela ; je fus un lutteur, afin d’avoir un jour les mains libres pour bénir. Ceci cependant est ma bénédiction : être au-dessus de chaque chose comme son propre ciel, son toit arrondi, sa cloche d’azur et son éternelle quiétude : et bienheureux celui qui bénit ainsi ! Car toutes les choses sont baptisées à la source de l’éternité, par delà le bien et le mal ; mais le bien et le mal ne sont euxmêmes que des ombres fugitives, d’humides afflictions

devenu celui qui bénit et qui affirme: et j'ai longtemps lutté pour cela; je fus un lutteur, afin d'avoir un jour les mains libres pour bénir. Ceci cependant est ma bénédiction: être au−dessus de chaque chose comme son propre ciel, son toit arrondi, sa cloche d'azur et son éternelle quiétude: et bienheureux celui qui bénit ainsi! Car toutes les choses sont baptisées à la source de l'éternité, par delà le bien et le mal; mais le bien et le mal ne sont eux−mêmes que des ombres fugitives, d'humides afflictions