Cinna Dilemme

SEQUENCE IV : scènes tragiques : dilemmes et passions Objet d’étude : la tragédie Séance 1 : le dilemme cornélien Le tragique est une pièce de théâtre de registre tragique Le registre tragique met en scène des personnages soumis à des forces qui les dépassent : les passions, le destin, les dieux… Le ton d’une tragédie est élevé, le niveau de langue soutenu, les vers sont des alexandrins. Les personnages font partie de l’aristocratie qu’ils soient historiques ou mythologiques. Les valeurs

Corneille - Quelques propositions de sujets d’oral - Les stances de Rodrigue (acte I, scène 6) : lecture analytique des traductions stylistiques et rhétoriques du dilemme cornélien [objet d’étude : le travail de l’écriture] Quel trope utilisé à plusieurs reprises dans ce passage est-il la traduction des oppositions révélatrices du dilemme ? - Les stances de Rodrigue (acte I, scène 6) : lecture analytique d’un monologue pathétique [objet d’étude : le travail de l’écriture] Quel est le champ lexical

Il ne s'agit pas d'une alternative, non négative en soi et qui permet un choix entre deux options qui intéressent celui qui agit, mais d'un dilemme qui, quelle que soit l'option choisie, aura, du fait même du choix réalisé, des conséquences négatives. Ce dilemme est appelé « cornélien » du nom de son inventeur Pierre Corneille, qui l'expose dans plusieurs de ses pièces, dont les plus connues sont Le Cid et Polyeucte. Racine a mis en scène un choix cornélien dans sa pièce Andromaque, au sujet de

refuse, et du coup, doit faire un choix. Elle est face à un dilemme que cette scène met en évidence entre son fils et son défunt mari. Elle s'interroge sur la possibilité de trahir Troie, soit : oublier le massacre et oublier l'amour qu'elle avait pour son mari ou alors rester fidèle à Troie, mais en tuant Astyanax. Comment Andromaque va-t-elle remédier à ce dilemme ? Nous verrons donc ici dans une première partie la puissance tragique du dilemme qui déchire Andromaque, et enfin la puissance virtuelle

Par conséquent, nous verrons dans un premier temps comment ce dialogue supposé important est enfaîte ridicule et pour finir nous verrons que notre héro est confronté à un lourd dilemme. Axe 1 : Siegfried par cette réplique : « Vous n'auriez pas l'une et l'autre, pour m'appeler, un nom intermédiaire entre Siegfried et Jacques ? » insiste sur l'ironie et cherche une solution pour être à la fois Siegfried et Jacques et demande

Volonté de tuer Don Gomès : Don Diègue demande à son fils d'aller tuer Don Gomès, qui l'a déshonoré. Il lui demande de le venger malgré son amour pour Chimène. -Acte 1 Scène 6 - Monologue de Rodrigue : Rodrigue, dans un monologue, fait part de son dilemme : venger son père et perdre son amante ou laisser son père déshonoré pour ménager celle qu'il aime. Il se résigne à tuer Don Gomès parce qu'il se fait la réflexion qu'il deviendrait indigne de Chimène en ne vengeant pas son offense. => Resumé complet:

œuvre le monologue délibératif de Titus, empereur depuis peu. Cette scène met en avant un personnage en plein dilemme entre son amour pour sa bien aimée Bérénice, reine étrangère, et sa gloire en tant qu'empereur. En quoi la fonction délibérative de ce monologue peut-elle se justifier à partir du grave dilemme qui oppose amour et gloire ? Tout d'abord, nous étudierons le dilemme qui oppose l'amour d'un côté et la gloire de l'autre. Puis, par la suite nous verrons la fonction délibérative

: celui-ci consiste à passer d'un jugement sur un ou plusieurs cas particuliers à un jugement général sans avoir pris en considération un échantillonnage représentatif. C'est par exemple : Tous les athéniens sont les mêmes. Le sophisme du faux dilemme : celui-ci consiste à dire que l'une des deux possibilités devant laquelle on se trouve est indésirable et qu'il convient donc de choisir l'autre possibilité, le raisonnement est fallacieux dans la mesure où il existait d'autres possibilités que les

Notre but serait-ce de les réconcilier ? Si je résous cet énigme tel que Bernoulli avec le paradoxe de St Petersburg, je devrai alors renoncer à mon espérance pour mon utilité. Ainsi, je suis rationnel et je maximise mon bien être. Toutefois, le dilemme du prisonnier énoncé A. Tucker nous a montré la limite de la rationalité humaine. Elle ne maximise pas systématiquement notre bien-être. Compte tenu de ce fait, devrais-je renoncer à mon espérance qui de toute évidence ne maximise pas mon bien-être

à l’autorité d’une personne pour appuyer un argument.  La double faute : Justifier un comportement en disant que d’autre font la même faute.  La caricature : Déformer la point de vue de quelqu’un en le simplifiant ou le exagérant.  Le faux dilemme : Dire de faire une choix entre deux possibilité et à cause qu’un choix est moins aimable on est obligé de sélecter l’autre qui encore non aimable, mais qui moins pire.  La fausse causalité : faire un lien, qui ne marche pas toujours, de cause