Chevauchée

influence poétique et politique sur toute la jeunesse européenne est immense : les auteurs veulent écrire comme Byron, les révolutionnaires veulent mourir pour la liberté comme Byron, phénomène qualifié de "byronisme" Le romantisme français La Grande Chevauchée de la Postérité. Monté sur le Pégase romantique, Hugo, « roi des Hugolâtres, armé de sa bonne lame de Tolède et portant la bannière de Notre-Dame de Paris », emmène en croupe Théophile Gautier, Cassagnac, Francis Wey et Paul Fouché. Eugène Sue fait

9: « les fenêtres » renvoie aux personnes qui regardent la course, « l’ombre de  leur clarté » oxymore la fenêtre rompt l’obscurité de la nuit. Vers 11 et 12: « fers  lunaires »;  « croissants  de  leurs  pieds » donne une image puissante de la chevauchée. Changement de point de vue pour le bas, vers les spectateurs, Basculement du regard afin de s’intéresser à la façon dont leurs sens sont touchés. II. « en bas » expérience sensorielle du nouveau A- Des spectateurs stupéfaits: Vers 14 et 15:

qu’il contemple, ce qui renforce le mal-être de la situation. Selon les croyances du Moyen-âge, le cheval peut représenter un animal funeste qui porte les démons et parfois se confond avec eux. Cela provient des chevaliers de l’apocalypse, leur chevauchée signifiait le commencement de la fin du monde. Sa familiarité avec les ténèbres et la mort apporte une dimension encore plus sombre. Cette vision du cheval peut surprendre car elle est très différente de celle d’aujourd’hui.Les 3 personnages s'opposent

l’opposition entre les codes du western classiques et ceux du nouveau western. 1) Les codes classiques du genre : Comme nous avons pu le voir dans l’introduction, le western a dans un premier temps fait ses preuves dans la série B. C'est alors La Chevauchée fantastique (1939) de John Ford qui fera définitivement sortir le genre de la série B. Ce film marque en effet l’inauguration d’une longue période de prospérité pour le western, qui atteindra son apogée durant les années 50. C’est alors que le

«Les rêves vous freinent dans votre course vers la vieillesse et la mort. Grâce aux rêves l’esprit mâchouille longtemps ses brindilles allongé sur le gazon de la jeunesse. Alors avec un peu de chance au bout de la vie quand le corps achève sa chevauchée votre esprit cette boîte à rêver est encore à flâner en chemin.» (p.17) «Après un temps dans votre boîte sous la terre vous n’existez plus que dans la mémoire des gens. C’est dire comme vous êtes fichu. Les gens n’ont aucune mémoire. Autrement

de Rominger incite à la réflexion: «Ce n'est plus un coureur cycliste. » De là à entendre « Ce n'est plus un homme »... (...) Prenons place sur les gradins, dans le but d'assister à des affrontements rugbystiques; très différents des folles chevauchées à perdre haleine et à couper le souffle que nous offrait le rugby du temps des frères Boniface (...), les matchs contemporains engendrent en nous le sentiment d'une affaire de science fiction, d'un combat entre des prototypes d'humains futuristes

épreuve, ressentant un immense désespoir, et ne parvenant ni à oublier ni à surmonter cette trahison, il renonça au monde. Mais il confesse qu’il ne pouvait que «penser continuellement aux femmes», que rien, ni le retour à l’étude, ni les longues chevauchées, ne pouvaient l’en distraire (chapitre 8). Mais un autre ami, Desgenais, un dandy cynique, l’invita à accorder moins d’importance aux sentiments amoureux, entreprit de le guérir de ses illusions en lui montrant que l'amour éternel, absolu, n'existe

accumula ensuite les victoires contre les Amazones et les Solymes puis finit par devenir roi de Lycia. Son orgueil, de plus en plus démesuré, le conduisit à tuer la reine Sthénébée qui lui avait fait du tort pendant sa jeunesse : lui proposant une chevauchée fantastique au-dessus des flots, il la précipita dans la mer où elle mourut. Puis Bellérophon voulut atteindre l'Olympe avec sa monture. Zeus envoya un taon géant piquer le cheval. Sous la douleur, Pégase désarçonna son cavalier qui chuta de près

les bras.", "Tout de suite, le cri fut général", "Et l’on se précipita au télégraphe, on prévint.", "tous les appareils télégraphiques de la ligne tintaient, tous les cœurs battaient", "On tremblait de peur", "il terrifia". Notons en outre que sa chevauchée est notamment rendue par la répétition du verbe rouler, conjugué de surcroît à l’imparfait itératif ("il roulait, il roulait", "elle roulait, elle roulait"). Il est également intéressant de remarquer qu’en regard du train, largement humanisé, la

illustre le mieux ce poème est le tableau de Pablo Picasso appelé «Guernica» peint en 1937. Cette peinture à l’huile du mouvement cubiste se trouve au musée Reine Sofia de Madrid. La musique, qui me semble être la plus adaptée pour l’illustrer, est «La chevauchée des Walkyries» du compositeur allemand Richard Wagner. I. En regardant vers le pays de France Ce poème est l’oeuvre de Charles d’Orléans et il l’a écrit pendant qu’il était prisonnier en Angleterre. Un jour