Chateaubriand Lyrisme

n'exerce aucun contrôle : pour lui le travail ne vient qu'après l'inspiration pour la mettre en forme. Mais s'il privilégie la spontanéité, c'est sans aller jusqu'à l'écriture automatique des surréalistes. Sa poésie s'inscrit aussi dans la production du lyrisme, traitant des thèmes qui concernent l'homme universel : nature, amitié, amour, fuite du temps, mort... Ces thèmes trouvent leurs sources dans sa propre existence. C'est le cas dans «Chambre de la douleur» où Cadou, déjà marqué par la disparition de

du poète, par une comparaison avec un lombric. Ici son rôle est définit comme crucial car il apporte les éléments vitaux à la vie, comme le lombric apporte à la terre la vie. Est-ce là le seul rôle du poète, ou existe-t-il d’autres façons que le lyrisme incitant à la rédaction d’un poème ?

injustice politique, raciale. Neruda : Chant général Auteur chilien, il s’agit alors d’une traduction. Ainsi, l’œuvre se ressent comme un peu moins poétique que les deux précédentes. Alors le style et l’idée du poète est moins accessible. Le lyrisme dont il fait preuve est a noté, et fait penser à un grand patriotisme envers son pays. Une fois de plus, comme pour Césaire son pays natal est une grande source d’affection. La musique est également importante, un grand thème comme il peut être suggérer

recueil : les feuilles d'automne, Victor Hugo publie en 1835 un second recueil Les chants du crépuscule. Nous allons étudier un poème issue de ce recueil, il est composé de cinq quatrain d’alexandrins en rimes croisées. Ce poème traite deux sujets du lyrisme : l'amour et la fuite du temps. Dans ce poème, Victor Hugo exprime son amour pour son amante Juliette Drouet et lance un défi au temps qui passe . Ce poème appartient au mouvement littéraire du romantisme. Par quels procédés Victor Hugo exprime-t-il

lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! 50 Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir ! Alphonse de Lamartine (1790-1869), inspiré par les Romantiques tels Chateaubriand, écrit ses premiers vers à la suite d’un voyage en Italie. La rencontre puis la disparition brutale de Julie Charles, en 1817, suscitent l’écriture de poèmes comme « Le Lac » dans les Méditations poétiques (1820). Le recueil Harmonies poétiques

trouvères, c'est à dire suivant la tradition courtoise, sans vulgarité (excepté chez François Villon) en montrant les joies et les peines qu'entraîne l'amour pour une femme lointaine ou innacessible. La ballade est ainsi une forme privilégiée pour le lyrisme personnel mais, à la différence des poètes romantiques, le poète du Moyen Âge n'écrit pas gratuitement, pour lui seul : il fait partie d'une communauté et vit dans le monde et non hors du monde. Même quand il se dit exilé, sa ballade est toujours

ses métaphores, ses jeux de miroir, la description des métamorphoses de la nature et des sentiments humains, la fuite du temps et les aléas de la destinée on retiendra les noms de Saint Amant, Marbeuf et Voiture La poésie évolue ensuite car le lyrisme qui lui était propre jusqu’alors se développe amplement dans les tirades de la tragédie (Corneille et Racine) et parce qu’elle doit aussi instruire et plaire (la Fontaine ou Boileau). La poésie devient entièrement didactique au siècle des Lumières

qui est l’acte de naissance de la modernité poétique : le poète est celui qui par la nouveauté du regard qu’il pose sur le monde fait jaillir la puissance poétique enfouie dans les objets les plus quotidiens de la modernité. Une nouvelle forme de lyrisme autobiographique, les séductions de la nouveauté n’empêchent pas le poète de s’inscrire dans une tradition, un spiritualisme qu’avec humour le poète associe à cette modernité. Les nombreuses notations autobiographiques dans la suite du texte donnent

- les énumérations soulignées par des homéoptotes : « mêlés, traversés, mariés » Ce registre fait naître chez le lecteur un sentiment d’enthousiasme, d’allégresse, d’exaltation contagieux. On relève les champs lexicaux qui accentuent le lyrisme poétique : lexique de - de l’abondance (accumulation) : « troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines », - de la croissance « les ronces étaient montées », « la plante avait grimpé » - de l’exubérance « fête

fond Titus sait que tout est perdu. III-Une tonalité tragique L’expression lyrique de la solitude   Les questions oratoires Provoquent, tourmentent Titus et le ramènent à cette décision qu’il doit prendre seul 1, 27 exclamations Lyrisme du monologue délibératif Tu, tes..  Nombreuses occurrences de la 2° pers. du sing. Interpellation constante : dédoublement cruel du bourreau et de la victime Ts les vers sauf 1, 13, 14, 15, 19, 21, 24, 25, 26 Alexandrins réguliers