Chateaubriand Lyrisme

Jean-Jacques Rousseau, François-René de Chateaubriand et Germaine de Staël. Jean-Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 et est mort le 2 juillet 1778. Ces premières œuvres qualifiées de romantiques sont : Julie ou la nouvelle Héloïse, Les Confessions et Les Rêveries du promeneur sont dites romantique car on peut y observer un approfondissement de ses sentiments. Les descriptions de la nature et des sentiments intérieurs de François-René de Chateaubriand ont inspirées plusieurs auteurs à

Plan détaillé de commentaire : le début du récit de René Introduction : Présentation rapide du romantisme : début du 19ème, mouvement européen, rôle de Chateaubriand… René, 1802, récit largement autobiographique. Présentation du passage : René décide de se confier à ses deux amis, le Père Souel et le sachem Chactas ; il entreprend de raconter le parcours qui l’a mené chez les Natchez. Problématique : Deux « René » apparaissent ici, l’homme mûr et désabusé, narrateur, qui critique et tente de

chez les Romantiques : ici, pas d’engagement politique ou social, simplement une longue plainte. Vivant dans une époque difficile, entre la fin de la Révolution et la Monarchie de Juillet, les poètes comme Alphone de Lamartine ou François-René de Chateaubriand ne cherchent qu’une évasion de monde trouble et instable. Les œuvres Méditations poétiques ou René sont d’autant plus détachées de la société alors que l’instabilité politique faisant rage dans ce tant aurait été un prétexte à l’engagement pour

mais également sur la recherche de l’harmonie entre l’être et la nature qui l’environne. Le « mal du siècle »(qui sera expliquer par Peter), thème favori du théâtre et de la poésie romantique, est fortement présent dans les écrits de René de Chateaubriand. Il met l’accent sur l’exploration du « moi » . En 1802 il crée le personnage de René qui souffre d’une passion incestueuse pour sa sœur. C’est ainsi que le héros romantique instable et angoissé est né. Madame de Staël, qui a popularisé en

Ainsi, lors de l’apparition des lumières au XVIIIème siècle, poètes qui exposaient leur avis concernant la politique et la société, les règles dites classiques disparaissent pour laisser place à la poésie en prose, plus originale, qui permet au lyrisme de connaître un nouvel essor. De cette époque à nos jours, la poésie ne cessa de se libérer pour laisser place à une forte expression des sentiments. Mais cette idée de contrainte et de liberté vis-à-vis du poète et de son œuvre peut paraître complexe

.................................................................... 11 Pour aller plus loin.......................................................................................................................... 12 Piste 7 : Comment se dire ? Lyrisme et crise du sujet dans la modernité......................................... 12 Quelques œuvres de référence ..................................................................................................... 13 Pour aller plus loin............

les dérives d’un esprit malade et paranoïaque. S’il admire en Hugo l’artiste complet et rendu visionnaire par la magie de son travail du vers, Baudelaire considère cependant qu’il reste attaché à ce premier romantisme, campé sur la vision d’un lyrisme poétique trop intériorisé, qu’il récuse et dont il raille l’égocentrisme : « Hugo-Sacerdoce a toujours le front penché ; trop penché pour rien voir, excepté son nombril. »4 Par ailleurs, Baudelaire abomine en Hugo sa persistance à pratiquer l’«

vers SA vérité. Enfin, l’écriture doit emplir plus qu’une fonction de guide ; c’est l’expression d’un lyrisme souvent subjectif. Le lyrisme correspond à la fonction émotive du langage, qui varie en fonction du locuteur ; « Elle vise à une expression directe de l'attitude du sujet à l'égard de ce dont il parle » explique Roman Jakobson. Centré sur l'expression de l'émetteur, le lyrisme privilégie l'utilisation du « je » : c'est tout à fait le cas de la poésie lyrique dans laquelle le poète exprime

Question 1 : Les thèmes du Romantisme sont nombreux et ont tous une raison d’exister et un message à véhiculer. Premièrement on a dans ce courant, le Romantisme, une solitude du « moi » nous montrant le grand intérêt que portent les auteurs comme Châteaubriand pour leurs sentiments. Cette exaltation du « moi » explique donc le langage hyperbolique très présent dans les œuvres du Romantisme. La solitude de ce dernier nous montre également que ces poètes sont habités par un passé idéaliste, ils se plaignent

sont influencées par la nature, ses sœurs, sa mère, et surtout par l'abbé Dumont, son tuteur, qui lui insuffle une grande ferveur religieuse. Ferveur religieuse renforcée par les années qu'il passe au collège de Belley, pendant lesquelles il lit Chateaubriand, Virgile et Horace. Après avoir fini ses études, ne désirant pas servir l'usurpateur, il mène une vie de gentilhomme campagnard (1808-1811). Il écrit de la poésie chrétienne, et entame un voyage en Italie (1811-1812) pendant lequel il rencontre