Charlotte Corday

coupable à ses yeux d'avoir fait chuter la seconde République par un coup d'état meurtrier pour instaurer le Second Empire, fait qui lui inspira le recueil des Châtiments . Certains poètes y laissèrent la vie, comme Chénier qui a écrit Ode à Charlotte Corday, et qui voulu dénoncer la Terreur, plus récemment Robert Desnos qui a écrit C'est Hitler, C'est Goebbles du recueil Le Leg. Ces poètes qui ont mis leur art au service d'une cause se font justiciers. Ainsi, la poésie est un art changeant

est guillotiné à Paris. 2 juin 1793 : Sous la pression des Sans-Culottes, arrestation des députés Girondins à la Convention. Début de la Terreur instituée par les députés Montagnards. 13 juillet 1793 : Assassinat à Paris de Marat par Charlotte Corday, venue de Caen. 16 octobre 1793 : Exécution de la reine Marie-Antoinette. 31 octobre 1793 : Exécution des dirigeants Girondins. 5 avril 1794 : Danton, Camille Desmoulins et leurs amis sont arrêtés et guillotinés. 8 juin 1794 :

est aussi un homme malade, dont le corps est rongé des fièvres et d’un prurit qu’il soigne par des bains réguliers et quotidiens. Le 13 juillet 1793, sous couvert de révélations sur les contre-révolutionnaires normands, une jeune Caennaise (Charlotte Corday) réussit à s’introduire chez lui et l’assassine. La mort de l’Ami du peuple provoque aussitôt une immense émotion populaire, à laquelle David est sensible. Le peintre est chargé d’organiser les obsèques et la panthéonisation de Marat. Il décide

vient-il d’être incarcéré, qu’elle se déclare à elle-même : « Moi j’irais poignarder le prince, comme l’héroïque Charlotte Corday » (p. 419). Dans la réalité historique Charlotte Corday était une jeune exaltée contre-révolutionnaire et sa victime était Marat, l’Ami du Peuple ; dans le texte romanesque de Stendhal, à la faveur d’un remarquable renversement, Charlotte Corday en la personne de Clélia devient une amazone révolutionnaire et du même coup c’est

la vie politique et sociale par le code civil. Elles sont les grandes perdantes de la Révolution.. Et celles qui tenteront d’agir, d’influencer le cours des évènements politiques le paieront de leur tête, en témoigne les destins tragiques de Charlotte Corday, de Manon Roland ou de Théroigne de Méricourt.la fermeture des clubs féminins, le 30 octobre 1793.En 1789, les femmes de Provence protestent dans les cahier de doléances (registre dans lequel étaient consignés les souhaits et demandes des assemblées

contexte historique : La Révolution, la 1ère République, le Directoire, l’Empire… B- La littérature de propagande : Théâtre civique, historique. Chansons, almanachs, poésie (André Chénier), pamphlets. C- Le rôle des femmes : Olympe de Gouges, Charlotte Corday, Germaine de Staël.

caractères à la bourgeoisie, la farce au peuple). En 1641, il épouse Marie de Lampérière, fille du lieutenant particulier des Andelys, avec qui il aura sept enfants dont un mort une semaine après sa naissance. En outre, il est un ancêtre direct de Charlotte Corday, figure de la Révolution française. Corneille, auteur officiel nommé par Richelieu, rompt avec ce statut de poète du régime et avec la politique contestée du cardinal, pour écrire des pièces exaltant la haute noblesse (Le Cid, œuvre aujourd’hui

plausible, celui de la société contemporaine. En 1641, il épouse Marie de Lampérière, fille du lieutenant particulier des Andelys, avec qui il aura sept enfants dont un mort une semaine après sa naissance. En outre, il est un ancêtre direct de Charlotte Corday, figure de la Révolution française. Corneille, auteur officiel nommé par Richelieu, rompt avec ce statut de poète du régime et avec la politique contestée du cardinal, pour écrire des pièces exaltant la haute noblesse (Le Cid, œuvre aujourd’hui

inédites) Détache la ceinture à la belle étrangère, Et la vierge en ses bras devient épouse et mère. (Les Bucoliques) → Autres citations d’André Chénier. Œuvres Les Bucoliques, publication posthume (1819) Abel (Élégies) À Charlotte Corday (Hymnes et Odes) À compter nos brebis je remplace ma mère (Poésies Antiques) À de Pange aîné (Épîtres) À de Pange (Élégies) À Fanny (I) (Élégies) À Fanny (II) (Élégies) À Fanny (III) (Élégies) À Fanny malade (Élégies)

INTRODUCTION Est mort assassiné à Paris le 13 Juillet 1793 par Charlotte Corday, Jean Paul Marat, surnommé l'Ami du Peuple à l’âge de 50 ans. La mort de Marat est un évènement tragique de la Révolution française. On vient d’assassiner un homme important de cette période à qui les gens s’identifiaient et sur qui les gens comptaient. On se demande encore aujourd’hui comment et pourquoi Marat en est arrivé à se faire assassiner. Alors « comment Jean Paul Marat, Ami du Peuple à ses débuts, devient,