Charlotte Corday

David offre à la Convention le portrait de Marat. Rapport au contexte géographique : Marat a été assissiné à son domicile; dans sa baignoire. Rapport au contexte artistique :David mêle ici représentation naturaliste d’un événement (lettre de Charlotte Corday, bain dans lequel se trouvait Marat pour le soulager de sa maladie, couteau taché de sang, etc.) mais aussi l’idéalisation et la dramatisation d’une peinture d’histoire : grande diagonale de la lumière, coffre avec une dédicace, tel l’épitaphe

armes françaises amènent la chute du premier comité de Salut public, où Danton était prépondérant, et l'établissement da second comité, qui sera bientôt sous l'influence de Robespierre. Le 13 juillet, le conventionnel Marat est assassiné par Charlotte Corday : cet événement, coïncidant avec les périls extérieurs, décide la Convention aux mesures les plus extrêmes. Elle décrète, le 1er août que Marie-Antoinette sera traduite au tribunal révolutionnaire.Le pouvoir est alors exercé par les Montagnards

dépassées 5000 exemplaires. Il se fait l’écho de son conviction de son rédacteur opposé à l’esclavage, il défend aussi l’exécution du 10 aout 1792. Considéré comme l’un des instigateurs des massacres du septembre 17925, il sera assassiné par Charlotte Corday. Cet évènement donnera naissance a une riche iconographie mais il est difficile d’en imaginer une représentation plus saisissante que cet exemplaire de l’ami du peuple taché du sang même de son auteur * Des nouvelles de plus en plus importantes

XVI est guillotiné à Paris. 2 juin 1793 : Sous la pression des Sans-Culottes, arrestation des députés Girondins à la Convention. Début de la Terreur instituée par les députés Montagnards. 13 juillet 1793 : Assassinat à Paris de Marat par Charlotte Corday, venue de Caen. 16 octobre 1793 : Exécution de la reine Marie-Antoinette. 31 octobre 1793 : Exécution des dirigeants Girondins. 5 avril 1794 : Danton, Camille Desmoulins et leurs amis sont arrêtés et guillotinés. 8 juin 1794 : Fête

président des Jacobins en avril 1793. Le 2 juin 1793, les Girondins sont supprimés par la Convention sous la pression d’une insurrection parisienne. Il suscite beaucoup de haine et de mépris. Le 13 juillet 1793 il est assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday. Honoré Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau est né le 9 mars 1749 à Le Bignon et mort le 2 avril 1791 à Paris, est issu de la noblesse provençale. Il eut une jeunesse très tourmentée, marquée par des disputes avec son père qui le fit emprisonner

une jeune Révolutionnaire, Charlotte Corday. Il est peu apprécié des révolutionnaires féminines. En effet dès 1789, il élabora un projet de monarchie constitutionnelle, il mena son combat politique contre le roi puis contre les girondins (dont Charlotte Corday était une sympathisante). Accusé par ces derniers le 14 avril 1793, puis acquitté par le tribunal révolutionnaire dix jours plus tard, Marat reprit son siège à l’Assemblée nationale. De son côté, Charlotte Corday s’intéresse à la politique

Médée et l'Illusion comique. En 1641, Pierre épouse la fille d'un lieutenant, Marie de Lampérière. Ensemble, ils auront sept enfants. Sa généalogie va subsister dans le temps, puisqu'il est un aïeul direct d'une femme forte de la Révolution, Charlotte Corday. Par la suite, Richelieu nomme Corneille comme écrivain officiel. Mais ce dernier finit par refuser ce statut et écrit des pièces qui font l'apologie de la noblesse, à l'image du Cid, tout en rappelant que les hommes politiques ne doivent pas

En 1641, il épouse Marie de Lampérière, fille du lieutenant particulier des Andelys, avec qui il aura sept enfants dont un mort une semaine après sa naissance. En outre, il est un ancêtre direct de Charlotte Corday, figure de la Révolution française. Corneille, auteur officiel nommé par Richelieu, rompt avec ce statut de poète du régime et avec la politique contestée du cardinal, pour écrire des pièces exaltant la haute noblesse (Le Cid, œuvre aujourd’hui universellement connue), rappelant que

la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. Michel Eyquem de Montaigne : né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592) au château de Montaigne à Saint-Michel-de-Montaigne

rarement trouvé des défenseurs, ce qui a empêché les femmes de participer à la révolution. Par la suite, le Code civil promulgué par Napoléon Bonaparte en 1804 ne reconnaît aucun droit aux femmes.Si de grandes figures comme Olympe de Gouges, Charlotte Corday, Madame Roland ou Théroigne de Méricourt restent dans les mémoires, elles ne résument pas à elles seules le statut des femmes et leurs attentes sociales et politiques durant cette période. Les femmes ont occupé une place clé dans la Révolution