Chapitre 24 De Candide

contes philosophiques, en 19743, il a cinquante ans passé, il vient d’être élu à l’Académie française et il a composé essentiellement des pièces de théâtre. C’est en 1752 qu’il publie Micromégas dont nous allons étudier un extrait du chapitre 7, c’est à dire du dernier chapitre. Si c’est le troisième conte philosophique publié par Voltaire, (après Memnon et Zadig), Micromégas fut très probablement rédigé vers 1738-39.  Micromégas, le héros éponyme ( = fait de « donner son nom » à quelque chose) de l’œuvre

pour s'adresser au lecteur – le narrateur commente l'empressement des courtisans à venir aux obsèques de la reine – Vers 14 : récit également interrompu par la voix du narrateur concernant l'antre = lieu rendu sinistre par ses habitants – Vers 17 à 24 = digression = parenthèse → présent de vérité générale pour faire voir sa vision de la cour / « notre » → complicité entre l'auteur et le lecteur – Vers 30 à 32 → commentaire pas sans humour / vers 32 : le cerf ne connaît pas la Bible – → Tous ces exemples

pour satisfaire des caprices territoriaux personnels (" étendre les bornes de leurs États ", l. 22). Il faut ajouter à cette attitude déraisonnable et peu digne de " princes " la responsabilité de l'entourage (" ministres ambitieux ", " guerriers ", l. 24). La dernière partie de l'extrait est consacrée à une observation critique de l'Histoire dans son déroulement : multiplicité des guerres et refus de la paix. Damilaville trouve des accents lyriques et éloquents pour stigmatiser des comportements répétitifs

l’auteur de deux œuvres célèbres : Les Lettres persanes et De l’esprit des lois. Il meurt en 1755. - Enfin, le dernier, François Marie Arouet, dit Voltaire, est né en 1694. Il est l’auteur d’essais historiques et de contes philosophiques ( Exemples : Candide, L'Affaire Callas). Ses œuvres prouvent son souci de vérité, de tolérance et de compassion vis à vis des victimes d'erreurs judiciaires. Il meurt en 1778. L’ Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers a pour origine

question, créer un lien avec le lecteur, de le rendre actif et mieux le persuader. Rythme ternaire : « agités par l'ambition, par la crainte, par l'avarice » (rythme de l’éloquence) Répétition du mot « plus », insistance. Discours organisé : l23 à 24 annonce la thèse, développement sous forme de question rhétorique. Dernière phrase > conclusion. La généralisation du discours : utilisation du pronom « Nous » et « on ». 2. Un discours qui repose sur les contrastes pour mieux critiquer

Un ou deux livres pas catégorie me semblent déjà bien ! LITTERATURE A) Figures emblématiques : Homère, Nestor dans Iliade, Chant IV , 279-314, Chant X, 165-238, Chant XIV, 24-94 FolioClassiques, 1998. Corneille Don Diègue dans Le Cid (1621), Classiques Hachette, 2007. Voltaire, Le vieux musulman dans Candide, Chapitre 30. Montesquieu : Les deux patriarches de l’ « Histoire des Troglodytes », dans Les lettres persanes (1721), Lettre XIV, Folio-Classiques, 2003. Diderot, Le vieillard (« Le discours

Devoir maison de Français I – Question de corpus Texte A : Fénélon, Les Aventures de Télémaque (1699), septième livre Texte B : Montesquieu, Lettres persanes (1721), lettre XII Texte C : Voltaire, Candide (1759), chapitre XXX Ces textes cherchent-ils seulement à nous dépayser ou ont-ils une autre visée ? Au cours du XVIIIe siècle, le dépaysement à travers des récits et des contes orientaux et utopiques est à la mode. Ainsi, notre corpus est constitué de trois textes sur ce sujet. Le premier

Lecture analytique 2 le dner chez les protestants INTRODUCTION Accroche Cest moins de 10 ans aprs Candide (1759), que Voltaire crit lIngnu (1767) pour craser lInfme - le fanatisme chrtien-, et rveiller la conscience collective. Prsentation de luvre Il sagit dun conte philosophique dont lintrigue se droule sur deux ans (1989-1690) et dans un seul pays la France de Louis XIV. Bien que lauteur admire profondment son rgne, il condamne sans appel la rvocation de ldit de Nantes (1685) qui assurait jusquici

l[‘]enseigna […] » 1ère partie, chapitre 1, pp.14-15), ses études (« À douze ans, sa mère obtint que l’on commençât ses études. » 1ère partie, chapitre 1, p.15), son diplôme («Elle l’excusa […] et le raffermit un peu, se chargeant d’arranger les choses. » 1ère partie, chapitre 1, p.19), son cabinet (« Depuis longtemps, Madame Bovary guettait [l]a mort [de ce médecin], et le bonhomme n’avait point encore plié bagage que Charles était installé en face […] » 1ère partie, chapitre 1, p.19), et son premier mariage

l'incertitude de chacun face à son destin & le devoir de générosité pour le plaisir d'autrui. On peut trouver la sagesse du vieux car il donne en sens positif à sa vision lucide de la destinée humaine, mais il sait en même temps concilier le plaisir (V.24-25) avec une vision "historique" du devenir humain. C'est peut-être au terme d'une vie que l'on découvre : L'art de vivre. La brièveté de la vie nous invite à jouir du bonheur. → Le thème de l'arbre : il est à la fois un élément concret, présent