Champ Lexical De La Seduction

abstraites, exprimant des qualités de l'âme et relevant d'un discours lui-même fondé sur une esthétique idéaliste · La construction du portrait a fait d'elle l'objet des regards qui sont témoins de sa beauté, tous a désirent, tous l'épient.champ lexical de la vue:« parut » l.1, « yeux » l.2, « voir » l.4. Afin de prouver ses dires La narratrice souligne qu'elle se fonde sur le témoignage de la cour « l'on doit croire », « les yeux du monde ». On voit la surprise du vidame ( ligne 26 ) que la

d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance de don Salluste contre la reine (I, 1) ; présentation de don César, antithèse de don Salluste (I, 2) ; découverte

* De quoi ? De sa pauvreté, de sa difficulté à assurer sa subsistance. Le 4ème paragraphe de ce passage est le plus long, et c'est celui dans lequel sont développés tous les calculs approbatiques, auxquels se livre Georges DUROY. Le champ lexical de l'argent domine, il est annoncé d'ailleurs dès la première phrase : " Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges DUROY sortit du restaurant. " et est surtout présent dans le 4ème paragraphe : " 3 Francs 40

ne veux point d’affaire ; levez-vous. ». Ces relevés impliquent toutes les attitudes requises au bon déroulement d’un rendez-vous galant, d’un moment de séduction. En effet, les personnages adoptent une réelle attitude d’amant. Nous terminerons cette première partie par le relevé d’un vocabulaire amoureux et précieux. En effet, le champ lexical de l’amour est très présent : « clarté, tendre (tendresse), douceurs, compliments, aimez, aimable, coquet, aime » mais aussi « convaincre des mes flammes

») -       Répétition du verbe «engager». -       Altération par le son «j». Idée secondaire 1.2 Son goût de conquêtes amoureuses n’a pas de limite. -       Explication par le contenu. -       Il y a dans sa conception de l’amour et de la séduction un plaisir qui prend la forme d’un combat amoureux et apparente l’amour à l’art de la guerre. Don Juan est un guerrier de l’amour. -       Il a «l’ambition des conquérants» et se compare même à Alexandre Le Grand. Citation : «Il n’est rien qui

texte de Salomé. Le lecteur assiste à une véritable dramatisation de la danse {text:list-item} « Sur le haut de l’estrade » = situation de spectacle « Elle retira son voile » = on entre tout de suite dans le domaine de la séduction et du monde sensuel « C’était Hérodias comme autrefois dans jeunesse » = Comparaison : Salomé est comparée à sa mère quand celle-ci était jeune car elle était très belle Cela démontre la beauté de Salomé {text:list-item} « Se tordait

accumulation : « un diable, un Turc, un hérétique ». Le diable représente l’ange déchu qui entraîne une grande séduction ce qui implique le cynisme, la duplicité. Il incarne l’orgueil humain qui refuse sa condition trop humble. Le Turc représente l’ennemi du chrétien : le barbare. Et l’hérétique est celui qui soutient une critique contraire à la religion. Sganarelle utile le champ lexical de l’animalité de son maître : « chien », « pourceau », « bête brute », « enragé », ce qui représente le fait

Clèves, le Vidame (responsable, administrateur d’un territoire soumis à la direction d’un évêque) de Chartre, le Duc de Nemours, la Reine Dauphine, Dames, Maîtresses, princes… b. Personnages valorisés par leurs carrières glorieuses : Champ lexical de la réussite, de la conquête : « vie glorieuse » « guerres » l1, « grands emplois » l2 Adjectifs qualificatifs valorisants des qualités sociales et morales et physiques remarquables : « Digne » « gloire » (valeur) l 4 « brave » « magnifique

« palmiers » au vers 2, « fêtes amoureuses » au vers 3, « cimes » au vers 5 et « l'ardeur du ciel » au vers 6, qui sont des métaphores qui renvoient au paradis, « la naissance éternelle de Vénus » au vers 8, qui est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté, « moissons de fleurs » au vers 9 et « la joie du travail nouveau » au vers 15. On a aussi une image vivante de la ville justifiée par les termes « rugissent » au vers 3, « crie » au vers 4, « lumière » au vers 5, « mugissent » au

dans son œuvre intitulée « Je suis come la licorne », le poète s’adresse à sa Dame et lui demande d’avoir pitié de lui en acceptant son amour. Sa stratégie de séduction s’appuie sur la description de sa souffrance, qui respecte les codes de la fin’amor 2 . Nous verrons donc comment le poète fait de sa souffrance un outil de séduction. 3 Tout d’abord, cette chanson courtoise est un texte pathétique, dans lequel la souffrance du poète est omniprésente. De plus, ce texte s’adresse à la Dame et