Cauchois

départementaux. et les assimilés aux quotidiens : les tri-hebdomadaires, bi-hebdomadaires, hebdomadaires qu'ils soient nationaux (Le Monde diplomatique, Charlie Hebdo, Le Canard enchaîné, Zaman France) ou régionaux (La Manche libre, Le Courrier cauchois,Voix de l'Ain, L'Hebdo de l'Ardèche, Drôme Hebdo, La Croix de la Haute Marne, etc.)(ou, par exemple, au Maroc : Actuel , Telquel). Cette distinction est importante, car les enjeux de ces types de presse écrite ne sont pas les mêmes.

nouvelles de Maupassant est évoqué par Jean-Pierre Richard qui parle de «  la géographie imaginaire » de Maupassant . Il désigne ainsi la présence presque constante de la Normandie dans les récits de l’auteur. Ce décor s’accompagne souvent   des paysans Cauchois  qui sont dépeints selon les préjugés bourgeois en vigueur à l' époque, car il n’a pas lui-même côtoyé cette classe sociale .  Les nouvelles de Maupassant apparaissent donc comme stéréotypées, cela lui confère un style qui est identifiable même sans

des pouvoirs de police du maire L’ article L. 2211-1 du CGCT précise que le maire concourt par son pouvoir de police à l’ exercice des missions de sécurité publique. Ce pouvoir ne peut ni être partagé avec le conseil municipal (CE, 20 février 1946 CAUCHOIS), ni délégué (en cas d’ exploitation d’ service public par une personne privée), ni faire partie des un compétences transférées dans le cadre de la coopération intercommunale. En outre, dans l’ exercice des pouvoirs qui lui sont conférés au titre

registre familier utilisé dans : - Le récit : (besognaient ; empâter ; bourrer ; la masure ; la marmaille ; les mioches ; le moutard ; le fieu etc.) - Les répliques relatives aux paysans (Registre familier régional « cauchois ») * Le registre soutenu utilisé dans : - Le récit - Les répliques relatives aux aristocrates (Les D’Hubières) Consigne d’écriture Réécrivez les répliques des paysans (page : 80) en utilisant le registre soutenu. Exemple

fonctionnelle * L’état vasculaire : pouls distaux, douleur, pâleur, diminution de la chaleur du pied * L’état nerveux : compression, étirement et exceptionnellement rupture. * L’état cutanée : ecchymoses ou ouverture. Classifications de Cauchoix : type I plaie punctiforme type II décollement ou contusion suture sous tension type III perte de substance cutanée non suturable type IV boiement avec ischémie distale (> Amputation) * L’état musculo-aponévrotique (syndrome des loges)

immigrées et de leurs enfants » dans mots pluriels no 23. mars 2003. http://www.arts.uwa.edu.au/MotsPluriels/MP2303mhb.html BULOT T., 2006, Langue vivante, l’identité sociolinguistique des Cauchois , L’Harmattan, Paris, 222 pages. DJAIDANI R., 1999, Boumkoeur , Editions du Seuil, France. FAUDEL, 2008, Itinéraired'un enfant de cité , Michel

les assimilés aux quotidiens : les tri-hebdomadaires, bi-hebdomadaires, hebdomadaires qu'ils soient nationaux (Le Monde diplomatique, Charlie Hebdo, Le Canard enchaîné, Zaman France, Action Française 2000) ou régionaux (La Manche libre, Le Courrier cauchois,Voix de l'Ain, L'Hebdo de l'Ardèche, Drôme Hebdo, La Croix de la Haute-Marne, etc.)(ou, par exemple, au Maroc : Actuel, Telquel); Cette distinction est importante, car les enjeux de ces types de presse écrite ne sont pas les mêmes. Presse périodique

trouble est traduit par des phrases bouleversées, elliptiques, incomplètes, au moment, par exemple, où le nom «horla» est trouvé : il a probablement été forgé, comme Pierre Castex le suppose, d'après le mot «horzain» qui, en Normandie (spécialement, le Cauchois et le Roumois), désigne un étranger. Les figures de style sont nombeuses : comparaisons, métaphores (dont l’une est particulièrement intéressante mais classique : la désignation de la Terre, de notre globe terraqué, comme « un grain de boue qui tourne

événement est un ajout ) et enfin l'interrogatoire qui permet un retour au texte initial avec la présentation des personnages. Le respect de l'écriture : Dans le film, les dialogues sont fidèles à l'époque, ainsi qu'au récit. On retrouve bien le parler cauchois qu’a employé Maupassant. Dans la nouvelle, les dialogues sont rares mais toujours à des moments clés du récit, lors de la scène de marchandage de l’enfant entre les d’Hubières et les Tuvache et les Vallin puis au départ de Charlot : « Le soir, au

| | | | | |sylvie.bitoun@centre pompidou.fr | |DRH |Chargée de mission juridique |Laurence CAUCHOIS | | | | | | | |laurence.cauchois@centre | | |