Cas Pratique Sur Les Vices Du Consentement

L2 UPB Mme VIMONT MÉTHODOLOGIE LE CAS PRATIQUE Le cas pratique est un exercice qui permet aux étudiants de restituer leurs connaissances dans le cadre d’une consultation juridique. Un texte vient énoncer des faits, et il faut analyser un problème de droit, puis utiliser le syllogisme pour résoudre ce problème de droit. Plusieurs étapes sont nécessaires dans la résolution d’un cas pratique. Même si la méthode du cas pratique est donnée, vous ne croiserez pas cet exercice au cours

Droit de l’entreprise, Droit des Affaires QCM = 1/3 de la note et contrôle final = un cas pratique et une question de cours. Dire quelles sont les parties protagonistes du cas. Puis il faut résumer, ce n’est pas reprendre les deux tiers du cas mais c’est une synthèse en quelques lignes pour cerner le contexte et le problème de droit (il s’agit en l’espèce d’une inexécution d’un contrat de droit, de clause pénale…) Définir les termes juridiques. Puis parler du ou des problèmes juridiques. Puis

que le sujet est complet dès sa mise à votre disposition. ____________________________________________________________ ____________ Le sujet se présente sous la forme de 3 dossiers indépendants : Présentation du sujet DOSSIER 1 – Situation pratique (12 points) DOSSIER 2 – Commentaire de document (5 points) DOSSIER 3 – Question (3 points) page 1 page 2 page 3 page 3 Le sujet comporte les annexes suivantes : DOSSIER 2 Annexe 1: Cour de cassation, 1e chambre civile, 28 octobre 2010 Annexe 2:

Projet de thèse Sujet : « Les mesures de protection du consentement en droit privé européen ». « L'européanisation du droit est comme une marée montante qui se déverse depuis les estuaires jusqu'aux rivières, et qui ne peut être endiguée »1. Cette métaphore utilisée par Lord Denning, pour illustrer l'apparition d'un nouvel ordre juridique à l'adresse des états membres de l'Union Européenne, trouve un écho dans l'étude envisagée. En effet, après avoir fixé des objectifs économiques, les institutions

civil ne l’a autorisé en 1804 que pour des conditions strictes et pas pour longtemps car supprimé au moment de la restauration en 1816 et fut rétabli en 1884 au moment de la IIIe République mais uniquement pour des conditions strictes (fautes). Consentement mutuel seulement en 1975. -le lien de filiation des enfants étaient lui même assez stable car on ne pouvait pas divorcer, ou très difficilement. Il n’était pas indestructible mais seul le mari, pendant des décennies, avait le pouvoir de contester

A. Ce cas pratique mène à se pencher essentiellement sur deux points : la rupture des fiançailles causée par Lili et la possibilité de rupture du mariage dans l’hypothèse soulevée par Eros. La rupture des fiançailles pose plusieurs problèmes puisque l’on peut s’interroger sur la valeur de la promesse d’union faite par Lili et incidemment sur les possibilités de réparation pécuniaire du préjudice causé par la rupture, le sort des cadeaux qui ont été faits aux futurs époux ainsi que le sort de la

d’utilisation car ils vont protéger des créations originales ou un droit d’utilisation d’un signe distinctif. Ces droits ont une importance pratique considérable, la marque notamment constitue un élément fédérateur pour attirer les clients. Il y a aussi des licences et des autorisations qui sont obligatoires pour certains commerces et font partie du fonds. C’est le cas notamment pour les débits de boissons ou les agences de voyages. Enfin, le bail commercial est quasi indispensable pour exploiter un

droit de suite. Dans le droit réel, il y aussi un droit de préférence : le détenteur du droit réel, le propriétaire de la chose est préféré à tous les autres. Le droit réel comporte donc un droit de suite et un droit de préférence, ce qui n’est pas le cas du droit personnel. Le créancier ne profite pas d’un droit de préférence, sauf s’il a un privilège, ou une sûreté. c) En vertu duquel l’un peut exiger de l’autre L’obligation a un caractère contraignant, il y a une contrainte qui va permettre au créancier

à un contrat conclu antérieurement Toutefois il y a là encore des restrictions: * des contrats peuvent être rompus par une partie sans l’accord de l’autre (ex : le contrat de travail à durée indéterminée) * le juge peut, dans certains cas, modifier le contrat (ex : interdiction de certaines clauses abusives) * certaines lois viennent s’appliquer malgré la volonté des contractants II CLASSIFICATIONS DES CONTRATS 1. Classification selon le contenu des obligations Contrats

organisation » par Paul Didier, par opposition aux « contrats échanges ». Pour ce dernier, comme son nom l’indique, il s’agit d’un échange par lequel les parties s’échangent respectivement une chose contre une autre. Le contrat est formé dès l’échange de consentements des parties. Le « contrat organisation » met en évidence une coopération entre les associés qui vont mettre des choses en commun en les employant dans le cadre d’une activité commune. L’acte confère les mêmes droits et les même obligations aux