Cas Pratique Sur Les Normes Ias

III. Les mots clés ………………………………. (7)  IV. Les définitions à retenir……………… (8-11)  V. Organisation et institution………… (12-13)  VI. Le résumé…………………………………… (14-16)  I. Référence : Titre : Audit social Sous titre : meilleurs pratiques, méthodes et outils. Editeur : édition d’Organisation EYROLLES Date d’édition : 2008. Nombre de page : 160 pages. Collection : Ressources

entreprises pour lesquelles on demande 30 à 40%). Quand les banques sont à la limite, elles vont essayer d’augmenter leurs fonds propres par titrisation. Elles créent un outil dans lequel elles vont mettre une partie de l’actif de la banque, dans ce cas-ci, elles y ont mis les prêts hypothécaires risqués. Au départ, comme l’immobilier était en croissance, c’était plutôt considéré comme une valeur sûre. Ces titres vont être rachetés par des autres organismes financiers, et ainsi de suite… De plus

les échanges qui ont pu se faire entre les sociétés du groupe ; - d’homogénéiser les pratiques comptables des différentes sociétés ; - de ne faire apparaître que l’aspect économique des transactions ; - enfin et surtout, d’éliminer les détentions des titres des sociétés entre-elles. B – Les normes Dans leur métier, les Auditeurs utilisent un certain nombre de normes comptables telles que IFRS ou US GAAP, et sont soumis à des lois telle que la Loi Sarbanes-Oxley

de réalisation nette Section 5. Les stocks de services Section 6. Traitement des différences de change sur les achats et les stocks 1. Evaluation lors de la prise en compte de l'achat 2. Fluctuation intervenant après la prise en compte initiale 3. Cas particuliers Section 7. La présentation des écarts et gaspillages sur coûts liés aux stocks et à la production ainsi que la dépréciation des stocks dans l'état de résultat 1. Présentation des écarts sur inventaire permanent et des charges non incorporables

industrialisés). Certains ont critiqué ce qu’ils considèrent comme une déformation l’analyse comptable d’entreprise au bénéfice de la macroéconomie, cette critique serait valable si la VA était sans utilité dans l’analyse micro-économique. Or tel n’est pas le cas, loin s’en faut, à tel point que dix (10) ans plus tard, le plan français de 1982 a pris le même chemin. En effet, la VA est un solde de gestion d’un intérêt capital, non comme mesure d’une performance, mais comme indicateur, comme révélateur de la

opérationnel, les immobilisations ou les investissements par secteur d’activités et zones géographique. Il s’agit également d’un regard en tendance. Une analyse financière menée sur une période de 3 à 4 années permet de dégager les tendances et le cas échéant d’isoler un exercice atypique. L’analyse porte d’abord sur les éléments économiques : l’évolution du chiffre d’affaire, des marges et des investissements. Cette analyse économique de l’entreprise ne peut être menée que comparativement à d’autres

Les normes Bâle II (le Nouvel Accord de Bâle) constituent un dispositif prudentiel destiné à mieux appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1998 par le Comité de Bâle, ville de Suisse, sous l'égide de la « banque centrale des banques centrales » : la Banque des Règlements Internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient

Il existe une hiérarchie des sources : L’application des IFRS, normes internationales émises par l’IASB (International Accounting Standard Board) est obligatoire pour les sociétés cotées en Bourse ou présentant des comptes consolidés. On trouve notamment : Le Code de Commerce (voir extraits en annexe) La loi du 24/07/1966 Le décret du 29/11/1983 C’est l’ANC (Autorité des normes comptables) qui Est à la fois l’organe de décision en matière de Comptabilité

puissance de pays comme le Chine ou l’Inde qui deviennent de réels concurrents, les entreprises doivent être très compétitives pour gagner de nouveaux marchés. L’activité économique dépend de normes internationales formelles ou informelles, les entreprises ont intérêt de peser sur l’élaboration de ces normes pour qu’elles soient favorables à leurs projets. Enfin, les entreprises se livrent une guerre de l’image et de la réputation, leur but étant de séduire les clients. C’est une dimension importante

exponentielle dans le temps. L’audit social vise à contrôler que les pratiques sociales d’une entreprise respectent un code de conduite. Ce dernier peut être défini par la société elle-même ou par exemple par l’organisation internationale du travail. L’audit social présente une grande similarité avec les autres branches de l’audit, informatique, logistique, achats, etc. la différence se trouve alors dans le fait que Dans le cas d’un audit social, l’auditeur suit un protocole agréé par son donneur