Cas Pratique Les Nullités D Une Vente Monsieur Martin

de naissance qu’un nom doit être attribué à l’enfant. L’attribution d’un nom dépend de sa situation au regard de la filiation à ce moment. Si la filiation de l’enfant est établie à l’égard de ses deux parents au jour de la déclaration de naissance, (cas des enfants nés de parents mariés ou d’enfants nés de parents non mariés dont le nom de la mère est indiqué dans l’acte et que leur père a reconnus), les parents ont le choix de lui attribuer (art. 311-21) : ∗ ∗ ∗ le nom du père, le nom de la mère,

................................................................ p. 59 1.1.1 - En cas de filiation légitime ........................................................................................................................... p. 60 1.1.2 - En cas de filiation naturelle ........................................................................................................................ p. 60 1.1.3 - En cas de filiation adoptive ............................................................

d’infériorité statutaire du travailleur par rapport à l’employeur. Les règles inférieures ne peuvent déroger aux normes supérieures que lorsqu’elles accordent des avantages ou des situations juridiques plus favorables aux travailleurs. Dans la plupart des cas, les obligations prescrites par les règles impératives du Code du Travail reçoivent des sanctions civiles (amendes, indemnités et dommages intérêts) et ou pénales (amende et ou emprisonnement). C’est un droit protecteur. Son rôle premier est de protéger

AIX-MARSEILLE FACULTE DE DROIT ET DE SCIENCE POLITIQUE D’AIXMARSEILLE CENTRE DE DROIT MARITIME ET DES TRANSPORTS LE PRINCIPE « COMPETENCE-COMPETENCE » DANS LE CONTENTIEUX MARITIME Mémoire présenté par Marie NIVIERE sous la direction de Monsieur Christian SCAPEL Promotion 2007 La mer touche au plus profond de l’Homme. Dans la lumière du soleil, n’estelle pas le miroir de l’âme humaine ? Philippe PLISSON « La Mer » Je souhaite profiter de ce mémoire pour rendre hommage à tous

apparue en 1961, qui a pour objet l’étude comparative des trois contentieux : la Procédure Civile, la Procédure Pénale et le Contentieux Administratif (étude des modes de saisine du juge, étude des pouvoirs respectifs du juge et des parties, étude des nullités, étude du calcul des délais, mise en œuvre des Droits de l’Homme etc … La matière n’est guère enseignée pour l’instant, mais des manuels commencent à être publiés, mettant l’accent sur le développement des Droits de l’Homme (sensibles surtout dans

par tacite reconduction, sans signature d'un nouvel acte, l'obligation d'information restait applicable, le non respect de cette obligation justifiant une sanction de principe. La Cour de cassation a en revanche précisé que, pour voir constater le nullité du contrat, il convenait d'établir que le consentement du cocontractant avait été vicié par le défaut d'information, ce qu'en l'espèce le distributeur n'avait pas fait. 3 Transmission des clauses limitatives de garantie Un arrêt de la chambre

DCG 3 Droit social Paulette BAUVERT Nicole SIRET DCG 3 Droit social CAS PRATIQUES EXPERT SUP L’expérience de l’expertise Les manuels DCG DCG 1 • Introduction au droit, Manuel et Applications corrigées Jean-François Bocquillon, Martine Mariage DCG 2 • Droit des sociétés, Manuel et Applications corrigées France Guiramand, Alain Héraud DCG 3 • Droit social, Manuel et Applications corrigées Paulette Bauvert, Nicole Siret DCG 4 • Droit fiscal, Manuel et Applications Emmanuel Disle, Jacques

peut faire des institutions contractuelle (la succession au dernier vivant). L’effet des obligations, c’est un renvoi à tous les contrats translatifs de propriété, ici, on pense tout de suite à des modes de transmission à titre onéreux comme la vente, l’échange, la dation en paiement mais où il y a une équivalence de prestation, il y a aussi les transmissions à titre gratuit de propriété (comme la donation entre vifs). Il y a aussi des contrats qui transmette la propriété, mais qui sont ni gratuite

deux cas : la nécessité médicale (donc dans l'intérêt du patient) et l'intérêt thérapeutique d’autrui (dons d’organes par exemple). Mais l'article 16-3 aliné2, déjà posé depuis un arrêt de la cour de cassation, indiquait que le consentement de la personne est nécessaire. Cet article indique également que nul ne peut être contraint de subir une intervention chirurgicale (arrêt du19 Mars 1997 de la 2ème Chambre Civile de la cour de cassation) hors les cas prévu par la loi. Il y a ici deux cas problématiques

la première édition. Après plus de cinq années d’application des Actes uniformes relatifs au traité de l’organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA), il paraît nécessaire de rassembler dans un ouvrage, comme c’est le cas pour le code OHADA, la terminologie propre à ce nouveau droit économique qui du reste demeure multidisciplinaire, afin de faciliter la tâche à tous ceux qui en font usage, surtout les profanes et débutants en droit. Ainsi, non seulement l’accent porte