Cas Pratique La Rétroactivité De La Loi

a pas de droit, lorsque seulement plusieurs êtres se trouvent réuni : besoin d’ordonner une conduite, de fixer des règles. « Ubi societas ibi jus » : la où il y a une société, il y a du droit. Société occidental toutes soumises aux règles de la loi. Les pouvoirs publics, les justiciables sont soumis à l’ordre juridique. L’Etat de droit s’oppose à l’anarchie, à la justice privée, expression de la … la barbarie et le droit sont antianémiques. L’organisation juridique est le moyen par excellence

règle qui interdit un comportement est obligatoire de manière flagrante * le caractère flagrant est obligatoire lorsqu’elle impose/ dicte un comportement, lorsqu’elle impose une obligation. * Mais il y a des cas où le caractère obligatoire n’est pas visible, c’est le cas lorsque la règle de droit est une permission. Ex : le droit de propriété, qui est le droit de disposer des choses. C’est une permission et non pas une obligation. Il y a des règles qui ont une pleine force obligatoire

national est celui auquel on s'adresse normalement et en premier lieu ; le juge spécialiste qu'est la Cour de justice est celui qui est appelé à intervenir dans certains cas et par l'entremise du généraliste. Cette coopération va imposer des obligations tout en donnant une liberté au juge national pour faire appliquer la loi, par son évolution constante jurisprudentielle ces différents pouvoirs sont adaptés et souvent mis en opposition ce qui va fixer des limites à ces libertés. I - La

laicité commande la neutralité de l'état mais aussi de reconnaitre la liberté des croyances ou liberté religieuse. Les tribunaux sont autorisés à prendre en considération les considération religieuses dans le cas où ca ne viendrait pas à l'encontre des règles juridiques établies bien qu'en aucun cas un tribunal ne pourra faire directement application pure et simple d'un principe religieux. §2. Le droit et la moraleLes préceptes de la morale résultent de la conscience individuelle ou collective alors

connaître le language du droit: les termes juridiques 1/ les termes courants n'ont pas la même signification en droit: -un arrêt en droit c'est une décision rendu par certaines juridictions. juridictions -un crime c'est une infraction grave selon la loi qui conduit à des sanctions importantes, il y a trois types d'infraction: les infractions, les délits, les crimes. délits 2/ certain termes courants ne devront pas être utilisés en droit car il sont trop imprécis. Ainsi on ne parle pas de prison mais

deux ou plusieurs personnes conviennent d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie, en vue de partager le bénéfice ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter, tout en s’engageant à contribuer aux pertes, c’est ce que la pratique appellera le contrat de société ou encore « statuts ». Mais il désigne également, selon Cornu, « la réalité sociale qui naît du contrat de société », c’est-à-dire de la personne juridique à laquelle est affectée la chose mise en commun, et qui

française (4 octobre 1958); Constitution marocaine (13 septembre 1996); Loi Fondamentale de la RFA (23 mai 1949); Constitution italienne (27 décembre 1947); Constitution japonaise (3 novembre 1946); Constitution russe (12 décembre 1993); c. Distinguer les Constitutions souples des Constitutions rigides : Les Constitutions souples: Sont celles qui peuvent être adoptées ou modifiées suivant les mêmes règles et formes que la loi ordinaire; aucune condition procédurale particulière n’est exigée pour

agir.. Ce sont les règles du procès. Le droit international privé: on vise ici les rapports entre les personnes privées dès lors que ce rapport présente un élément d'extranéité: dans la relation l'un des éléments dépasse les frontières françaises. Loi applicable: le conflit de lois.Tribunal compétent: conflit de juridiction. c. Les droits mixtes Ces règles réglementent aussi bien les relations entre personnes privées qu'entre personnes privées et personnes publiques. Aujourd'hui on a trois matières:

catégories de texte Entre 1804 et 1958, la seule catégorie de texte importante est la loi parlementaire. Mais dans les périodes de crise il arrivait au gouvernement de légiférer par des décrets loi (qui sont les ancêtres de l’ordonnance). Durant la IVème République il y eu un grand nombre de décrets loi comme par exemple celui sur le privilège des bouilleurs de cru qui a fut l’un des décrets qui fit tomber Mendès France. La loi va fixer les grands principes fondamentaux de la République mais c’est à l’exécutif

les atteintes qui seraient faites à l’ordre public. Le but n’est donc pas d’améliorer l’individu mais d’assurer une protection globale de la société. Mais la défense de l’ordre public, objectif du droit pénal, repose sur une notion floue ou en tout cas sur une notion évolutive : l’ordre public se définit traditionnellement comme la tranquillité, la salubrité et la sécurité publique. Le problème est que l’on n’a pas précisément encadré la notion car cette notion dépend de la société dans laquelle elle