Capitalisme Germinal

massivement sur toute une partie de la planète. Elle se diffuse d'abord en Europe du nord-ouest, puis en Amérique, au Japon et en Russie. Mis à part le cas de l'U.R.S.S. Après la révolution de 1917, l'industrialisation s'est effectuée selon les règles du capitalisme avec une intensité inégale selon les pays, déterminant ainsi des changements plus ou moins profonds et rapides des structures sociales et des modes de vie. Mais quels changements concrets la Révolution industrielle a-t-elle introduite dans la

Partie I – Histoire des faits et idées économiques PERIODE FAITS ECONOMIQUES PENSEE EMERGENTE 6è-16è : Economie féodale (Moyen-Âge) Economie féodale Pensée doctrinale (influencée par la morale chrétienne) 15è-16è : Marche vers le capitalisme Découverte de l’Amérique et de son or / Richesse des princes Développement des « banques » et du négoce Mercantilisme (bullioniste) 17è : Expansion coloniale Affirmation de la bourgeoisie Mercantilisme (« commercial » ou anglais

économies de marché L’économie marchande repose sur l’échange monétaire et recouvre deux réalités : - « L’économie marchande simple »(Marx), est composée de petits producteurs indépendants et se reproduit sensiblement à l’identique ; - Le capitalisme est dynamique. Il repose sur l’augmentation des profits et le réinvestissement des capitaux en vue d’augmenter les capacités de production futures. Le système repose sur le profit. Il y a donc besoin d’une légitimation morale du gain. 1) Les

manquer de ressources alimentaires et de subir une hausse des prix. Turgot se heurte au contexte et à l’inertie des mentalités. → Il faut attendre la Révolution pour que l’Assemblée Constituante procède aux réformes qui poseront les bases d’un capitalisme libéral. Evolution politique : → Le libéralisme politique est à l’origine du libéralisme économique. L’intérêt général est la somme des intérêts particuliers. → Au début du 18e, toute l’Europe quasiment est en monarchie absolue ou république

économique et social. Néanmoins, en pleine seconde révolution industrielle (1870-1920) la nation française est confrontée à de nombreux défis notamment celui de la misère ouvrière dénoncée par Zola dans ses romans (l’Assommoir en 1877 ou encore Germinal en 1885). La crise financière de 1929 marquant le début de la Grande Dépression résonne encore comme un avertissement que nous n’aurions pas entendu. Débutée à Wall Street cette crise est, une fois n’est pas coutume, issue de l’explosion d’une bulle

française, la révolution et l'empire Fin des privilèges, confiscations des biens et terres (morcellement) Lois sociales de l'an II : fail Liberté d'entreprendre (Allarde, 1791), de propriété (1789, DDHC), etc. Création du Franc (1795) puis Franc germinal (1803) Bcp de pertes humaines (révo° + guerres Napo) + blocus GB → effet néfaste sur l'éco malgré amélioration enseignement (Napo) Chap. 3 L'industrialisation dans le monde au XIXe siècle. dvp techno + concentration (éco d'échelle) I. La suprématie

Mirgain : I. Une description réaliste et épique à la fois : A. Une description d'un grand magasin et de sa clientèle féminine B. Le grandissement épique II. Une satire de la petite et moyenne bourgeoisie A. Mouret, un personnage représentant le capitalisme naissant et séduisant sans vergogne sa clientèle petite bourgeoise B. Un réquisitoire contre le mercantilisme (auri sacra fames !) • Plan de l'Annabac Hatier : Problématique et définition du texte : extrait d'un roman naturaliste qui décrit

qui va opposer opprimeurs et opprimés, dominants et dominés. C'est le mode de fonctionnement de toute société. Simplement, le fondement de cette oppression change avec le mode de société. La société bourgeoise moderne qui voit s'épanouir le capitalisme est aussi celle qui voit les antagonismes de classe se réduire à la lutte entre deux seules classes : la classe des capitalistes, ceux qui détiennent de manière privée le capital, c'est à dire les moyens de production et qui les utilisent en exploitant

Les contestations du capitalisme libéral Comme toute révolution, la révolution industrielle divise les hommes qui la vivent. Certains s’en font les thuriféraires, d’autres, comme les économistes, l’observent et tentent d’en modéliser les processus, sans forcément en partager toutes les nécessités. Et puis, il y a ceux qui voient et analysent les conséquences sociales de cette révolution : déracinement, éclatement des cadres sociaux et culturels de vie, concentration de la misère dans des villes

tirée par le boom ferroviaire des années 1840, affecte profondément l'agriculture1, l'économie, la politique, la société et l'environnement. Certains historiens contestent la validité scientifique de cette expression : Pour Werner Sombart (Le Capitalisme moderne, 1902) la « révolution industrielle » est un phénomène ancien qui commence en fait à Florence au XIVe siècle avec l'émergence de la civilisation bourgeoise. Fernand Braudel fait observer que le caractère brutal qu'implique le terme de «