Capitaine du peuple

Bien que le Père Ubu soit content de ses titres , « capitaine de dragon, officier de confiance du roi Venceslas, décoré de l'ordre de l'Aigle Rouge de Pologne, et ancien roi d'Aragon », la Mère Ubu essaye de le convaincre de conspirer pour renverser le roi Venceslas, ce qui lui permettrait, entre autres avantages, de « manger fort souvent de l'andouille » et de se « procurer un parapluie ». Invitant à sa table le capitaine Bordure (« Eh bien, capitaine, avez-vous bien dîné ? — Fort bien, monsieur, sauf

anglais, est un chirurgien établi dans la marine. Il est marié à Mary Burton avec qui il a des enfants. Il fait de nombreux voyages aux Indes Orientales et Occidentales qui lui permettent d’accroître sa fortune. Il s’intéresse beaucoup à la culture des peuples. En Mai 1699, après une longue pause dans ses voyages de 3ans, il repart pour les Indes Orientales. Pendant le trajet, ils essuient une lourde tempête et sont déviés de leur trajectoire, ils perdent de nombreux hommes. Puis en novembre, ils rencontrent

de notre pays, jusqu’ici considéré comme un exemple en Afrique. À quelques semaines d’une élection où le peuple Malien s’apprête à choisir librement et démocratiquement son avenir, nul ne saurait légitimement se substituer par la force à la souveraineté populaire. Ce coup d’État est en réalité un coup d’arrêt à notre projet commun de changement pour un développement démocratique, auquel le peuple malien adhère dans son écrasante majorité. Seul un pouvoir démocratiquement élu, puisant sa force et son

espagnole des Amériques[->4] au XVIe siècle[->5]. Medellin se trouve sur la route de Cadix où les marins allaient s'embarquer pour les Indes. Dès son enfance, Hernan Cortés se passionne pour les récits épiques de la guerre que menaient les capitaines espagnols contre les arabes. Mais quand Christophe Colomb[->6] découvre les Indes, il est fasciné par les histoires qu'on lui rapporte. Le Grand Amiral aurait découvert les Jardins de l'Eden, des terres d'une richesse insondable. L'oncle du jeune

c’est le passage où on peut vraiment sentir la piraterie, que je n’ai malheureusement pas pu développer car les 30 lignes étaient largement dépassées… Tout commence par la fin, sur un navire prêt à s’échouer. La tempête est présente et le cri du capitaine, Thaek, essaient de s’imposer tant bien que mal. Avant de passer au début de l’histoire, on voit une énorme tornade et tout s’arrête… Nous voilà dans une échoppe où on peut voir le même personnage vert, qui est apparemment un apprenti forgeron, principalement

ont toujours mainmise sur les noirs par l’idée de supériorité qu’ils ont toujours montré à l’égard de ces derniers. Cela peut s’illustrer à travers la nouvelle de Prosper MERIMEE, Tamango où cet abus d’autorité est marqué par le regard qu’a le capitaine Ledoux sur Tamango : «  «   il nous est mort cette nuit trois esclaves. Nous avons de la place. Pourquoi ne pendrions nous pas ce vigoureux coquin, qui vaut mieux à lui seul que les trois morts ? » Ledoux fit réflexion que Tamango se vendrait bien

raciales de l'histoire du pays. C’est une nouvelle République qui s’instaure donc, avec un nouveau drapeau, un nouvel hymne et surtout un pouvoir donné aux personnes de couleur. C’est une première puisque l’Apartheid visait à combattre et soumettre le peuple « noir ». Néanmoins, Mandela et sa nouvelle république ne font pas l’unanimité, et les partisans de l’Apartheid restent attachés aux valeurs de la ségrégation raciale. Les Springboks, équipe nationale de rugby, reste un des symboles fort de ces

autochtones et les colons. Les fusils évoque l’exploration du grand nord-américain à travers le parcours de John Franklin un célèbre explorateur britannique qui disparaissait en 1847 avec tout son équipage durant son périple, mais aussi le sort des Inuits peuple autochtone d’Amérique du nord. Le passage analysé aujourd’hui intitulé « la signification de ses os 1990 » se situe donc dans le chapitre 5 de l’œuvre « passage du nord-ouest ». On peut apporter la problématique suivante : Quelle dimension prend

l'histoire inspirante de l'union des forces entre Nelson Mandela (Morgan Freeman) et François Pienaar (Matt Damon), le capitaine de l'équipe de rugby de l'Afrique du sud, dans l'espoir d'unifier leur pays. Le Président élu, Nelson Mandela, constate que sa nation demeure divisée sur les plans racial et économique dans le sillage de l'apartheid. Croyant pouvoir unifier son peuple par l'entremise du langage universel du sport, Mandela rallie l'équipe de rugby perdante de l'Afrique du sud en vue du

scientifiques qui doivent étudier les peuples rencontrés, la faune et la flore de ces îles du Pacifique. Une sorte d’exploration à la fois géographique et ethnologique. Face à ce défi, l’intrépide James Cook est en proie aux doutes et à l’incertitude. De nombreuses embûches attendent l’expédition. L’océan est immense, périlleux et parfois mortel. Les peuplades indigènes ne sont pas toutes pacifiques et les longs mois en mer rendent les hommes nerveux. Le capitaine du navire s’interroge, parviendra-t-il