Candide Un Conte Divertissant

par leurs passions aveugles et leur soif de gloire. C’est un plaidoyer pour la paix et un réquisitoire contre la guerre. L’apologue : Candide ou l’Optimisme de Voltaire Chapitre 1 : L’incipit I) Candide • personnage principal : - son nom est donné à l’œuvre - c’est le seul dont on connaît les pensées • personnage de conte de fée : - son nom désigne un trait caractéristique : la naïveté - il vit dans un château - « il y avait en Westphalie » - « la nature

Le registre comique Le registre comique a pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des

plaisant voire humoristique. Des auteurs comme Molière ou Raymond Devos affirmaient pour leur part, de ne pas parler des choses graves sur le mode sérieux. De ce fait, peut-on penser que l'auteur ait le droit d'aborder des thèmes importants en divertissant le lecteur ? Dans un premier temps, nous verrons qu'il est possible d'utiliser l'humour afin de traiter d'importants sujet, mais que pour certains d'eux étant graves, l'humour n'est pas le meilleur outil. Relativiser permet à l'homme

publié pour la première fois en 1767, probablement à Genève chez Cramer. Dès les premiers échos sur cet ouvrage, son libraire déclare qu'il « vaut mieux que Candide en ce qu'il est infiniment plus vraisemblable ». La force de l'ouvrage ne vient pas seulement de cette vraisemblance, mais aussi de la mixité des formes et des thèmes. Il est à la fois conte philosophique, apologue, satire et roman, et vient critiquer les doctrines des jansénistes et des jésuites, ainsi que l'empire de la religion, des conventions

 L’apologue est un récit court à visée argumentative dont on tire une instruction morale. C’est un genre très célèbre qui se divise en plusieurs sous genres tels que la fable, le conte et l’utopie. En parlant des Fables, un contemporain de La Fontaine a écrit : « Je ne connais pas de meilleur moyen que ces petites histoires pour faire réfléchir les hommes et faire changer leurs comportements. » On peut alors se demander si l’apologue est oui ou non le meilleur moyen argumentatif. On montrera d’abord

quoi cette fable appartient-elle au classicisme/mouvement classique ? En quoi ce texte est-il un apologue ? Le but de cette fable n’est-il que de divertir ? Comment l’auteur parvient-il à nous instruire tout en nous divertissant ? Plan : (2ème possibilité vois polycop prof) I- Des personnages antithétiques 1- Le chêne (supériorité du chêne, il est autosuffisant et possède une grande assurance) 2- Le roseau (grande sagesse du roseau, il est plus souple et

"expliquer", "raisonner". Persuader signifie "agir sur la sensibilité du lecteur ou du public". Pour cela, les apologues sont une forme privilégiée de l'argumentation. En divertissant et en séduisant, le conte philosophique aborde des sujets plus sérieux et plus abstraits que ne laissent attendre sa légèreté et sa fantaisie, comme dans Candide de Voltaire. Pour soutenir l'intérêt du lecteur sans l'ennuyer, le récit est fait sur un rythme allègre et dans des registres variés. La théâtralité des fables au

durera que trois années et il séjournera en Alsace, en vu des menaces de Louis XV s’y il approche de Paris. Durant cette même année, il s’installera finalement dans la banlieue de Genève aux Délices. En 1759, il publiera son œuvre la plus connue ; Candide. Durant une quinzaine d’années, il publiera énormément de contes, dictionnaires, traités et nouvelles en faveur de la grande guerre philosophique qui débutera en 1760. En 1776, Voltaire publiera ‘’ La Bible enfin expliquée’’. Deux années plus tard

genres variés : ceux de La Fontaine et de Prévert sont des poèmes, comme l’atteste dès le premier coup d’œil la disposition en vers. L’un est une fable classique, avec des animaux mis en scène et une morale finale, l’autre s’apparente davantage au conte, des personnages typés évoluant dans un monde irréel et exotique. En revanche, les textes C et D sont eux des extraits de romans, un long monologue pour celui de Camus, une alternance de dialogue et de récit chez R. Lewis. Nous pouvons donc nous demander

"expliquer", "raisonner". Persuader signifie "agir sur la sensibilité du lecteur ou du public". Pour cela, les apologues sont une forme privilégiée de l'argumentation. En divertissant et en séduisant, le conte philosophique aborde des sujets plus sérieux et plus abstraits que ne laissent attendre sa légèreté et sa fantaisie, comme dans Candide de Voltaire. Pour soutenir l'intérêt du lecteur sans l'ennuyer, le récit est fait sur un rythme allègre et dans des registres variés. La théatralité des fables au