Camus Philosophie Le Mythe De Sisyphe

Fiche de lecture de L’étranger d’Albert Camus : I- L’auteur : a.Courte biographie : Albert Camus est né le 7 Novembre 1913 en Algérie d’un père d’origine alsacienne et d’une mère d’origine espagnole. La famille est de condition très modeste. Il est le deuxième enfant du couple : il a un frère Lucien plus âgé de 4 ans. A l’école, son instituteur, Louis Germain, le pousse à passer le concours des bourses : il pourra ainsi poursuivre ses études au lycée et à l’université. Il lui garde une telle

BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE Né en Algérie au sein d’une famille modeste, orphelin de père, Albert Camus commença des études de philosophie pendant lesquelles il subit l’influence de son ami Jean Grenier (qui lui fit notamment découvrir Nietzsche) mais qu’il dut interrompre pour raison de santé (il était atteint de tuberculose). Parallèlement, il commença à participer à des projets dramatiques en adaptant ou en jouant des pièces de théâtre. Pendant son bref passage au Parti communiste (1935-1936)

Compte rendu de l’Etranger d’Albert Camus I- Situer l’auteur dans son contexte littéraire Albert Camus (1913-1960) est un romancier, dramaturge, essayiste et philosophe français d’origine algérienne. Il est proche Jean-Paul Sartre et avec lui fait parti du mouvement existentialiste. Camus a développé une philosophie de l’absurde, pour lui la vie humaine n’a pas de sens, de signification. L’auteur a pratiqué beaucoup de genres : des romans aux pièce de théâtre en passant par les essais, les

Introduction • Le terme «théâtre absurde» apparait pour la première fois dans l‘oeuvre de Albert Camus (Le Mythe de Sisyphe) • Influencé par les expériences des avant-gardes des années 20 et 30, par les existentialistes et par des auteurs novateurs comme Alfred Jarry • Apogée dans les années 1950 – 1970 • Pas un mouvement organisé les ecrivains individualistes idées heterogènes 2. Développement 2.1 philosophie: • Continuent avec les idées existentialistes de l‘absurdité de la vie • Influencé par

Albert camus L’étranger Albert Camus Albert Camus (1913 – 1960), est un écrivain français, qui a réussit dans presque tous les genres de l'expression écrite. Ses articles journalistiques, ses romans, ses nouvelles, ses pièces de théâtre, lui ont assuré une célébrité qui reste dans le temps. Il laisse derrière lui une des oeuvres les plus importantes de la littérature française du XXe siècle, qui sont à chaque fois marquée par une réflexion philosophique et politique. Né le 7 novembre 1913

'L'HOMME REVOLTE' D'ALBERT CAMUS Délégitimer la violence Le 18 octobre 1951 paraît 'L'Homme révolté'. Caricaturé, trop souvent réduit à un antimarxisme, l'essai est en réalité beaucoup plus dense et lumineux. Cohérent, il traduit une pensée arrivée à maturité. Insoumis, souverain, il exprime le désir de fonder une éthique capable de contenir ou d'éviter une politique de la démesure et de la haine de l'autre. | A la sortie de 'L'Homme révolté', Camus avait envisagé de vives réactions. La

Caligula, acte I scène IV Intro : Caligula est écrit en 1937 puis remanié en 1958 par Albert camus, instigateur de la philosophie de l’absurde, dont il définit les grandes lignes dans le mythe de Sisyphe en 1942 et dans le roman l’étranger puis dans la pièce Caligula en 1945. Cette pièce appartient au théâtre d’idées (qui propose la mise d’un débat sans manichéisme dans lequel les protagonistes des 2 bords ont des raisons valables) Après deux scènes d’exposition sous le signe de l’inquiétude

limites de notre condition. Il s'agit donc d'établir qu'un tel désir n'est absurde qu'en première analyse. Dans notre culture, nombreux sont les récits qui relatent l'expérience d'un désir fou. C'est le cas, par exemple, de la tour de Babel ou du mythe d'Icare. Or chaque fois l'histoire finit mal : Nemrod est châtié, Icare se brûle les ailes et chute dans l'abîme. Tout se passe comme si la quête de l'inaccessible était vouée à l'échec. N'est-il donc pas absurde de désirer l'impossible ? L'absurde

Gogol (1843) ; texte C, incipit de Madame Bovary de Flaubert (1857). Plan détaillé de commentaire : analyse d’un extrait du chap. 2 de Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline (1932). SEQUENCE 2 (séquence majeure) : L’Etranger de Camus (1942), un roman absurde. Problématique : En quoi le roman du XX° siècle achève-t-il la déconstruction du « héros » ? Perspectives d’étude : l’absurde, le portrait de Meursault, le rôle des éléments dans l’œuvre. Lectures analytiques :

soi se part ainsi des atours de l’altérité et la mort à la deuxième personne devient le héraut de la condition de la première personne, le vecteur de compréhension de la mort singulière de l’être singulier pensant sa propre mort. Et encore, nous dit Camus, tant l’expérience de la mort des autres n’est qu’un « succédané, une vue de l’esprit et nous n’en sommes jamais très convaincus. »[8] Entre symétrie spatiale et temporelle « Nous sentons et expérimentons que nous sommes éternels » dira Spinoza