Camus Les Justes Personnages

Le discours de Suède – Albert Camus Traitement du texte : - Etablir le plan du texte. - Quelle conception du métier d'écrivain Camus expose-t-il dans ce texte ? - Quel programme propose t-il à sa génération ? - Relever et commenter les mots clefs du texte. - Etablir des rapprochements entre La Peste et le discours de Suède (le discours illustre la Peste, même combat). Le rôle de l'art et de l'écrivain dans la société Albert Camus reçoit le Nobel en 1957 et c'est le 10 décembre qu'il prononce

travestissement des personnages. Souvent le lecteur connaît mieux les personnages qu'ils ne se connaissent les uns les autres. Le lecteur connaît chaque pensée de chaque personnages. Lire le texte nous apporte une vision plus nette de leurs pensées. Grâce à la lecture on peut reconnaître plus facilement les caractères des personnages. Bien souvent le caractère d'un personnage reviens dans plusieurs œuvre de plusieurs auteurs, ce sont des stéréotypes. Molière a pour personnage stéréotypé le valet

« au bout », interminable. 1er texte : In Extenso En quoi ce début est -il étonnant, choquant ? Voir les paroles échangées, la langue employée et le contexte de l'époque 2ème texte : Extrait du chapitre 2 p13-14 Quelle image le personnage donne-t-il de lui ? Un courageux lâche Comment la langue donne-t-elle de la force à la dénonciation ? 3ème texte : Fin du chapitre 11, p137-138 Que pensez vous de l’attitude de Bardamus ? Faut-il le condamné ? NE PAS OUBLIER DE VOIR LE

s’enrichir. Histoires vraies  descriptions justes et précises, écriture impersonnelle à la 3ème personne. MAUPASSANT : Contes de la bécasse 1883 FLAUBERT : Rêve d'enfer 1836 Le Naturalisme : 1800-1965 Les naturalistes introduisirent dans leurs romans des descriptions scientifiques et objectives des réalités humaines : ces auteurs montraient la société telle qu’elle était, aucun sujet n’était inabordable. Parole du narrateur passe à travers les personnages. ZOLA : Roman expérimental 1880 MAUPASSANT :

roman invite le lecteur à pénétrer dans un monde où les personnages sont essentiels à l’intrigue. Le lecteur vit l’histoire racontée à travers ces personnages et s’identifie à l’un et à l’autre. Mais nous nous demanderons si pour apprécier un roman, le lecteur doit obligatoirement s’identifier au personnage principal en partageant ses sentiments. Pour répondre à cette question, nous commencerons par montrer que le pacte de lecture avec le personnage peut être nécessaire à l’appréciation d’un roman. Nous

protagoniste, Marceau, raconte l’histoire en première personne. C’est un narrateur interne, intradiégltique, donc il est enterier à l’histoire. Il donne une vision subjective de ce qu’il voit. Il décrit les évènements. Il est très passif comme personnages. Il a des visions limitées, ou il raconte sa propre vie et sa propre vision. 2) C’est la morte de sa mère. 3) Il est détaché et il ne montre pas sa douleur. C’est comme si la morte de la mère soit une chose normale. Les expression qui expliquent

réflexion sur le tragique de la condition humaine. A partir de 1945 : tradition et Nouveau théâtre  La tradition classique. Henri de Montherlant (1895-1972) renoue avec l’esthétique du théâtre classique, tant au niveau de l’intrigue que des personnages : héros en quête d’absolu déchirés par les contradictions, tel Ferrante dans La Reine morte (1942).  Le théâtre engagé. En Allemagne, Bertolt Brecht (1898-1956) choisit la voie d’un théâtre engagé (Mère Courage et ses enfants, 1941 ; La Résistible

révélée par un roman d'inspiration autobiographique, Un barrage contre le Pacifique. Associée au mouvement du Nouveau Roman elle publie ensuite régulièrement des romans qui font connaître sa voix particulière avec la déstructuration des phrases, des personnages, de l'action et du temps, et ses thèmes comme l'attente, l'amour, la sensualité féminine ou l'alcool. Par exemple Le Marin de Gibraltar (1952), Les Petits Chevaux de Tarquinia (1953), Moderato Cantabile (1958), Le Ravissement de Lol V. Stein (1964)

La Peste d'Albert Camus (Guide de lecture/parcours de l’œuvre pour cibler certains de ses enjeux) I Composition L’œuvre évoque une épidémie de peste qui aurait sévi à Oran « en 194. ». Le lecteur suit l'apparition et la progression de la maladie jour après jour. Le récit est pris en charge par un narrateur extérieur qui confie avoir été témoin des événements qu'il raconte : la deuxième personne du pluriel prend parfois le relais de la troisième personne du singulier. L'identité du narrateur n'est

des personnages.  Le discours théâtral se présente très souvent sous la forme d'un dialogue et il et caractérisé par une double énonciation : les acteurs échangent entre eux des répliques, mais il parlent aussi à destination du public. Donc, le ton, les gestes, les silences, prennent souvent une importance aussi grande que les paroles prononcées.  La longueur des répliques détermine le rythme plus ou moins rapide de la scène. On appelle réplique tout ce que dit un personnage sans