Camus Conformisme

Le conformisme a toujours été en vogue au Québec. La normalité change peu à peu ,mais cette volonté de ne pas ressortir du lot, de ne pas attirer l'attention suit les québécois depuis longtemps. On ne veut pas déranger, on veut se faire petit. Le québécois rempli son ''p'tit creux'' avec du ''P'tit Québec'', bois un ''p'tit café'', a le temps pour une ''p'tite vite'' avec sa blonde, reçoit ses invités en demandant s'ils veulent un ''p'tit quelque chose''.Il est donc peu surprenant de voir le thème

cquérir une position sociale plus élevée, plus riche ou plus sécurisante . 3. - C’est un des fondements de la société : héritage du patrimoine , des biens ,... . 4. - C’est une tradition : il est bon de la respecter, car ce conformisme montre une certaine intégration à la culture, aux valeurs de la société dans laquelle on vit. 5. - Désir d’organiser une cérémonie, de fêter, de s’en tourer d’amis pour une décisio n grave. 6. - Donner la preuve qu’on s’aime : on engage

mariages arrangés. 2. – Pour acquérir une position sociale plus élevée, plus riche ou plus sécurisante. 3. - C’est un des fondements de la société : héritage du patrimoine, des biens,…. 4. - C’est une tradition : il est bon de la respecter, car ce conformisme montre une certaine intégration à la culture, aux valeurs de la société dans laquelle on vit. 5. - Désir d’organiser une cérémonie, de fêter, de s’entourer d’amis pour une décision grave. 6. - Donner la preuve qu’on s’aime : on engage toute sa vie

social 19. Le leadership 20. Les déterminants de l’influence 21. La propagande et les principes de la persuasion 22. Média et influence : le phénomène des rumeurs 23. La normalisation 24. La polarisation et la prise de risques en groupes 25. Le conformisme 26. L’influence minoritaire 20/11/2012 22 4- Processus et phénomènes intergroupes… 27. La catégorisation sociale et les différences catégorielles 28. Les stéréotypes, les préjugés et la discrimination 29. Les relations intergroupes 30

conventionnel, une convention que le héros apprécie, dans lequel il se complaît. Sinclair Lewis vient ici, sans critique négative, dresser un portrait satirique de ce sens du commun a Zénith. Il stigmatise les caractéristiques de la société américaine, son conformisme, sa vanité, son sens du confort et des convenances. Cette banalité extraordinaire est décrite dans l’architecture qui fait la vie de tout les jours de Babitt, son bureau, sa maison , le club , l’église, en somme, toute la symbolique qui accompagne

l'autorité lorsqu'un individu change de comportement afin de se soumettre aux ordres émanant d'une autorité perçue comme légitime. Différentes caractéristiques de cette forme d'influence sociale : - elle se situe à un niveau interindividuel (conformisme et innovation sont des phénomènes intragroupes) - elle implique un différent statut entre source et cible d'influence : un rapport hiérarchique - la pression de la part de la source d'influence est explicite : il y a volonté d'influencer.

CHAPITRE : 3 Contrôle social et déviance pages 230/231 Le groupe apparé comme déviant par rapport à la société globale. Ce n'est pas un groupe délinquant. La déviance est une construction sociale. Il y a une grande variabilité dans l'adhésion aux normes ainsi certain comportement peuvent apparaître bizarre. La société va imposer un certain nombres de contrôle (contrôle social), ils permettent de maintenir une cohésion sociale. C'est à dire une relation stable entre les individus. Le contrôle

j’ai bien travaillé. Dans les sociétés collectives, on trouve davantage de cause externe. Ex : Si j’ai raté mon examen, c’est la faute du prof. L’absence de normes serait paralysante car on a besoin de support social. Influence mutuelle ou conformisme: Chaque individu va converger vers les réponses des autres. L’influence sociale concerne les processus par lesquels les individus et les groupes façonnent diffusent et modifient leurs modes de pensées et d’actions lors d’interactions sociales

qu'il comporte. Plus précisément, il se définit par le postulat selon lequel le comportement (les attitudes, les croyances, etc.) de l'acteur social peut légitimement être expliqué comme l'effet de causes inconscientes. On peut aussi parler de conformisme à propos de ce modèle, car il est généralement utilisé pour expliquer pourquoi l'acteur social se conforme selon les cas à la tradition, à l'ordre social, à la mode, etc. Le point sur lequel je voudrais rapidement insister et sur lequel je ne puis

estiment que chacun agit gratuitement puisqu'il n'agit pas par intérêt personnel mais pour aider son prochain. Pour Bergson, il y a deux types de morale: ouverte et close. La morale close désigne les actes qui respectent la morale mais seulement par conformisme social, pour ne pas être exclu. Il y a donc un intérêt social derrière. Ensuite, la morale ouverte déigne les actes illégaux mais légitimes (par exemple, les actes de résisatance pendant la seconde guerre mondiale). L'acte n'est donc pas gratuit