Cadre Spatio Temporel Bel Ami Incipit

..................... 9 Introduction............................................................................................................................9 I) Un incipit inattendu............................................................................................................9 1) Le refus de présenter le cadre de l’histoire. ...................................................................... 9 2)La mise en scène de quatre instances principales ..............................

l’histoire* et à la narration* (• Action et narration, pp. 204-206). ● 2. LES ENJEUX DU RÉCIT LA NOUVELLE La nouvelle est un récit fictif, généralement bref, nécessitant un temps de lecture relativement court. Elle se caractérise par un cadre spatial et temporel resserré, un nombre restreint de personnages, réduits à quelques traits permanents et typiques, une action dense et fortement structurée. Elle a le souci de la vraisemblance* et reste ancrée dans le réel, même si elle adopte le registre

qu’aux équipes enseignantes qui trouveront les ressources documentaires et les pistes de travail nécessaires aux concertations de cycle. Ce document est le fruit de la réflexion menée par le groupe Littérature au cycle 3 qui s’est organisé dans le cadre de la Commission Départementale Maîtrise des Langages. Que soient donc ici remerciés : Catherine ADER Lucie DESAILLY Françoise GREGOIRE Christine HAURAY Catherine MOULET Brigitte ROUAUD Dominique TERRIEN Philippe THULLIER IEN Nantes Est IEN Saint

peinture Exercices d’approfondissement G. de Maupassant, « Le Masque » 1 M. de Cervantès, Don Quichotte de la Manche 2 Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves 3 Abbé Prévost, Manon Lescaut 4 D. Diderot, Le Neveu de Rameau G. de Maupassant, Bel-Ami 5 Dissertation sur le réalisme Prolongements Séquence 14 L’amour dans le récit réaliste Stendhal, La Chartreuse de Parme H. de Balzac, Le Lys dans la vallée ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Stendhal, La Chartreuse de Parme TEXTE 2 A. Dumas fils, La Dame

dans le récit. G. Perec s’est donné comme contrainte de ne pas utiliser la voyelle « e » dans son ouvrage. A. Le lipogramme Le lipogramme détermine le titre, le nom du pers, la crise qui introduit l’intrigue. Cette contrainte amène un incipit traditionnel du roman. B. Choix du système narratif Récit à la 3ème pers, sans intervention direct du narrateur avec une restriction de point de vue : il faut dire cette contrainte et ce pb sans la dire -> pas de point de vue omniscient.

n’était plus de première jeunesse. La finesse de sa silhouette avait laissé place à des rondeurs que soulignait sa robe de soie trop étroite. Ses cheveux bruns conservaient encore cet éclat que le soleil sait faire miroiter dans la chevelure des belles femmes. Mais, attachés en chignon, ils perdaient de leur charme. Inversement, la jeune fille qui se tenait à ses côtés avait la beauté des femmes qui s’éveillent à la vie : fine, élégante dans sa robe simple. Ses cheveux, négligemment réunis en

important aussi bien en termes de quantité que de temps de travail. 10 récit et diégèse afin d’émettre des hypothèses sur la manière dont la fragmentation du plan de l’expression atteint le plan du contenu. Par ailleurs, en nous situant toujours dans le cadre de l’énonciation littéraire, nous verrons comment le discours, à travers sa fragmentation, construit une position complexe de l’énonciateur, et par-là, de l’énonciataire. Notre objectif est en effet de voir comment la fragmentation est un cas particulier

légitimes ». Il ne comprend pas que sa femme n’est pas satisfaite telle une bonne mère de famille qui devrait se montrer indulgente. A l’époque : 1 enfant = 1 dent. Sa femme est déformée par la grossesse et n’est plus attirante. p.45: Anna Karénine : « un bel homme de 34 ans, sensuel comme il l’était, ne pouvait se repentir de n’être plus amoureux de sa femme, mère de 7 enfants dont 5 vivants, et d’un an seulement plus jeune que lui » : Stépan, un personnage coupable présenté de manière sympathique. p.23 :

mois, alors qu’il la soupçonne d’une liaison avec M. de B..., «célèbre fermier général», elle le fait reprendre (29 août) par sa famille. Comme il menace de se venger, son père l’enferme «six mois entiers»; il reprend goût aux études et entre avec son ami Tiberge au séminaire de Saint-Sulpice (septembre 1713?): le chevalier devient le brillant abbé Des Grieux. «Près d’un an» plus tard (juillet 1714?), deux ans selon Manon, son renom attire au séminaire une Manon très amoureuse (grande scène du parloir):

mois, alors qu’il la soupçonne d’une liaison avec M. de B..., «célèbre fermier général», elle le fait reprendre (29 août) par sa famille. Comme il menace de se venger, son père l’enferme «six mois entiers»; il reprend goût aux études et entre avec son ami Tiberge au séminaire de Saint-Sulpice (septembre 1713?): le chevalier devient le brillant abbé Des Grieux. «Près d’un an» plus tard (juillet 1714?), deux ans selon Manon, son renom attire au séminaire une Manon très amoureuse (grande scène du parloir):