Cabinet ministériel

inégalité difficile à contrer puisqu’intégrée dans les mentalités masculine et féminines Au travail : Exemple : Les femmes sont moins bien payer que les hommes (27%) pour le même travail. En 1984, les femmes forment 15 % des effectifs des cabinets ministériels. En 2011, la fonction publique compte 51,7 % de femmes mais elles occupent seulement 20,3 % des postes de directions : ainsi, seulement 10 % des préfets sont des femmes, et 11 % des ambassadeurs. A la retraite : Pendant la retraite les femmes

ils pensaient qu’à partir du moment , la période de la terreur va leur donné tor et vont donc interpréter strictement la théorie de la séparation des pouvoirs de Montesquieu notamant dans la constitution de 1795 , sa ionterdit la responsabilité ministeriel devant les chambre et la dissolution , donc en cas de désaccord entre les deux pouvoirs , qui aboutirons a un coup d’état Napoléonien . Simone Fabre préfaire parler de non confusion des pouvoir , au lieu de séparer les pouvoirs de manière positive

marqué par la littérature grecque. C'est un diplomate de carrière : il est entré au ministère des affaires étrangères en 1910 puis à travailler dans les cabinets ministérielles dans le domaine de la politique étrangère de la France ( un cabinet est une équipe de conseiller du ministre dirigé par le directeur de cabinet assisté d'un chef de cabinet qui s'occupe de l'agenda du ministre ). Giraudoux a été mobilisé en Juillet 1914 ; il a participé à la campagne d'Alsace et à la bataille de la Marne

du roi, car c’est le roi qui l’a créée (même si le roi doit en même temps s’y soumettre). 2) Sur le plan de l’organisation politique et sociale - Il n'y a qu'une responsabilité pénale des ministres devant l'assemblée. Ils ne forment pas un cabinet. - Le pouvoir règlementaire est exercé par le roi, et il n’a de compte à rendre à personne (contrairement aux ministres). Cependant, on peut clairement constater qu’apparaît de la part du roi une volonté de compromis : il veut satisfaire certaines

des actes du président de la République doit être contresigné par un ministre". •Dès lors les législateurs des lois constitutionnelles ont affaiblit le pouvoir du président le soumettant à la volonté du cabinet. L’affaiblissement de l’exécutif par la place omniprésente du cabinet •Les lois constitutionnelles de 1875 sont souples et ne sont pas toujours appliqué en pratique •Selon les lois constitutionnelles le président nomme les ministres, en pratique c’est le président du conseil

s’efface. Mais, il évoluera dans deux directions opposées. 1° Le régime parlementaire à la française ou "parlementarisme absolu" C’est en France, sous les IIIe et IVe Républiques qu’il se développera. • Ses caractéristiques : l’instabilité ministérielle La disparition de facto du droit de dissolution prive l’exécutif de son arme de dissuasion à l’égard du Parlement. Le régime est déséquilibré puisque les députés peuvent renverser le gouvernement sans crainte d’être renvoyés devant leurs électeurs

modifiée par une loi votée au Parlement selon la même procédure que toutes les autres lois. Contreseing ministériel: signature apposée sur un acte par un ou plusieurs ministres, à côté de la signature du chef de l’État, en vue de l’authentifier, soit de la certifier. Dans le régime parlementaire, le contreseing a pris une autre signification: c’est la formalité de prise en charge par le cabinet ministériel de la responsabilité politique d’actes dont le chef de l’État (élément irresponsable de l’exécutif)

discrédit et les critiques. En effet, cette République se montra dans l’incapacité de résoudre les difficultés politiques, économiques, sociales, diplomatiques auxquelles elle devait faire face. Sur le plan constitutionnel, c’est l’instabilité ministérielle qui marqua les esprits. De gaulle affirma d’ailleurs le 21 Janvier 1964 que l’esprit de la Constitution de la Vème « procède d’assurer aux pouvoirs publics l’efficacité dont ils manquaient organiquement sous la IIIème et IVème république ».Pourtant

Président du Conseil et par le gouvernement. Hors mis ses prérogatives de Chef d'état ( pouvoir réglementaire, initiative des lois) , le Président du Conseil en tant que tel avait un rôle essentiellement politique. Il était le chef du collège ministériel, assurait la coordination des services de chaque département et représentait celui-ci devant le Parlement. Ses attributs consistaient aussi à mener la politique du gouvernement et diriger la majorité parlementaire. Ainsi ces prérogatives s'étendront

impopulaire, de Jules Ferry, il est élu député de l'Ariège en 1889. Dès lors, il gravit les échelons de la hiérarchie ministérielle. Il devient sous-secrétaire d'État aux Colonies dans le cabinet Ribot en 1893, puis ministre des Colonies sous le ministère Dupuy en 1894 et enfin, de 1898 à 1905, il demeure sept ans au ministère des Affaires étrangères, ce qui est un record de longévité ministérielle sous la IIIe République. Les intentions de Delcassé sont claires : il souhaite maintenir et développer l'alliance