Buste

le buste. Je rince le gant puis lui lave et rince les bras en veillant à bien rincer le gant entre chaque bras. Je la sèche en tamponnant en veillant à bien essuyer sous la poitrine afin d’éviter les infections. Je lui propose de mettre de la crème hydratante sur le corps avant de lui mettre son soutient gorge, son sous pull et son pull afin de préserver son intimité pour la suite de la toilette. Je lui lave et rince les jambes une par une avec le même gant que celui utilisé pour le buste, en

en avant, elle semble ployer, sans doute pour dire qu’elle n’est pas prête à assumer ce mariage, une responsabilité trop lourde pour elle. Elle a un trou à la poitrine fait par la carabine de Niki de St Phalle. Les jouets qui composent le buste symbolisent l’enfance que cette jeune femme vient à peine de quitter ou qu’elle ne parvient pas à quitter. La mariée porte d’autres jouets, des poupées, poupons et fleurs en guise de gros bouquet de mariée. L’aspect d’ensemble est monolithique

impossible pour les patients âgés. En position demi-assise au lit avec le relève-buste à une inclinaison supérieure à 30° : la pression est d'avantage concentrée sur la zone du sacrum et importante aux talons. De plus, dans cette position le patient a tendance à glisser, les zones sacrée et talonnières subissent un important cisaillement. C'est une position à haut risque. En position demi-assise au lit avec le relève-buste incliné à 30° : le cisaillement est moins important qu'avec une inclinaison

La Joconde, ou Portrait de Mona Lisa, est un tableau de Léonard de Vinci, réalisé entre 1503 et 1506 (ou 1519 ?), qui représente un buste, probablement celui de la florentineMona Lisa del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l'huile sur panneau de bois de peuplier de 77 x 53 cm est exposée au musée du Louvre à Paris. La Joconde est l'un des rares tableaux attribués de façon certaine à Léonard de Vinci. La Joconde est devenue un tableau éminemment célèbre car, depuis sa réalisation

Jambes décroisées. Poings serrés. Mains serrées. Tête dans la paume de main. Expression faciale vivante. Courtes inspirations et expirations. Fier, se tenant droit avec les mains jointes derrière le dos. Peu de regard. Buste en avant. Bras allongés pendant que les mains saisissent le bord de table. Froncer les sourcils. Bras fermement croisés. Tapoter avec ses doigts ou donner des petits coups de pied. Peu de regards. Debout la veste ouverte, les mains reculées

figurative, une huile sur toile de petit format (40 x 34 cm). C’est un autoportrait puisque c’est Frida elle-même qui s’est représentée / Premier plan personnage de face, en buste (coupée en dessous des hanches), visage tourné de 3/4 / Corps fendu et ouvert pour que l'on puisse bien voir ce qui se passe à l'intérieur / Buste est retenu par un corset de fer qui semble l’empêcher de se briser / La colonne que nous voyons dans la fente est une colonne ionique (colonne qui, dans l’Antiquité, soutenait

la main et tenant un drap, à l'antique. Son assurance est caractérisée par sa position : il a le pied appuyé sur un rocher, le coude sur le genou, et le buste en avant. Il occupe tout l'espace du premier plan et est mis en valeur par une lumière se focalisant sur lui. Quant au sphinx, il apparaît seulement de moitié et dans l'ombre. Avec son buste avancé et surélevé par rapport à Œdipe elle tente de lui faire face mais sa tête inclinée montre le fait qu'elle semble reculer ainsi que sa défaite face

En effet, d'habitude les aides-soignantes effectue la toilette du "haut" sur le montauban. Après en avoir discuté avec plusieurs aides-soignantes du SSIAD, j'ai fait par de mon mal aise de faire la toilette de Mr S sur le montauban. Le lavage du buste, du dos, des dents et le rasage s'effectue sur le montauban pendant que Mr S essaye d'uriner et autre. Je propose à Mr S de lui faire sa toilette au lit, puis de l'installer sur le montauban ensuite et de lui laisser un moment d'intimité. Il me répond

témoigne d’un personnage exceptionnel et profondément singulier. En effet, le portrait du personnage est progressif. On part de l’effet produit chez les autres : « il était un de ces gens dont le peuple dit : voilà un fameux gaillard ». Puis, c’est son buste qui est décris, son visage et sa voix pour enfin évoluer vers son caractère et son comportement en général. Le portrait se développe à travers des indications générales qui s’appuient sur des détails particuliers. Cela singularise son image et permet

nocturne. Il utilise un camaïeu de gris-noir avec du jaune pâle et du blanc. Après une première impression de chaos, on constate que la composition repose solidement sur quelques figures. - A gauche, la mère et l’enfant. Accroupie, par terre, le buste dénudé, cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Cette représentation n’a rien d’une photographie ; pourtant tout dans l’attitude de l’enfant évoque sa mort, tout dans l’attitude de la mère évoque la détresse. Le visage vu de profil, est renversé