Business ethics

une influence sur les ventes d’un produit Qui sont vos concurents connaître leurs points forts, faible et avoir des points forts par rapport à eux Chapitre 2 : Les spécificités des marchés et du marketing Business to Business (BtoB) B to B : je vend à d’autres entreprises B to C : Business to Consumer (vend au grand public) B to B, cas de figure que nous allons le plus rencontrer Marché de l’automobile : Segmenter le marché : découper les clients en groupes de personnes homogènes/ Acheteurs

grandes causes comme la sécurité routière, la lutte contre le SIDA ou la prévention contre la drogue. 2.3).Les marketings spécifiques : Marketing « Business to Consumer »(B2C) La démarche de marketing de base. Les biens de consommation et de grande consommation. (ex : l'emballage, la pub) Marketing industriel ou Marketing B to B (Business to Business) Le produit est adressé aux entreprises (ex : offres spécifiques) Marketing des services Le produit vendu n'est pas un bien tangible (exemple : le marketing

et les aboutissants. Le B2B - business to business -, correspond au commerce électronique en entreprise, tandis que le B2C – business to consumer- se traduit par le commerce électronique d’une entreprise à destination des particuliers (à travers les sites Web marchands). Les échanges électroniques entre les entreprises privées & les gouvernements sont appelés B2G – business to government – et ceux entre les entreprises et leurs salariés, via l’Intranet, B2E – business to employee –. Une autre catégorie

des échanges Marocco – Libyens 49 3- Conditions logistiques 49 3-1- Transport des marchandises 49 3-2- Les services financiers en Libye 50 4- Les circuits de distribution 50 4-1- Marché Business to Consumer (B to C) 50 4-2- Marché Business to Business (B to B) 51 Conclusion 52 Bibliographie 53 Annexes 54 Introduction Se lancer sur les marchés internationaux est un grand pas à franchir pour de nombreuses entreprises ne connaissant que leur marché domestique

traite directement avec les agences de voyages en leur vendant les packages ainsi créés Le tour-opérateur n'a pas vocation à se rapprocher du consommateur final. Il ne fait généralement affaire qu'avec les professionnels du secteur (B to B = Business to Business). Néanmoins, cette affirmation doit être relativisée par l'apparition d'un nouveau mode de vente des forfaits touristiques : Internet. Pendant longtemps, les tour-opérateurs commercialisaient leurs forfaits uniquement par les agences de voyages

pour être leader sur le marché. Sa veille informationnel est très réactive. * MDD = Marque De Distributeur (ex : marque repère pour Leclerc() * B to B = Business to Business, collaboration de professionnel à professionnel * B to C = Business to Consumer, collaboration de professionnel à particulier (les consommateurs finaux) *B to D = Business to Distribution, collaboration de professionnel à distributeur Les ressources Humaines ( Malgré son industrialisation l’entreprise regroupe tout de

the successful mix of the right product, sold at the right price, in the right place, using the most suitable promotion. The marketing mix is the balance of marketing technics required for selling th eproduct. To create the right marketing mix, businesses have to meet the following conditions : - the product has to have the right features, for ex : it has to look good and work well. The product has to be appropriate to the market segments the firm is trying to sell to. In the past, many firms

marque ; · Le marketing mix. Le marketing travail plus sur la perception que sur le produit lui-même. C’est quand l’offre devient supérieure à la demande qu’on se préoccupe des différentes attentes des consommateurs. B to B: business to business B to C: business to consumer Les envies des clients sont irrationnelles multiples et changeantes. Il y a un écart entre le pouvoir d’achat et le vouloir d’achat. Le comportement du consommateur Les variables d’influences MARKETING MIX

traite directement avec les agences de voyages en leur vendant les packages ainsi créés Le tour-opérateur n'a pas vocation à se rapprocher du consommateur final. Il ne fait généralement affaire qu'avec les professionnels du secteur (B to B = Business to Business). Néanmoins, cette affirmation doit être relativisée par l'apparition d'un nouveau mode de vente des forfaits touristiques : Internet. Pendant longtemps, les tour-opérateurs commercialisaient leurs forfaits uniquement par les agences de

d’exploitation Sandrine Willems : secrétaire de direction, commande de vouchers pour sociétés, traitement des plaintes, demande de sponsoring. Déborah Mannisi : ATM (assistant theatre manager), responsable du département HOHO, responsable du B2C (Business to consumer), c’est-à-dire tous les événements grand public (ladies, senior, Opéra, student movie day, Proximus,…), partenariat des soirées (Oh oui, La Belle Bulle,…) Mohamed Chafi : En collaboration directe avec Déborah Mannasi, coordinateur