Bts Culture Générale Sport Et Société

PROJET D’ACTION SOMMAIRE INTRODUCTION 1. Mon parcours et le choix de ma formation 2. Ma place dans l’organisation AVANT – PROPOS 1. L’Insertion sociale grâce à la culture I. PRESENTATION DU CONTEXTE DE L’ACTION I.I Présentation de la structure 1. Présentation des FJT et leurs histoires 2. L’ALJT son histoire, son statuts, ses missions… 3. Les résidences de Marcadet et de Poissonniers et mon équipe

de diffusion « classiques » des offres d’emploi 25 2. Modes de diffusion « novateurs » des offres d’emploi 30 B. Fidéliser les collaborateurs 35 1. L’intégration du salarié, la première impression du « client » interne 35 2. Faire partager la culture d’entreprise 37 3. La relation manager / employé à entretenir tout au long de la collaboration 39 4. Bien-être au travail, clé de la satisfaction des salariés 42 5. Responsabilité sociale, développement de l’image employeur vers l’extérieur 46 PARTIE

PARTIE IV   FORMATION ET EMPLOI    CHAPITRE 7 LE DIPLÔME: UN PASSEPORT POUR L'EMPLOI ?                35   40      47  54  CHAPITRE 8 LE CHÔMAGE:   DES COÛTS SALARIAUX TROP ÉLEVÉS OU UNE INSUFFISANCE DE LA DEMANDE ?     PARTIE V    INDIVIDUS ET CULTURES    CHAPITRE 9 COMMENT DEVENONS‐NOUS DES ACTEURS SOCIAUX ?    CHAPITRE 10 COMMENT EXPLIQUER  LES DIFFÉRENCES DE PRATIQUES CULTURELLES ?    SAVOIR‐FAIRE                              61  67  71  © Editions Hatier    Page 3  PARTIE I   MÉNAGES ET CONSOMMATION 

avantages et les inconvénients de l’aménagement des locaux et l’adaptation des équipements aux enfants. Pour vous aider dans la rédaction de ces deux dernier points, reportez vous aux travaux dirigés n°3 du cour intitulé « Aménagements et équipements généraux des espaces de vie du jeune enfant dans le cadre d’un accueil à domicile et en collectivité », . 1 4. Le statut et le financement de la structure Structure publique ou privée, financement, budget. 5. Les objectifs de la structure Rôle de la

INTRODUCTION GENERALE Depuis plus de trente ans, de nombreux dispositifs de formation, d’insertion sont mis en place par les pouvoirs publics pour remédier au chômage des jeunes, et ainsi, permettre aux demandeurs d’emplois de 16 à 25 ans d’accéder au marché du travail. Les politiques qui se sont succédées ont toutes eu pour objectif commun, l’insertion professionnelle des jeunes. Différentes mesures ont ainsi été élaborées. Certaines d’entres elles favorisent la formation en « alternance »

les bénévoles et permanents du mouvement Petits débrouillards décident de se détacher de l’association PACTES et de créer l’association des Petits débrouillards, association loi 1901, implantée en Iles de France. L’apparition de manifestation culture scientifique et technique, liées à une politique volontariste du ministère de la recherche et de la technologie, et l’ouverture de la cité des sciences et de l’industrie vont permettre aux Petits Débrouillards de multiplier leurs intervention et

sous-traitance (par exemple dans le domaine informatique) à des banques et à d’autres intermédiaires financiers. Les compagnies d’assurances Jusqu’au début du 20e siècle, le secteur luxembourgeois des assurances était essentiellement constitué de sociétés originaires de France, de Belgique et d’Allemagne opérant au Luxembourg sous une forme de libre prestation de services, càd représentées par des notables locaux sans y avoir de siège d’exploitation. Les deux grandes compagnies luxembourgeoises

celle de la majorité des jeunes au niveau du baccalauréat est mise en œuvre. C’est l’objectif de 1984, repris par la loi d’orientation de 1989 : 80 % d’une classe d’âge amenés au niveau du baccalauréat. Le pourcentage de réussite au baccalauréat général, technologique (1969), professionnel (1986), passe de 24 % en 1975 à 63 % d’une classe d’âge en 1995. La période 1995-2000 Cette période est marquée par une stabilisation, autour de 63 %, du taux de bacheliers par génération. Depuis 1998, on compte

et perspectives de l’offre touristique réceptive en France Mars 2013 Remerciements La direction technique de l’étude et l’animation des travaux en comité de pilotage ont été assurés par Noël LE SCOUARNEC et Viviane SERRE-GARNIER de la Direction Générale de la Compétitivité de l’Industrie et des Services (DGCIS). 1. Ont participé aux travaux du comité de pilotage : – Pour la DGIS : • Guillaume LACROIX • Jacques AUGUSTIN • Isabelle RICHARD • Anne-Marie MICHAUX – Pour Atout France • Christian DELOM

Marne-la-Vallée Cedex 2 Tél. : 01 64 80 35 00 Publication de l'Onisep : Onisep, novembre 2013 Entrer au lycée p. 2 Le calendrier de l'orientation de la classe de 3e p. 2 La voie générale et technologique p. 4 La 2de générale et technologique p. 5 Ressources documentaires Les bacs généraux et technologiques p. 9 Studio La voie professionnelle en lycée professionnel (LP) ou par l'apprentissage p. 12 Le bac professionnel / le bac professionnel agricole p.