Brésil Paradoxe

alors qu’on n’a pas faim devant un tel tableau… 2. Le tableau de l'horreur.- Lexique de la vermine exagérément développé : « mouches, larves… »- Gaieté ironiquement associée à ce monde de la décomposition « en pétillant, vivait en se multipliant » (paradoxe de la vie qui naît de la mort, effet presque surnaturel, renforcé par «étrange musique») + «vivants haillons»- Réorganisation de la vie à partir de la matière de la mort « noirs bataillons ». II – Comparaison de la femme et de la charogne, suite

est le plus fréquent pour la simple et bonne raison que les moyens de suicides sont très restreints en prison car celle ci limite un maximum les risques (objets tranchants interdits pour éviter agressions et évasions). On détecte tout de suite un paradoxe car on veut lutter contre les moyens suicidaires et l'on encourage donc , involontairement, la pendaison. Il y a bien sur d'autres moyens comme les objets tranchants (3.2%), les gaz a vapeur (1.4%) et certaines substances liquides ou solides (1

lui-même que cet éloge n’est pas à prendre au sérieux. I - Un éloge du tabac doublement paradoxal. La pièce semble se débuter in mediares : le rideau s’ouvre sur une action déjà débutée. - paradoxe de valoriser un plaisir trivial et de discourir longuement sur un sujet sans rapport avec la situation. - paradoxe de voir un valet se lancer dans un éloge à l'argumentation apparemment rigoureuse. A / La forme de l'argumentation est maitrisée. - thèse réfutée : « quoi qu'en dise aristote » avec un argument

crimes... 3. Paradoxes et oxymore : Voltaire joue sur des paradoxes qui servent à faire réfléchir le lecteur. Ainsi dans les chapitres précédents, Zadig a été mis en danger ou menacé de mort par des grands de ce monde, alors qu’ici c’est un voleur qui le protège. La figure du voleur est le plus souvent associée à la notion de pauvreté : or ici le brigand se vante d’être riche et vante les "qualités" de sa "profession" (« ce métier n’est pas mauvais ») ce qui est évidemment un paradoxe. Enfin Arbogad

noms donnés par les colons aux noirs d’Haïti. Christophe tyran ou bien rêveur ? Christophe représente avant tout l’ascension d’un homme du peuple. Il mêle des traits de tyran et de monarque éclairé et semble à la hauteur du paradoxe de l’Indépendance ; tout à la fois tourné vers l’avenir mais condamné à vivre avec un héritage trop lourd. C’est un homme face aux hommes qui tente de prouver l’auto gérance de l’homme noir « Oui, je ne hais rien tant que l’imitation servile[3]…

y a un paradoxe:être à l’étranger les uni tout d'un coup. Ce qui les conduit à un non sens du voyage (l.21). M met par cette évocation amusante le ridicule de la vanité des français qui recherche ailleurs ce qu'il leur ressemblent ce qui est un paradoxe. Il souligne leur comportement absurde par la contradiction de se rallier (l.22) alors qu'ils s'ignorent en France. Ils deviennent amis pour se protéger du pays ou ils sont. M met en avant l’ethnocentrisme ( l'idée selon laquelle notre culture est

répétition, pléonasme) confèrent d’avantage de force à un argument à une thèse. -Les figures d’opposition permettent de souligner des contradictions (antithèse, chiasme) de déprécier par l’ironie (antiphrase) ou de provoquer un effet de surprise (paradoxe, oxymore). -Les figures d’atténuation contribuent à suggérer plus qu’a convaincre directement. La rhétorique antique c’est l’art du discours hérité de l’antiquité grecque latine. La rhétorique définit 3 genres du discours : -Le genre judiciaire

Interjection «Hélas» --> critique sévère attitude des colons Candide = porte-parole des esclaves («nous»). * Hyperbole + énumération des animaux --> aucune dignité pour les esclaves. * «Fétiches» religion amenée à la superstition --> paradoxe du racisme. Passages sur égalité entre blancs et noirs hypocrisie du racisme (cf. «horrible», fin de phrase mise en valeur). C. Une Satire de l’Optimisme * Cette rencontre évolution des pensées de Candide doute enseignements de Pangloss

au luxe. On peut relever un paradoxe aux vers 16 et 17 (« nous apporter […] et des besoins et des plaisirs nouveaux ») : effectivement, un besoin ne s'apporte pas mais est déjà existant ; le superflu devient donc un besoin. Le lyrisme apparaît ensuite au vers 21 (« ô le bon temps que ce siècle de fer ! »). Il y a donc une contradiction entre le lyrisme et l'ironie que Voltaire utilise comme un procédé de persuasion. On découvre après un autre paradoxe au vers 22 (« le superflu, chose

basée sur des lois qui se contredisent, c’est installée. II. Le résultat de l’indécision : l’incohérence. L’incohérence, qui provient du non vouloir des législateurs et juges à statuer sur la nature et le statut de l’embryon, entraine des paradoxes au niveau de la loi (A), mais aussi des inégalités dans la jurisprudence (B). A. Au travers de la loi. Il est possible de se rendre compte, au travers des différents textes de lois et leur portée, que la législation relative aux embryons est