Brics Dans La Mondialisation

industrielles mais aussi commerciales. Cette croissance des pays industrialisés s’est accrût avec l’essor de la mondialisation, en effet l’industrialisation est intimement liée à la mondialisation. Selon Fernand Braudel, la mondialisation est considérée comme étant un processus pluriséculaire visant à l’expansion du capitalisme à l’ensemble de la planète. Laurent Carroué dénombre trois mondialisations : des grandes découvertes au XIXe siècle ; de la Belle Epoque (1890 – 1914), et celle des années 70 avec

mutualisation de compétences techniques pour faire de la R&D, de l’innovation) et de réaliser des synergies. Cette logique s’inscrit dans celle de territorialisation et de glocalisation où des territoires infranationaux arrivent à tirer parti de la mondialisation. Ainsi en France il existe 71 pôles46 de compétitivité financés par un fond unique interministériel pour une stratégie sur 5 ans. Aujourd’hui la tendance est la réduction des pôles à une trentaine pour optimise les financements, en effet l’effectif

puissance de son économie. Les Etats-Unis, selon le principe wilsonien, considèrent que l'ouverture accrue des marchés est un élément essentiel de stabilisation planétaire et de renforcement de leur domination. Ils favorisent donc le processus de mondialisation qui par bien des aspects prend la forme d'une "américanisation" du monde. Le soft power apparaît comme un élément essentiel d'imposition de la puissance par la capacité de séduction d'un modèle triomphant. Entre 1993 et 1995, les Etats-Unis jouent

commun la mise en oeuvre d’un certain nombre d’objectifs = le modele west phalien. Dans un sens plus large les relations internationales vont faire participer d’autres acteurs comme les organisations internationales, les associations d’États (G20, BRICS…), les ONG, les collectivités territoriales, les multinationales et les individus. La multiplication des acteurs des relations internationales prouve que dans la poursuite des grands objectifs que la société internationale s’est donnée, les mécanismes

l’importance – bien qu’il soit particulièrement formalisé, notamment aux Etats-Unis (Buy American Act), ces fameuses contreparties des grands contrats internationaux signés avec les Etats prennent une âpreté particulière avec la montée en puissance de la mondialisation. 150  pays imposent ces exigences destinées à doper leur développement tout en les protégeant d’invasions de produits venus d’ailleurs – de la centrale nucléaire à la rame de chemin de fer en passant par l’avion de ligne et tous les équipements

CHAPITRE 1 : PANORAMA DES ECHANGES INTERNATIONAUX La mondialisation ou globalisation = intensification des échanges internationaux dans toutes leurs dimensions (économiques, technologiques, humaines, culturelles). Il y a aussi l’idée de l’interdépendance entre les pays, ce qui se produit en un lieu du monde a des effets dans de multiples autre lieux. Elle va questionner la frontière et la Nation. Dans le domaine éco, la mondialisation se traduit par l’intensification des échanges commerciaux (biens

cause la suprématie étasunienne. En ce qui concerne le Japon, l’Europe et la Russie, sans être d’importants concurrents économiques, ils constituent aussi des pôles contestataires. Les Etats-Unis se retrouvent confrontés à l’Union-Européenne, les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) qui depuis mars 2013 ont leur propre banque (pour se défaire de l’influence de la Banque Mondiale et du Fond Monétaire Internationale) et aux autres pays en général. Depuis 1945, la place des

affaires sanitaires, maladies (Ébola), famines, guerres civiles… C’est le continent qui apparaît encore dans sa globalité comme un continent sous-développé. Les deux seuls pays qui peuvent être considérés au dessus des autres sont l’Afrique du Sud (BRICS) et le Maroc. Pourtant, dans les années 1960, le continent africain ne présentait pas de retard par rapport aux autres continents en voie de développement (ex : la Corée du Sud et le Soudan avait le même niveau de développement économique). I. Qu’est-ce

la « bulle internet ». La géopolitique mondiale a encore évolué. A Johannesburg le contexte est celui d'un monde multipolaire, dans lequel émergent de grandes puissances telles que le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud (les « BRICS »), ainsi que des menaces diffuses telles que celles qui ont provoqué les attentats du 11 septembre 2001, aux Etats-Unis. Ces derniers ont mené deux guerres ; de nombreux observateurs ont souligné leur lien avec le pétrole. L'atmosphère du sommet est

l’amélioration de la performance globale de l’entreprise. La présence de plus en plus importante de fonds d’investissements privés au capital des entreprises n’est ainsi sans doute pas neutre dans cette orientation. Par ailleurs, les effets de la mondialisation ont contraint les entreprises à trouver de nouvelles stratégies pour rester compétitives, prendre position sur de nouveaux marchés, pérenniser leurs activités, acquérir une taille critique, de nouvelles ressources ... Alors que jusqu’à présent