Bras d'honneur

des embuscades. Ces derniers refusent les “blancs”. C’est vers le milieu du roman qu’on peut voir l’hostilité des kanaks contre les gendarmes, lorsque de loin Wathiock perçoit un gendarme sur son hélicoptère, c’est alors que Kali lui adresse un bras d’honneur. Finalement c’est à la fin, que ces hostilités provoquent le suspense, Gocene, allant rejoindre sa tribu est surpris par deux hélicoptères… Nous ne saurons donc jamais si celui-ci parvient à rejoindre la belle Minoé. Actuellement, les institutions

scène pour longtemps. Il eu une liaison houleuse avec George Sand. Leur relation s'interrompit lorsque George entama une liaison avec le docteur Pagello Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 47 ans, le 2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise. Redécouvert

long du passage. Puisque devant rien il n’abandonnera son devoir : défendre Rome envers et contre tout : v 15 « Ce droit saint et sacré rompt tout autre lien », et v 8 « Je l’envisage entier, mais je n’en frémis point », et v 16 « Rome a choisi mon bras, je n’examine rien ». Rien n’empêchera l’honneur du héros de défendre Rome. Les sentiments du personnage et les liens familiaux de ce dernier sont mis derrière lui : « Doit étouffer en nous tous autres sentiments ». L’abandon des sentiments est mis

de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. En politique, Boule de Suif est bonapartiste. Elle s’emporte violemment quand Cornudet attribue les malheurs de la France à « cette crapule de Badinguet » (p.21). Elle exprime son mépris « les polissons comme vous ». « Vous » s’adresse

arriva donc voituré dans un cabriolet fort propre. Il avait la tête couverte d'une perruque appropriée à sa physionomie, il était habillé de drap bleu, avait du linge blanc, et portait sous son gilet le sautoir rouge des grands officiers de la Légion d'honneur. En reprenant les habitudes de l'aisance, il avait retrouvé son ancienne élégance martiale. Il se tenait droit. Sa figure, grave et mystérieuse, où se peignaient le bonheur et toutes ses espérances, paraissait être rajeunie et plus grasse, pour emprunter

fois déchirée et elle ne sait pas ce qu’elle doit faire. Sabine dit, « Faisons nos intérêts de ceux de leur famille/ En l’une je suis femme, en l’autre je suis fille/ Et tiens à toutes deux par de si forts liens/ Qu’on ne peut triompher que par les bras des miens » (Acte III, Scène I). Sabine a des liens forts avec tous les deux, son époux et son frère et c’est pourquoi elle a un dilemme de choisir. Plus tard, Sabine parle avec Camille en continuant contempler son dilemme. Elle dit à Camille, « Quoique

monumentale ; elle mesure 25 m et pèse près de 80 t. Elle est en acier, ce qui lui donne cette couleur un peu grise. -Elle représente deux personnes : un homme et une femme, habillés simplement. -Ils sont tous deux dans la même position : un bras tendu vers l’arrière, l’autre vers l’avant, main dans la main, côte à côte. Ils regardent dans la même direction, vers l’avant, en faisant un pas. -Dans sa main, la femme tient une faucille, et l’homme a un marteau. -C’est une statue monumentale ;

La jeune femme meurt alors dans les bras de son grand amour, apaisée, et ayant tenu la promesse qu'elle lui avait faite auparavant : « Quels que soient nos chemins, aux derniers jours je serai auprès de toi. » Lorsque Gorgio revient, avec l'ambulance, Marie est morte, et il est étonné de voir une autre personne auprès de la jeune femme. Une confrontation entre les deux jeunes hommes, Steph et Gorgio, a lieu. « La mitraillette glissa à ses pieds. Les bras ballants, les yeux exorbités, Gorgio

Radeau sur lequel on distingue un amoncellement de corps. Sur ce radeau on voit a droite un groupe d’individus qui semble agité, autour d’un noir ou d’un métis qui est juché un pied sur un tonneau et autour de lui des hommes le portent et agitent leurs bras, ils semblent montrer un bateau à l’horizon. Le métis agite des chiffons blancs et rouge. On ne sait pas si le bateau s’éloigne ou se rapproche. En bas à gauche un groupe de personnage moribond qui est regroupés autour d’un personnage âgé. Ce vieillard

passer monseigneur pour un être supérieur et du même coup arrogant est très irrespectueuse envers ce dernier. Mais monsieur Girard ne s’est pas arrêté là; on retrouve un peu plus loin un passage encore plus ignoble : «Prenant religieusement dans ses bras le vase de nuit, comme une aiguière de prix, elle allait en vider l’or brunit […].» (p.32, l.4-5) La métaphore qui caractérise l’urine de l’évêque d’«or brunit» n’est nulle autre qu’une seconde allusion à la richesse démesurée de l’homme. L’auteur