Bras d'honneur

obsession pour les décorations. D’une part, il n’a rien fait de sa vie. Effectivement, il n’a aucun titre, il n’a pas d’emploi et sa seule occupation c’est de passer toute la journée à compter les personnes qui sont décorées et d’admirer les Légions d’honneur exposées dans les vitrines des magasins de décorations : « Quand il arrivait au bout de sa promenade, il s’étonnait toujours des chiffres : «Huit officiers, et dix-sept chevaliers. Tant que ça! »[..] » «Mais il ressortait après son diner, et il allait

réalisation de la Statue de la Liberté qui fut offerte par la France aux Etats-Unis en 1886. Il réalisa en tout 35 monuments, dont la fontaine de Bartholdi à Lyon, la statue de La Fayette à New-York, le Lion de Belfort... Nommé commandeur de la Légion d'honneur, il mourut en 1904.S'ouvre à Philadelphie (Pennsylvanie) « l'Exposition du centenaire ». Première exposition universelle à se tenir sur le sol américain, elle est censée commémorer les 100 ans de la déclaration d'indépendance des Etats-Unis, signée

inauguré par L'Echo de Paris en 1887. Son article sur la condamnation du terroriste Roger Vaillant le conduit au poste de chroniqueur judiciaire pour le quotidien réputé Le Matin, en 1894. Opposé à la peine de mort, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur pour ses chroniques. Parallèlement il écrit des fictions : La Double vie de Théophraste Longuet apparaîtra dans Le Matin sous forme de feuilletons de 1903 à 1924. Sa pièce de théâtre La Maison des juges' échoue. Le Mystère de la chambre jaune est

trois reprises, De Gaulle tente vainement de s’échapper à cinq reprises. Il est libéré après l’armistice du 11 Novembre 1918. De Gaulle s’estime comme soldat inutile, qui n’a servi à rien. Toutefois, il reçoit la croix de chevalier de la Légion d’Honneur et la croix de guerre de 1914-1918 avec étoile de bronze en 1919. La paix s’installe en France. Mais les bouleversements provoqués par la guerre pèsent lourd sur l’avenir de l’Europe. Charles De Gaulle, poursuit sa carrière militaire sous la protection

part a la guerre ou il perdra bon nombre de ses amis , mais lui sera que légèrement gazé. En 1929 il quitte son emploi pour se consacrer totalement a l’écriture grâce au succès de son premier livre : « Colline ». Il est nommé chevalier de la légion d’honneur en 1932. Au début de la seconde guerre il est arreté le 14septembre 1939 a cause de son pacifisme , et est relaché pour non-lieu , et libéré de ses obligation militaires .A la fin de la seconde guerre il est de nouveau arreté ( septembre 44 ) pour

haute bourgeoisie comme les sœurs et les filles adoptives du Napoléon Bonaparte). Puis, parvenu à l’Empire, Napoléon la plaça en 1807 à la tête de la « Maison impériale d’Écouen »(où devaient être elevées les filles des officiers de la Légion d’Honneur). • Mention about the washing practices • Le «trousseau des connaissances» • ‘‘L’aiguille est à la femme ce que la plume est à l’écrivain.’’ < Colette Cosnier> • Cette phrase est emblématique de la place des femmes dans la société du XIXème

l'infanterie -, il commande alors la 13e division à Chaumont. Rappelé à l'état-major sur demande express de Joffre, il est nommé, le 2 août 1911, premier sous-chef d'état-major général sous ses ordres. La même année, il est promu Commandeur de la légion d'honneur. De 1911 à 1914 il fut chef d’état major de Joffre et aida à l’élaboration du Plan stratégique XVII destiné à reprendre l’Alsace-Lorraine dans l’idée d’envahir l'Allemagne. Au commencement des hostilités, Castelnau prit le commandement de la Seconde

Moulin Décorations : • Chevalier de la Légion d'Honneur • Compagnon de la Libération - décret du 17 octobre 1942 • Médaille Militaire • Croix de Guerre 1939-45 • Chevalier du Mérite Agricole • Médaille Commémorative de la Grande Guerre • Médaille de l'Education Physique avec rosette • Médaille d'Honneur (argent) des Assurances sociales (Ministère du Travail) • Médaille de la Prévoyance Sociale • Médaille d'Honneur (argent) de l’Assistance publique (Ministère de la Santé Publique)

[…] Le 3 mai [1916] à six heures du matin, le 296ème régiment se rendit à Arize la Petite environ à dix kilomètres de Condé pour prendre part à une revue ou plutôt à une cérémonie sensationnelle. C’était la remise de la grand-croix de la Légion d’Honneur au général Pétain, le soit disant vainqueur de Verdun, par les mains du généralissime Joffre en personne. Toute la division, 114ème et 125ème de ligne, génie, artillerie avec leurs drapeaux et musiques, étaient là. Malgré la grandeur de ce spectacle

: « Le Blé en herbe » Colette signe de son propre nom -1926 : Académie royale de langue et de littérature française de Belgique -1949 : Colette est élue présidente de Goncourt -1953 : Colette est élevée au grade de grand officier de la légion d’honneur -1954 : Colette meurt , obsèques nationales I De la Bourgogne aux débuts parisiens. Colette est née à Saint-Sauveur en Puysai un petit village en Bourgogne. Issue d’une famille modeste , Colette à toujours eu une passion pour les livres