Bourlinguer

vise à s’amuser, pour jouer.Blaise Cendrars est suisse. Ce qui le caractérise est son gout du voyage, c’est un écrivain voyageur, son surnom est le bourlingueur, aller d’un pays à un autre sans forcément avoir des conditions confortable. Il écrit Bourlinguer en 1948. À 15 ans il a quitté sa Suisse natale pour voyager en Sibérie, à New York … Il s’installe à Paris, où il fréquentera les autres poètes. Il s’engage à la guerre, il est amputé du bras droit et ne manque pas d’humour car il écrira la main

le lyrisme. Enfin, s'il n'était pas indispensable de connaître l'auteur, qui reste une figure marginale de la littérature contemporaine et de la modernité, on rappellera ici qu'il a mené une vie aventureuse remplie de voyages de par le monde. ("Bourlinguer" est le titre d'un de ses autres textes et, ici, "Feuilles de route" connote également le voyage.) Ces voyages furent aussi une recherche de soi et des autres, et nourrirent son œuvre poétique, romanesque et journalistique. III - UN TRAITEMENT POSSIBLE

croisé plus tôt dans l’album. Emily Loizeau, qui se décrit volontiers comme « une mélancolique de l’enfance », sans nostalgie, mais comme empourprée de cette tendresse pour les paradis perdus, s’est souvenue qu’en sa famille un membre avait déjà bourlingué de la sorte. Un oncle, du côté de sa mère, qui trimbala une troupe de théâtre jusqu’au Canada, vivant dans des roulottes et ramenant des histoires qui ont peuplé longtemps ses rêves d’aventurière du spectacle lorsqu’elle alignait sagement les gammes

sent l’efficacité d’un homme qui règle vite les problèmes, qui tranche, agit et va de l’avant dans le concret et dans la vie.       Le champ de son savoir est très large; l’expérience, tel est sans doute le trait dominant d’un personnage qui a bourlingué. Beaucoup de naturel dans la succession des traits avec ce « Il connaissait tout d’ailleurs », qui enchaîne sur un propos habituel à Vautrin, « Ca me connaît ». Ensuite, le portrait avance avec une vivacité spontanée, construit sur une énumération

Cendrars (1887-1961) rapporte de Mongolie des impressions qui lui inspirent un long poème de conception puissamment originale (1913, « La Prose transsibérienne »). Ses voyageurs nourriront son œuvre poétique et romanesque (1925, « L’Or », 1948, « Bourlinguer »). Mais, dans cette période, il faut surtout retenir la publication de deux recueils déterminants pour l’avenir de la poésie : « Alcools » de Guillaume Apollinaire en 1913 et La « Jeune Parque » de Paul Valéry en 1917. 1.2- Les voies du

et le Noir de Stendhal qui est une chronique de 1830 où le père Sorel rejette son fils à cause de sa morphologie (il est fin et à des traits délicats contrairement à ses frères). La lecture nous permet d’imaginer un homme qui a beaucoup navigué « bourlingué ». Le 19ème siècle est le siècle des empires coloniaux. On verra dans le livre (une discussion avec Rastignac) que le rêve de Vautrin est de devenir propriétaire d’une plantation avec des esclaves une fois fortune faite. Vautrin à des manières grossières

faire un nom et de rencontrer Apollinaire, Soupault, Desnos, Cocteau, Léger, Modigliani, Soutine, Picasso, Chagall, Sati et de se lier d'amitié avec eux. L'homme foudroyé Cette œuvre fut la première d’une série suivie de "La main coupée" et "Bourlinguer". Ces trois écrits sont en fait des autobiographies où Cendrars évoque ses voyages et les différents moments difficiles qu’il a dû surmonter dans sa vie. Le Mouvement littéraire auquel il appartient Cendrars fait partie du mouvement littéraire

sent l’efficacité d’un homme qui règle vite les problèmes, qui tranche, agit et va de l’avant dans le concret et dans la vie.       Le champ de son savoir est très large; l’expérience, tel est sans doute le trait dominant d’un personnage qui a bourlingué. Beaucoup de naturel dans la succession des traits avec ce « Il connaissait tout d’ailleurs », qui enchaîne sur un propos habituel à Vautrin, « Ca me connaît ». Ensuite, le portrait avance avec une vivacité spontanée, construit sur une énumération

bouleversé son rapport à l'écriture. Œuvres principales : * Les Pâques à New York (Poésie, 1912-1919) * Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France (Poésie, 1913) * L'Or (Roman, 1925) * Moravagine (Roman, 1926) * Bourlinguer (récit autobiographique, 1948) C. Genre littéraire : Roman d’aventure. 2. Résumé Suisse, 1834. Johann August Suter, 31 ans, pauvre, veut de l'or. Il quitte sa famille, son pays et part pour l'Amérique, prend le bateau et débarque à

sent l’efficacité d’un homme qui règle vite les problèmes, qui tranche, agit et va de l’avant dans le concret et dans la vie. Le champ de son savoir est très large; l’expérience, tel est sans doute le trait dominant d’un personnage qui a bourlingué. Beaucoup de naturel dans la succession des traits avec ce « Il connaissait tout d’ailleurs », qui enchaîne sur un propos habituel à Vautrin, « Ca me connaît ». Ensuite, le portrait avance avec une vivacité spontanée, construit sur une énumération